Chronique N°39
Le vampire au cinéma, ce n'est pas que « Dracula » de Coppola, Béla Lugosi ou « Nosferatu » de Murnau. Le réalisateur danois Carl T. Dreyer proposa une version loin des clichés fantastique. « Vampyr » est presque abstrait par moment, son aspect réel est court-circuité par des idées aussi poétiques que macabres. C'est un trip en compagnie de notre personnage principal que je vous invite à voir.
4 Commentaires
il y a le groupe Year of No Light (Bordeaux) qui s'est essayé à une "soundtrack" de Vampyr
Sympa de faire une chronique sur un vieux film comme ça!
C'était pas mal :)
Sympa cette chronique ! Et en plus avec un vieux film pour changer ! Mais je n'ai pas tout compris, c'est quoi le rapport entre ce film, "Vampyr", et les vampires en générales ?
Sinon j'ai bien aimé le petit cours cinéma avec cet "Effet Koulechov". Je pense que c'est quelque chose d'assez utile, car ne travaillant pas dans le cinéma je ne m'y connaît pas trop en vocabulaire, et apprendre comme ca de temps en temps des mots spécifiques c'est sympa ! :-)
En tout cas très bonne vidéo et merci Dott !
j'ai pas trop mis l'accent dans la chronique, mais il est question de vampirisme dans le film. J'ai préféré privilégier l'ambiance dans la chronique que le myth du vampire.