Au contraire j'ai rarement pesté devant les ordres donné a Trico, même presque jamais en fait en y réfléchissant, souvent je spammais 3 fois l'ordre d'affilé, j'attendais et il faisait ce que je voulais.
Par contre mâcher les boutons comme un mongolien pour s'échaper d'une armure pour se faire choper directe par une autre oui.
La salle circulaire où faut poser le miroir sur une blinde de piédestale tout en évitant tout autant d'armure, c'est de la pure saloperie.
c'est le seul truc que je me rappelle du jeu :) C'était tellement de la merde se passage, obligé d'aller voir une soluce pour savoir quoi faire et après avoir vérifié, je fessais exactement ce qu'il fallait, c'était juste complètement buggé le machin, j'imagine que ca a été corrigé depuis.
Yo !! Je m'incruste dans la discussion si vous l'voulez bien.^^
En se qui concerne les ordres de direction ou d'action que l'on donne à Toriko l'idéale est de maintenir l'ordre pendant 2 à 3 secondes et d'être un peu patient (mais vraiment très peu si l’exécution est bien faite) et d'être debout (quant on est sur lui) car c'est vrai que les ordres donnés quant on est accroché à ses plumes sont un peu moins probant. Parfois on a du mal à cibler précisément la direction souhaité dans cette position.
Le passage sous-marin ne m'a pas pausé de problème particulier, il suffit d'attendre la fin de son animation lorsqu'il saute du promontoire rocheux et une fois stabilisé, en étant sur lui, on maintient R1 et on pointe vers le bas pendant 2, 3 secondes et le tour est joué.
Pour le coup du matraquage de bouton afin de ce débarrasser de l'emprise des armures ou de leur étreinte, il est vrai que ce n'était pas le meilleur mouv de la part de Ueda même si je comprends la logique. On se débat comme un forcené en gigotant dans tout les sens un peu comme quant on nous fait des chatouilles. ^^ Retranscrit manette en main c'est cohérent. (Pour la durée de vie de la manette, un peu moins :p)
Le passage avec les piédestal est on ne peut plus simple quant on réfléchi un peu, il suffit d'attirer les armures au centre, de sauter de l'autre côté et d'utiliser le bouclier sur elles, Toriko s'occupe du reste. En 2 fois c'est torché, ensuite tu fais le tour du proprio tranquillou pépère.
Et enfin pour descendre de notre ami, si on veut pas se rattraper tous les 2 mètres, il suffit de maintenir X et c'est direction l'plancher des vaches direct.
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.
Un passage tout droit sorti des enfers...que j'ai vécu pour la première fois hier soir. J'aurai très bien pu rester coincé ad vitam eternam d'ailleurs, puisque Trico m'a induit 2 fois en erreur en faisant demi tour coup sur coup.
Heureusement que le jeu à de très grandes qualités à côté, car niveau maniabilité, je crois bien n'avoir jamais vu pire en un peu plus de 30 ans de gaming.
Citation:
j'imagine que ca a été corrigé depuis.
Je confirme donc que non.
Citation:
Je me souviens avoir accédé à une petite zone très en hauteur (dans la deuxième salle où il faut faire plonger Trico ). J'étais persuadé que c'était un secrt eeeeeettttttt... Non. Déception :P
J'étais, de mon côté, persuadé que c'était la sortie...sauf qu'il n'a jamais voulu y monter :)
Pour le reste, et sans trop m'étendre: le jeu était juste incroyable. Je crois bien ne jamais avoir vécu autant d'émotions dans un jeu solo narratif. Comme quoi, il est tout a fait possible de pondre quelque chose d'exceptionnel sur le plan narratif à condition de savoir exploiter les propriétés du média. Le jeu à évidement ses défauts: mécaniques de gameplay qui se répètent vers la fin du jeu et maniabilité atroce notamment, mais à côté du reste, c'est juste peanuts. Mon jeu préféré de Ueda je crois bien....et sans doute mon jeu narratif préféré tout court.
Sinon, si mes souvenirs sont bon, il était question de "graphismes dépassés" à l'époque de sa sortie. Je ne sais pas ce que les mecs ont fumé, car c'est juste à tomber 90% du temps. La modélisation de Trico, les détails architecturaux, l'éclairage de fou furieux....ils sont complètement siphonnés.
Au hasard le passage où Tricot doit plonger non ?
Le maniement du gamin est horrible sans compter la caméra capricieuse et la bête qui met parfois 3 plombes à obéir.
Ca reste néanmoins un bon jeu avec des passages épiques. Mais je préfère largement Ico et SOTC.
Au contraire j'ai rarement pesté devant les ordres donné a Trico, même presque jamais en fait en y réfléchissant, souvent je spammais 3 fois l'ordre d'affilé, j'attendais et il faisait ce que je voulais.
Par contre mâcher les boutons comme un mongolien pour s'échaper d'une armure pour se faire choper directe par une autre oui.
La salle circulaire où faut poser le miroir sur une blinde de piédestale tout en évitant tout autant d'armure, c'est de la pure saloperie.
c'est le seul truc que je me rappelle du jeu :) C'était tellement de la merde se passage, obligé d'aller voir une soluce pour savoir quoi faire et après avoir vérifié, je fessais exactement ce qu'il fallait, c'était juste complètement buggé le machin, j'imagine que ca a été corrigé depuis.
Yo !! Je m'incruste dans la discussion si vous l'voulez bien.^^
En se qui concerne les ordres de direction ou d'action que l'on donne à Toriko l'idéale est de maintenir l'ordre pendant 2 à 3 secondes et d'être un peu patient (mais vraiment très peu si l’exécution est bien faite) et d'être debout (quant on est sur lui) car c'est vrai que les ordres donnés quant on est accroché à ses plumes sont un peu moins probant. Parfois on a du mal à cibler précisément la direction souhaité dans cette position.
Le passage sous-marin ne m'a pas pausé de problème particulier, il suffit d'attendre la fin de son animation lorsqu'il saute du promontoire rocheux et une fois stabilisé, en étant sur lui, on maintient R1 et on pointe vers le bas pendant 2, 3 secondes et le tour est joué.
Pour le coup du matraquage de bouton afin de ce débarrasser de l'emprise des armures ou de leur étreinte, il est vrai que ce n'était pas le meilleur mouv de la part de Ueda même si je comprends la logique. On se débat comme un forcené en gigotant dans tout les sens un peu comme quant on nous fait des chatouilles. ^^ Retranscrit manette en main c'est cohérent. (Pour la durée de vie de la manette, un peu moins :p)
Le passage avec les piédestal est on ne peut plus simple quant on réfléchi un peu, il suffit d'attirer les armures au centre, de sauter de l'autre côté et d'utiliser le bouclier sur elles, Toriko s'occupe du reste. En 2 fois c'est torché, ensuite tu fais le tour du proprio tranquillou pépère.
Et enfin pour descendre de notre ami, si on veut pas se rattraper tous les 2 mètres, il suffit de maintenir X et c'est direction l'plancher des vaches direct.
Ginko, mon p'ti coeur, je pense très fort à toi... tous les jours.
Un passage tout droit sorti des enfers...que j'ai vécu pour la première fois hier soir. J'aurai très bien pu rester coincé ad vitam eternam d'ailleurs, puisque Trico m'a induit 2 fois en erreur en faisant demi tour coup sur coup.
Heureusement que le jeu à de très grandes qualités à côté, car niveau maniabilité, je crois bien n'avoir jamais vu pire en un peu plus de 30 ans de gaming.
Je confirme donc que non.
J'étais, de mon côté, persuadé que c'était la sortie...sauf qu'il n'a jamais voulu y monter :)
Pour le reste, et sans trop m'étendre: le jeu était juste incroyable. Je crois bien ne jamais avoir vécu autant d'émotions dans un jeu solo narratif. Comme quoi, il est tout a fait possible de pondre quelque chose d'exceptionnel sur le plan narratif à condition de savoir exploiter les propriétés du média. Le jeu à évidement ses défauts: mécaniques de gameplay qui se répètent vers la fin du jeu et maniabilité atroce notamment, mais à côté du reste, c'est juste peanuts. Mon jeu préféré de Ueda je crois bien....et sans doute mon jeu narratif préféré tout court.
Sinon, si mes souvenirs sont bon, il était question de "graphismes dépassés" à l'époque de sa sortie. Je ne sais pas ce que les mecs ont fumé, car c'est juste à tomber 90% du temps. La modélisation de Trico, les détails architecturaux, l'éclairage de fou furieux....ils sont complètement siphonnés.
"VOICI UN INDICE LES PALMIERS . ET 8 SONT LES MOTS CLE!" Un pnj nébuleux
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