Bon, après plusieurs écoutes, j'le le trouve correct cet album finalement. Bien mieux que The 2nd Law et The Resistance.
Y'a quand même quelques beaux morceaux, je pense surtout à The Globalist (celui-ci je pense qu'on est tous d'accord pour dire que c'est sûrement la plus belle production de Muse depuis Black Holes and Revelations), Reapers, Defector et Psycho (énormément critiqué, j'ai du mal à comprendre pourquoi d'ailleurs).
Au niveau des points faibles, je citerais Mercy, Revolt (horrible, c'est niais et sans âme) et Dead Inside.
Donc finalement y'a un certain équilibre qui se crée. Pas le meilleurs album de muse, on est d'accord, mais pas le pire pour autant.
Du coup, si je réactualise mon classement, ça fait:
1- Origin of Symmetry
2- Showbiz
3- Absolution
4- Black Holes and Revelations
5- Drones
6- The 2nd Law
7- The Resistance
Je ne vais pas répéter, ce qui a été formulé au cours des coms précédents. Je présente ici, uniquement le dernier album de ce groupe (dont je suis fan).
Sorti le 8 juin 2015 en France, Drones le dernier album de MUSE à ce jour, se présentait comme étant le retour à un son plus rock, et moins pop-électro, comme avaient été les productions récentes à cette époque.
Au final cette œuvre est plus une large revue de toute la discographie du groupe, alternant : rock, pop, ballade, musique classique, et sons progressifs, qu’une résurgence de leur ancienne tonalité grandiloquente, composée des sonorités stridentes et ados de leur début (Showbiz), à des teintes plus spaces et new wave (Origin of Symmetry), lesquelles étant particulièrement appréciée par les fans d’origine. On a devant soi, un bilan de leur carrière, un mixte, ou encore un compromis mis aux yeux de l’ensemble vaste de leurs adorateurs. Car quand on se déploie du Hard rock jusqu’au Classique, en passant par le Dubstep, on finit par pêcher un grand nombre de poissons différents.
La spécificité de ce disque, réside dans le fait qu’il dévoile au fil des plages un fil conducteur, une histoire résumée par le titre « drones ».
Dead Inside ▼▲
Mortification en français, c’est plus classe, raconte un type dont le regard est dessillé vis-à-vis de sa copine, qui n’est plus vue par lui que comme une hypocrite superficielle. Cela fait penser à Supermassive Black Hole, pour le thème (et pas pour la scène de base-ball dans Twilight bordel). Le gars n’a plus d’espoir en l’âme sœur, et finit par devenir lui-même mort à l’intérieur. Référence aussi au divorce de Bellamy. Musicalement gros hommage au pop-électro des années 80, ou encore à Depeche Mode (voire déjà Undisclosed Desires).
Psycho ▼▲
Psykokwak, euh Psychopathe plutôt, s’ouvre par le discours à la Full Metal Jacket, d’un sergent instructeur. Et oui, tout comme Reese dans Malcolm, une déception de cœur vous pousse direct à vous engager (sinon c’est le monastère, comme dans la pub Mars sur la musique de My Girl de Nirvana). “ Love, it will get you nowhere. You are on your own. Lost in the wild. So come to me now ” ; (il y a Google traduction, si vous avez du mal à comprendre le boulon).
Ici est explicité le thème de l’album. Le gars laisse aller sa propre conscience, perd sa liberté, en se mettant complétement à la discrétion d’un autre, ici l’armée. C’est un robot commandé maintenant, un drone militaire piloté par des profiteurs. Voilà d’où vient la métaphore ! Le riff de guitare est efficace, mais répétitif. On peut, attention, ne pas voir uniquement une critique de l’embrigadement militaire d’une armée régulière, mais aussi celle d'une forme de radicalisation, de quelqu’un qui part en guerre et exécute les ordres comme un pion. Voyez ou je veux en venir.
Mercy ▼▲
Du vieux françois signifiant bonté. Cette chanson aurait dû être placée avant la précédente, car elle parle de l’hésitation et du passage vers le mal du type (je suis ton père, rejoins le côté obscur), qui ne trouve pas de bonté, pas d’appui dans ce monde, mais qui essaye de se faire violence. Présente dans le dernier jeu Batman. Elle est meilleure en live, ressemble à Starlight avec la basse efficace, mais peut-être trop mièvre. Dans le clip, la nouvelle copine de Bellamy, qui n’aime que les blondes apparemment.
Reapers ▼▲
Quel solo ! Moissonneurs comme dans Mass Effect. Référence aux drones, les machines cette fois-ci, symbole de la nouvelle guerre à distance et dans le dos, lâchement. Mais inversement si on choisit la métaphore, le premier couplet, vous fera penser à des événements tragiques récents (réf. Psycho du dessus), traduction : Notre foyer devient un champ de meurtre. Il y a un viseur pointé sur mon cœur. Sans aucun recours. Et il n’y a personne au volant (déshumanisé). Feu d’enfer. Vous m’anéantissez, tué par des «drones».
The Handler ▼▲
Le Maître, le Marionnettiste. Le gars fait l’effort de reprendre sa responsabilité en main, s’émanciper contre celui-là. Solo de guitare à la Castlevania (pas autant que dans In Your World). Titre préféré de beaucoup. Du MUSE ancien.
Defector ▼▲
En introduction discours de Kennedy, sur la diffusion du communisme, repris par Bellamy pour parler de diffusion complotiste et totalitariste ; son côté parano et illuminati (MK Ultra). Le gars est un dissident, qui brave l’ordre établi, en reprenant sa liberté. Chanté lors de la prise de la Bastille, puis des Tuileries sous la Révolution. Analogue à du Queen musicalement.
Revolt
Le gars trouve un sens dans sa vie, de faire rejaillir la liberté de tous contre l’oppression instituée. La guerre se tourne de direction. Les lendemains qui chantent… Titre faible, avec un côté très jeune, mais peut-être les meilleures paroles de l’album.
Aftermath
Après les maths. MDR . LOL . PTDR. L’après-guerre tout simplement. Le gars retrouve ses pénates, et sa femme, ainsi l’amour est retrouvé symboliquement, pour toujours. On peut voir aussi d’une manière triste, que le soldat s’est fait tuer voire sa femme aussi, et qu’ils se réunissent à leurs morts éternellement dans la paix. L’opposé de Soldier’s Poem. La ballade de l’album, à la U2.
The Globalist
Le Mondialiste, le Dictateur mondial, qui pour être plus aimé par les autres, qu’ils seraient eux d’eux-mêmes, fait tout péter nucléairement, à la Fallout, car il ne croit en rien qu’à la puissance, même destructrice de l’orgueil. Titre progressif exceptionnel, et oui, composé en trois parties. De l’Ennio Morricone spaghetti (Knights of Cydonia), de la grosse guitare, puis ballade et cœur au piano.
Drones
Éponyme de l’album. Psaume, aucune instru, à cappella, avec mélodie reprise du Sanctus & Benedictus de Palestrina. Chant d’église résumant le thème de l’album : des hommes-machines s’entretuant. On dit souvent que Bellamy est athée, alors que MUSE parle beaucoup de religion (Glorious, Megalomania, Absolution, Fury, Thoughts of a Dying Atheist, …). Vrai ou faux ; l'Amen final est ironique ou sincère ?
En conclusion, bon album, pas forcément le meilleur, mais au-dessus de The Second Law. Les musiques épurées sont la différence d’avec les envolés baroques du passé. Ils vieillissent, mais prennent en consistance.
Y'a juste The Handler à sauver et à la rigueur Reapers en étant gentil. Mais même ces chansons là sont tellement en deçà de ce que le groupe produisait de pire même en 1999.
J'ai attendu 3 albums que Muse se reprenne, mais c'est foutu on dirait. C'est devenu un groupe FM depuis longtemps, eux qui étaient si prometteurs.
Je trouve que Muse ne fait que régresser depuis Origin of Symetry ; le dernier "bon" album du groupe étant "Black Holes & Revelations" ( exception faite de "Panic Station" faite après ).
Le dernier album est une vraie BOUSE : ça ressemble à des remixes des précèdents titres... en moins bien !
C'est vraiment dommage que les 1ers albums étaient vraiment bons. C'est d'autant + rageant...
Mon chaton, il est tout mignon, il est tout ronron...
De toute façon, des groupes ou chanteurs qui restent au sommet de leurs arts pendant des décennies, ou pis s'améliorent sans fin jusqu'à ce qui est arrivé à Bowie aujourd'hui ; ça n'existe pas. Beaucoup grossissent le trait pour dire que c'est toujours plus pire d'album en album.
À titre personnel, dans le cas de MUSE les deux plus faibles sont Showbiz et The 2nd Law, donc pas déçu du dernier en date. Après... attention retenez-le, à graver dans le marbre : "chacun ses goûts."
Au fil du temps, pour une assise de fans : le premier tiers se lasse, car le groupe n'évolue pas, se répète et la routine s'installe ; le deuxième tiers trouve que ça change trop, et qu'il ne retrouve plus ce qu'il avait aimé ; et enfin le dernier change de sensibilité et va ailleurs. C'est comme pour les couples. :p
Tiens, revenons à Bowie. Avec tous les styles qu'il a eu, comment pourrait-il exister un de ses fans qui apprécierait toute son œuvre, avec la même force ? Impossible.
La très grande majorité des gens sont nostalgiques, donc ils s'accrochent souvent au début de carrière (exception d'Indochine ou Renaud, mais il faut alors une bonne traversée du désert et repointer idéalement,... pour redisparaître :p). Je ne pense pas que les rétrospectives hommages sur Bowie concerneront ses derniers albums.
Au final, on reste dans le sillage d'un groupe/chanteur lorsque celui-ci vous marque par son identité, et par l'influence qu'il a eu sur vous (parce que pour MUSE, il y a les paroles aussi). C'est de la fidélité. Et s'il doit y rester un seul...
Sans passer par 4 chemins, perso, pas l'une de leurs meilleures chansons évidemment mais pas une bouse non plus. Un Madness-like. On aime ou on aime pas, c'est toujours pareil.
Par contre j'aime bien les paroles comme : "When God decides to look the other way and a clown takes the throne" (hein Donald !), ça rappelle notamment celles de Knights of Cydonia : "I'll show you a God who falls asleep on the job. How can we win, when fools can be kings ?"
(ah oui, Bellamy parle tout le temps de Dieu, mais pour 99% du net il est athée comme cochon, that makes sense !)
Après la réaction des gens... Ils aiment bien que tout soit dans des cases, et Muse ça devait être du Origin Of Symmetry pour perpette (et encore pour certains, ils s'étaient déjà perdus après Showbiz [1999]...). Ils peuvent pas faire ce qu'ils veulent, un peu le même débat qu'avec Hooper qui a changé, les reviews, "change de jeu", "joue pas comme ça", etc.
Depuis le teasing de ce single, ça se paluchait et piaffait sur les réseaux sociaux, et sont-ce les mêmes qui parce que cela n'est pas fait selon leurs mensurations, qui vont direct maugréer sur le travail d'un groupe, mis à leur disposition gratos.
Pour faire un parallèle avec le JV, RE7 modifie la licence des RE, on apprécie ou pas, mais on peut pas dire que c'est du caca pour autant (la démo si :p), juste pour un style différent. Pour beaucoup Muse est mort, sauf qu'à chaque album la même proportion le dit, bref soit-disant ils meurent continuellement et les insatisfaits eux sont toujours là bizarrement.
Je suis pas déçu de ce titre, car je m'attendais à tout, sachant que les productions de Muse vont de la musique classique au dub-step, en passant par le R’n’B, le rock progressif, la pop, etc. Ce qui est d'ailleurs leur force ; pas du AC/DC qui fait la même chose depuis 40 ans.
Faut pas avoir peur pour le futur album d'un manque de rock, Muse a pris l'habitude de mettre en single leurs titres "passables" en radio, les plus mainstream (voire le cas de Drones).
Bon, après plusieurs écoutes, j'le le trouve correct cet album finalement. Bien mieux que The 2nd Law et The Resistance.
Y'a quand même quelques beaux morceaux, je pense surtout à The Globalist (celui-ci je pense qu'on est tous d'accord pour dire que c'est sûrement la plus belle production de Muse depuis Black Holes and Revelations), Reapers, Defector et Psycho (énormément critiqué, j'ai du mal à comprendre pourquoi d'ailleurs).
Au niveau des points faibles, je citerais Mercy, Revolt (horrible, c'est niais et sans âme) et Dead Inside.
Donc finalement y'a un certain équilibre qui se crée. Pas le meilleurs album de muse, on est d'accord, mais pas le pire pour autant.
Du coup, si je réactualise mon classement, ça fait:
1- Origin of Symmetry
2- Showbiz
3- Absolution
4- Black Holes and Revelations
5- Drones
6- The 2nd Law
7- The Resistance
Sorti le 8 juin 2015 en France, Drones le dernier album de MUSE à ce jour, se présentait comme étant le retour à un son plus rock, et moins pop-électro, comme avaient été les productions récentes à cette époque.
Au final cette œuvre est plus une large revue de toute la discographie du groupe, alternant : rock, pop, ballade, musique classique, et sons progressifs, qu’une résurgence de leur ancienne tonalité grandiloquente, composée des sonorités stridentes et ados de leur début (Showbiz), à des teintes plus spaces et new wave (Origin of Symmetry), lesquelles étant particulièrement appréciée par les fans d’origine. On a devant soi, un bilan de leur carrière, un mixte, ou encore un compromis mis aux yeux de l’ensemble vaste de leurs adorateurs. Car quand on se déploie du Hard rock jusqu’au Classique, en passant par le Dubstep, on finit par pêcher un grand nombre de poissons différents.
La spécificité de ce disque, réside dans le fait qu’il dévoile au fil des plages un fil conducteur, une histoire résumée par le titre « drones ».
Mortification en français, c’est plus classe, raconte un type dont le regard est dessillé vis-à-vis de sa copine, qui n’est plus vue par lui que comme une hypocrite superficielle. Cela fait penser à Supermassive Black Hole, pour le thème (et pas pour la scène de base-ball dans Twilight bordel). Le gars n’a plus d’espoir en l’âme sœur, et finit par devenir lui-même mort à l’intérieur. Référence aussi au divorce de Bellamy. Musicalement gros hommage au pop-électro des années 80, ou encore à Depeche Mode (voire déjà Undisclosed Desires).
Psykokwak, euh Psychopathe plutôt, s’ouvre par le discours à la Full Metal Jacket, d’un sergent instructeur. Et oui, tout comme Reese dans Malcolm, une déception de cœur vous pousse direct à vous engager (sinon c’est le monastère, comme dans la pub Mars sur la musique de My Girl de Nirvana). “ Love, it will get you nowhere. You are on your own. Lost in the wild. So come to me now ” ; (il y a Google traduction, si vous avez du mal à comprendre le boulon).
Ici est explicité le thème de l’album. Le gars laisse aller sa propre conscience, perd sa liberté, en se mettant complétement à la discrétion d’un autre, ici l’armée. C’est un robot commandé maintenant, un drone militaire piloté par des profiteurs. Voilà d’où vient la métaphore ! Le riff de guitare est efficace, mais répétitif. On peut, attention, ne pas voir uniquement une critique de l’embrigadement militaire d’une armée régulière, mais aussi celle d'une forme de radicalisation, de quelqu’un qui part en guerre et exécute les ordres comme un pion. Voyez ou je veux en venir.
Du vieux françois signifiant bonté. Cette chanson aurait dû être placée avant la précédente, car elle parle de l’hésitation et du passage vers le mal du type (je suis ton père, rejoins le côté obscur), qui ne trouve pas de bonté, pas d’appui dans ce monde, mais qui essaye de se faire violence. Présente dans le dernier jeu Batman. Elle est meilleure en live, ressemble à Starlight avec la basse efficace, mais peut-être trop mièvre. Dans le clip, la nouvelle copine de Bellamy, qui n’aime que les blondes apparemment.
Quel solo ! Moissonneurs comme dans Mass Effect. Référence aux drones, les machines cette fois-ci, symbole de la nouvelle guerre à distance et dans le dos, lâchement. Mais inversement si on choisit la métaphore, le premier couplet, vous fera penser à des événements tragiques récents (réf. Psycho du dessus), traduction : Notre foyer devient un champ de meurtre. Il y a un viseur pointé sur mon cœur. Sans aucun recours. Et il n’y a personne au volant (déshumanisé). Feu d’enfer. Vous m’anéantissez, tué par des «drones».
Le Maître, le Marionnettiste. Le gars fait l’effort de reprendre sa responsabilité en main, s’émanciper contre celui-là. Solo de guitare à la Castlevania (pas autant que dans In Your World). Titre préféré de beaucoup. Du MUSE ancien.
En introduction discours de Kennedy, sur la diffusion du communisme, repris par Bellamy pour parler de diffusion complotiste et totalitariste ; son côté parano et illuminati (MK Ultra). Le gars est un dissident, qui brave l’ordre établi, en reprenant sa liberté. Chanté lors de la prise de la Bastille, puis des Tuileries sous la Révolution. Analogue à du Queen musicalement.
Revolt
Le gars trouve un sens dans sa vie, de faire rejaillir la liberté de tous contre l’oppression instituée. La guerre se tourne de direction. Les lendemains qui chantent… Titre faible, avec un côté très jeune, mais peut-être les meilleures paroles de l’album.
Aftermath
Après les maths. MDR . LOL . PTDR. L’après-guerre tout simplement. Le gars retrouve ses pénates, et sa femme, ainsi l’amour est retrouvé symboliquement, pour toujours. On peut voir aussi d’une manière triste, que le soldat s’est fait tuer voire sa femme aussi, et qu’ils se réunissent à leurs morts éternellement dans la paix. L’opposé de Soldier’s Poem. La ballade de l’album, à la U2.
The Globalist
Le Mondialiste, le Dictateur mondial, qui pour être plus aimé par les autres, qu’ils seraient eux d’eux-mêmes, fait tout péter nucléairement, à la Fallout, car il ne croit en rien qu’à la puissance, même destructrice de l’orgueil. Titre progressif exceptionnel, et oui, composé en trois parties. De l’Ennio Morricone spaghetti (Knights of Cydonia), de la grosse guitare, puis ballade et cœur au piano.
Drones
Éponyme de l’album. Psaume, aucune instru, à cappella, avec mélodie reprise du Sanctus & Benedictus de Palestrina. Chant d’église résumant le thème de l’album : des hommes-machines s’entretuant. On dit souvent que Bellamy est athée, alors que MUSE parle beaucoup de religion (Glorious, Megalomania, Absolution, Fury, Thoughts of a Dying Atheist, …). Vrai ou faux ; l'Amen final est ironique ou sincère ?
En conclusion, bon album, pas forcément le meilleur, mais au-dessus de The Second Law. Les musiques épurées sont la différence d’avec les envolés baroques du passé. Ils vieillissent, mais prennent en consistance.
C'est tellement nul...
Y'a juste The Handler à sauver et à la rigueur Reapers en étant gentil. Mais même ces chansons là sont tellement en deçà de ce que le groupe produisait de pire même en 1999.
J'ai attendu 3 albums que Muse se reprenne, mais c'est foutu on dirait. C'est devenu un groupe FM depuis longtemps, eux qui étaient si prometteurs.
Hébéééé! Ce jeu n'a aucun sens !
Elfmaniac, console-toi avec leur plus grand tube :
C'est limite de la poop ton truc XD
Mais c'est bien marrant ! Et en plus on entend du Killers et du Electric Six !
Hébéééé! Ce jeu n'a aucun sens !
C'est tout à fait ça. ;)
Je trouve que Muse ne fait que régresser depuis Origin of Symetry ; le dernier "bon" album du groupe étant "Black Holes & Revelations" ( exception faite de "Panic Station" faite après ).
Le dernier album est une vraie BOUSE : ça ressemble à des remixes des précèdents titres... en moins bien !
C'est vraiment dommage que les 1ers albums étaient vraiment bons. C'est d'autant + rageant...
Mon chaton, il est tout mignon, il est tout ronron...
De toute façon, des groupes ou chanteurs qui restent au sommet de leurs arts pendant des décennies, ou pis s'améliorent sans fin jusqu'à ce qui est arrivé à Bowie aujourd'hui ; ça n'existe pas. Beaucoup grossissent le trait pour dire que c'est toujours plus pire d'album en album.
À titre personnel, dans le cas de MUSE les deux plus faibles sont Showbiz et The 2nd Law, donc pas déçu du dernier en date. Après... attention retenez-le, à graver dans le marbre : "chacun ses goûts."
Au fil du temps, pour une assise de fans : le premier tiers se lasse, car le groupe n'évolue pas, se répète et la routine s'installe ; le deuxième tiers trouve que ça change trop, et qu'il ne retrouve plus ce qu'il avait aimé ; et enfin le dernier change de sensibilité et va ailleurs. C'est comme pour les couples. :p
Tiens, revenons à Bowie. Avec tous les styles qu'il a eu, comment pourrait-il exister un de ses fans qui apprécierait toute son œuvre, avec la même force ? Impossible.
La très grande majorité des gens sont nostalgiques, donc ils s'accrochent souvent au début de carrière (exception d'Indochine ou Renaud, mais il faut alors une bonne traversée du désert et repointer idéalement,... pour redisparaître :p). Je ne pense pas que les rétrospectives hommages sur Bowie concerneront ses derniers albums.
Au final, on reste dans le sillage d'un groupe/chanteur lorsque celui-ci vous marque par son identité, et par l'influence qu'il a eu sur vous (parce que pour MUSE, il y a les paroles aussi). C'est de la fidélité. Et s'il doit y rester un seul...
Nouveau titre Dig Down :
Sans passer par 4 chemins, perso, pas l'une de leurs meilleures chansons évidemment mais pas une bouse non plus. Un Madness-like. On aime ou on aime pas, c'est toujours pareil.
Par contre j'aime bien les paroles comme : "When God decides to look the other way and a clown takes the throne" (hein Donald !), ça rappelle notamment celles de Knights of Cydonia : "I'll show you a God who falls asleep on the job. How can we win, when fools can be kings ?"
(ah oui, Bellamy parle tout le temps de Dieu, mais pour 99% du net il est athée comme cochon, that makes sense !)
Après la réaction des gens... Ils aiment bien que tout soit dans des cases, et Muse ça devait être du Origin Of Symmetry pour perpette (et encore pour certains, ils s'étaient déjà perdus après Showbiz [1999]...). Ils peuvent pas faire ce qu'ils veulent, un peu le même débat qu'avec Hooper qui a changé, les reviews, "change de jeu", "joue pas comme ça", etc.
Depuis le teasing de ce single, ça se paluchait et piaffait sur les réseaux sociaux, et sont-ce les mêmes qui parce que cela n'est pas fait selon leurs mensurations, qui vont direct maugréer sur le travail d'un groupe, mis à leur disposition gratos.
Pour faire un parallèle avec le JV, RE7 modifie la licence des RE, on apprécie ou pas, mais on peut pas dire que c'est du caca pour autant (la démo si :p), juste pour un style différent. Pour beaucoup Muse est mort, sauf qu'à chaque album la même proportion le dit, bref soit-disant ils meurent continuellement et les insatisfaits eux sont toujours là bizarrement.
Je suis pas déçu de ce titre, car je m'attendais à tout, sachant que les productions de Muse vont de la musique classique au dub-step, en passant par le R’n’B, le rock progressif, la pop, etc. Ce qui est d'ailleurs leur force ; pas du AC/DC qui fait la même chose depuis 40 ans.
Faut pas avoir peur pour le futur album d'un manque de rock, Muse a pris l'habitude de mettre en single leurs titres "passables" en radio, les plus mainstream (voire le cas de Drones).