Déconvenue première.
Ce matin j'ouvre la boite aux lettres et j'y découvre, stupeur, la déclaration URSSAF que j'ai envoyée hier. A l'URSSAF, bien sûr. Un rétropédalage de méninges plus tard, je revois la scène : je fais mon calcul de cotisations, je fais le chèque (grand moment de solitude mais c'est une autre histoire)et m'en vais à la Poste parce que je n'ai pas de timbre. Là-bas, je papote avec notre préposée qui est une copine, on se file des nouvelles de tout et n'importe quoi, en même temps que je glisse tout dans mon enveloppe, qu'elle la timbre, me fout le tampon pour avoir la date d'envoi certifiée par la Poste et merci, au revoir à la prochaine, porte-toi bien, je repars.
L'URSSAF met sur la même page, l'adresse du destinataire (pour nous faire parvenir ce papier maudit) et la sienne (pour que l'on puisse le lui renvoyer), il suffit de retourner le pliage. Ou de ne pas faire gaffe qu'on ne l'a pas fait et ainsi pouvoir constater :
- Qu'une lettre que j'envoie depuis le haut de ma rue arrive le lendemain chez moi
- Qu'il va falloir que je paie un second timbre.
- Que la prochaine fois, j'éviterai de papoter en même temps que je fais mon courrier !
Déconvenue deuxième
Le téléphone sonne, un numéro de portable inconnu. Je décroche, ça pourrait être pour le boulot. C'est une "journaliste" du magasine Elle qui m'annonce qu'ils font un numéro spécial Occitanie et qu'ils veulent y faire apparaitre des professionnels de la région, dont moi.
J'avoue, j'ai pouffé.
- Vous n'êtes pas lectrice ...
- Non, en effet.
- Peu importe, ce n'est pas un problème, nous souhaitons faire connaitre à nos lectrices d'autres adresses que leurs fournisseurs parisiens habituels.
- C'est gentil ...
J'ai dit ça le temps de décider si j'allais ou non pactiser avec cette parution sur papier glacé de la petite bourgeoisie parisienne et sans doute avais-je encore un sourire dans la voix. Et avant même qu'une quelconque option se soit offerte à ma réflexion, je l'entends qui dit à quelqu'un :
-ELLE N'EN A RIEN A PETE !
Et BAM ! elle raccroche.
Outre le fait que j'aurais apprécié pouvoir le dire moi-même, je reste choquée du terme employé par un membre de cette rédaction. Le grand capital devient vulgaire et vole les expressions des honnêtes travailleurs. C'est une honte et une spoliation inepte !
Team Mimic en bois
Genesis : " Je peux demander un vélo rail mais va falloir pédaler jusqu'a Perigueux "
Tout bien réfléchi, je crois que le pire dans cette histoire de courrier c'est que pour une fois que je reçois un chèque dans ma boite aux lettres, je ne peux même pas l'encaisser.
Spoiler ▼▲
Team Mimic en bois
Genesis : " Je peux demander un vélo rail mais va falloir pédaler jusqu'a Perigueux "
- Qu'une lettre que j'envoie depuis le haut de ma rue arrive le lendemain chez moi
- Qu'il va falloir que je paie un second timbre.
- Que la prochaine fois, j'éviterai de papoter en même temps que je fais mon courrier !
Ca me fait penser à ce fameux jour où je m'étais envoyée à moi-même un courrier ( en recommandé, s'il vous plait -_-' ) de demande d'intégrer un certain centre de formation : j'avais inversé expéditeur et destinataire, et j'avais même pas papoté avec quiconque ^^' .
Faut dire que sur le bordereau, le petit encart est pour le destinataire et le gros encart pour l'expéditeur, alors qu'on aurait tendance à penser l'inverse :p
Un petit partage de doubles looses rigolotes :
Déconvenue première.
Ce matin j'ouvre la boite aux lettres et j'y découvre, stupeur, la déclaration URSSAF que j'ai envoyée hier. A l'URSSAF, bien sûr. Un rétropédalage de méninges plus tard, je revois la scène : je fais mon calcul de cotisations, je fais le chèque (grand moment de solitude mais c'est une autre histoire)et m'en vais à la Poste parce que je n'ai pas de timbre. Là-bas, je papote avec notre préposée qui est une copine, on se file des nouvelles de tout et n'importe quoi, en même temps que je glisse tout dans mon enveloppe, qu'elle la timbre, me fout le tampon pour avoir la date d'envoi certifiée par la Poste et merci, au revoir à la prochaine, porte-toi bien, je repars.
L'URSSAF met sur la même page, l'adresse du destinataire (pour nous faire parvenir ce papier maudit) et la sienne (pour que l'on puisse le lui renvoyer), il suffit de retourner le pliage. Ou de ne pas faire gaffe qu'on ne l'a pas fait et ainsi pouvoir constater :
- Qu'une lettre que j'envoie depuis le haut de ma rue arrive le lendemain chez moi
- Qu'il va falloir que je paie un second timbre.
- Que la prochaine fois, j'éviterai de papoter en même temps que je fais mon courrier !
Déconvenue deuxième
Le téléphone sonne, un numéro de portable inconnu. Je décroche, ça pourrait être pour le boulot. C'est une "journaliste" du magasine Elle qui m'annonce qu'ils font un numéro spécial Occitanie et qu'ils veulent y faire apparaitre des professionnels de la région, dont moi.
J'avoue, j'ai pouffé.
- Vous n'êtes pas lectrice ...
- Non, en effet.
- Peu importe, ce n'est pas un problème, nous souhaitons faire connaitre à nos lectrices d'autres adresses que leurs fournisseurs parisiens habituels.
- C'est gentil ...
J'ai dit ça le temps de décider si j'allais ou non pactiser avec cette parution sur papier glacé de la petite bourgeoisie parisienne et sans doute avais-je encore un sourire dans la voix. Et avant même qu'une quelconque option se soit offerte à ma réflexion, je l'entends qui dit à quelqu'un :
-ELLE N'EN A RIEN A PETE !
Et BAM ! elle raccroche.
Outre le fait que j'aurais apprécié pouvoir le dire moi-même, je reste choquée du terme employé par un membre de cette rédaction. Le grand capital devient vulgaire et vole les expressions des honnêtes travailleurs. C'est une honte et une spoliation inepte !
Team Mimic en bois
Genesis : " Je peux demander un vélo rail mais va falloir pédaler jusqu'a Perigueux "
J'avoue que si les démarcheurs se mettent à nous voler le plaisir de leur dire qu'on s'en fout, que nous reste-t-il ?!
https://www.youtube.com/watch?v=PZSEXOMuO58
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Tout bien réfléchi, je crois que le pire dans cette histoire de courrier c'est que pour une fois que je reçois un chèque dans ma boite aux lettres, je ne peux même pas l'encaisser.
Team Mimic en bois
Genesis : " Je peux demander un vélo rail mais va falloir pédaler jusqu'a Perigueux "
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
Faut dire que sur le bordereau, le petit encart est pour le destinataire et le gros encart pour l'expéditeur, alors qu'on aurait tendance à penser l'inverse :p
BORDEL. XD
Connaissant la Plop Plop la frustration à du être OVER 9000.
Tu avais surement le ventre vide je ne vois pas d'autre explications. :)
Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCuTB6hjuEZB_d8faOCzPT-A/videos
Mes Soundcloud: https://soundcloud.com/umbasathesun/tracks
"Il n'est pas nécessaire d'éteindre la lumière de l'autre pour que brille la nôtre"
La question essentielle de cette histoire, Hell, c'est : Est-ce que tu t'ais accordé cette formation ?
Elle m'a volé mon texte. Je vais exiger des droits d'auteur.
Team Mimic en bois
Genesis : " Je peux demander un vélo rail mais va falloir pédaler jusqu'a Perigueux "
Suis témoins, si y'a le moindre procès je m'en vais témoigner à la barre sans problème, justice doit être fait. ^^
Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCuTB6hjuEZB_d8faOCzPT-A/videos
Mes Soundcloud: https://soundcloud.com/umbasathesun/tracks