sinon le dernier a ma connaissance de la série silent hill ,du moins pour la PS2 c'est silent hill origins qui parait t-il cela passe avant le premier,d'ou le nom.
Cher Hooper au delà du jeu lui-même sur lequel je suis plutôt d'accord, je penses que tu as tort de crier à la censure ("on peut pas dire ce qu'on pense") chaque fois que des gens râlent parce que tu critiques un jeu, comme tu l'as fait quand tu as répondu à Mangartiste.
Au delà des quelques fan(atiques) qui je pense sont minoritaires, à mon avis ce qui exaspère beaucoup de gens, ce n'est pas que tu dises du mal du jeu, mais que tu dises du mal d'un jeu sans le connaître vraiment.
Je ne juge pas, je ne suis pas streamer, j'imagine qu'on est moins concentré quand on commente à voix haute et j'imagine que c'est encore décuplé quand en plus tu lis un tchat, mais du coup dans beaucoup de jeux tu as tendance à râler après des mécaniques de gameplay que tu n'as pas comprises ou d'un scénario que tu n'as suivi que très vaguement.
C'est dommage car je me demande si les jeux de l'époque que tu considères comme cultes le seraient devenus si tu les avaient découverts dans de telles conditions.
Et on revient au problème des reviews, à l'époque quand tu donnais ton avis à froid, après avoir poncé un jeu et l'avoir bien compris, tes critiques étaient beaucoup plus recevables.
Même sur un jeu populaire comme Red Dead Redemption, je peux me tromper mais j'ai pas souvenir que ta review mitigée ait gêné beaucoup de monde.
Ça m'a longtemps agacé, maintenant je me suis résigné, je sais qu'il faut attendre la fin du let's play voire quelques jours après pour avoir un avis pertinent et le let's play en lui-même c'est juste pour la rigolade.
Hooper qui veut visiter la ville de Silent Hill une troisième fois.
J'imagine déjà les remarques s'ils l'avaient fait:
"Oui, il n'y a aucune différence entre le 1 et le 2, ils nous resservent le même plan de ville, aucune imagination, c'est moisi, etc...."
La Ville de SH, on la connait, et c'est une bourgade, pas une mégapole.
SH3 sert à clôturer l'histoire du 1, donc le scénario est un peu light, ça ne me choque pas.
Tout comme il existe un lien entre SH2 et SH4:The room (un chef d'œuvre pour moi) avec
Attention SPOIL !!!!
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
Walter Sullivan (évoqué dans la scène de l'ascenseur de SH2) et Le père de James Sunderland
Concernant l'hôpital, c'est surement par fainéantise, mais encore une fois, rien d'incohérent, il fait parti de la ville.....pourquoi pleurer là-dessus ?
La fin est baclée pour moi.
Ils auraient du mettre plus d'émotions, dans l'enterrement de Harry, personnage emblématique de la série par exemple, et un flashback explicatif de sa mort.
Il est survolé et c'est bien dommage.
Je trouve que c'est la première moitié du 3 qui pue la merde, comme la seconde du 4 d'ailleurs.
Citation:
Ils auraient du mettre plus d'émotions, dans l'enterrement de Harry, personnage emblématique de la série par exemple, et un flashback explicatif de sa mort.
Il est survolé et c'est bien dommage.
Bien satisfait de me remémorer SH 1,2,3 via les épopées du gros Ours. Autant j'avais un bon souvenir de SH3, autant je me rends compte que le déclin de la série a commencer avec celui-ci.
Le 1 est culte avec une indentité forte mais reste un jeu pété et éprouvant un peu à l'image du 1er Dark Souls mais ça reste très marquant.
Le 2 est un jeu d'exception, le gameplay on oublie mais sa forme et son fond sont incroyables, tout a été dit dessus.
Le 3 reste sympathique mais beaucoup + léger. Je le vois comme le Silent Hill grand public façon Horror teen movie. ça me rappelle quand j'écoutais du Marilyn Manson ado et que j'avais l'impression d'être trop dark, même si j'en écoute toujours aujourd'hui tout en continuant de l'apprécier ça me fait marrer et je le prends au second degré.
Cela est du à l'utilisation de couleurs plus chaudes et a la présence de beaucoup de gore visuel explicite avec du sang partout contrairement au deux premiers SH qui jouaient beaucoup plus sur la sensation de malaise implicite.
Disons que j'ai une tendresse particulière pour ce SH3 + pour l'époque à laquelle il me ramène que pour le jeu en lui-même.
Concernant SH4, j'en ai que très peu de souvenir hormis celui d'un calvaire sans nom et j'espère sincèrement que Hooper se lancera dedans, il y aura moyen de bien se marrer.
Je serais moins virulent que le Hooper sur ce jeu même si dans le fond, je suis assez d'accord.
Le jeu stagne niveau gameplay par rapport au 2 (normal, étant sorti juste un an après) et son scénario est beaucoup moins intéressant. Idem pour les musiques, aucune ne m'a marqué, à part le thème d'intro, (et encore très inférieur à celui des 2 premiers),alors que je me réécoute régulièrement l'ost entière du 2.
Je trouve qu'il a néanmoins 2 solides qualités:
1- La meilleure protagoniste de la série: enfin un personnage un peu expressif dans cette série alors que ceux d'avant (et d'après) sont complètement amorphes
2- Non seulement le jeu est impressionnant graphiquement (la qualité de la modélisation faciale me bluffe toujours pour un jeu de 2003, même MGS3 et RE4 sortis en 2005 ne font pas mieux) mais il a aussi de super moments artistiquement (la scène du miroir, la fête foraine avec la maison hantée, l'église).
On retrouve aussi l'esthétique "rouille et sang" de l'"autre monde" du premier jeu avec une technique aboutie, ce qu'on avait pas dans le 2ème qui était beaucoup plus "sobre" esthétiquement.
Je t'ai trouvé particulièrement dur dans ta critique du scénario, et comme le disait Talleyrand, “tout ce qui est excessif est insignifiant” dans le sens où tu n'as pas su voir où résidait la profondeur scénaristique du jeu, trop promptement échaudé par des mots comme "Dieu", "secte", "sacrifice", et qui t'ont vite amené à penser que c'était de la merde.
En vérité, le scénario de ce Silent Hill 3 est bien plus profond par exemple que celui d'un film comme L'Exorciste ou Amityville (deux oeuvres que par ailleurs j'apprécie), qui se contentent seulement d'une possession d'une jeune fille par un démon dans un cas, point, et d'une maison maudite à cause d'un cimetère indien dans un autre, point. C'est à vrai dire très limité.
Il est ici question dans le jeu du Mal porté en soi, de notre capacité à affronter nos démons intérieurs, qui peuvent surgir à tout moment de notre vie selon notre capacité à enfouir ou non ces souvenirs dans notre inconscient. Comme le révèle Vincent, Heather a peut-être tué en fait des humains sous l'influence de ses démons alors qu'elle pensait affronter des monstres, faisant écho au Mal qu'elle renferme depuis son enfance et même avant son actuelle incarnation.
Cette réminiscence de la mémoire d'Alessa expose la question de la (re)construction de notre être suite à des souffrances et des voies qui s'ouvrent alors à nous, à savoir affronter le passé selon son libre-arbitre :
- par le pardon (la scène du confessionnal est là pour rendre compte de la capacité de Heather/du joueur à entrer dans une démarche de pardon), suivi d'une rédemption.
- par la vengeance, suivie d'une totale destruction.
Ce Silent Hill 3 est une réitération de Silent Hill 1 et joue sur le mythe de l'Eternel Retour, la restauration finale de toutes choses en leur état d'origine. Le jeu est une réitération de SH1, certes, mais avec une perspective psychologisante beaucoup plus présente que dans le premier épisode. En cela, Silent Hill 2 a assuré la jonction entre l'épisode initial et ce Silent Hill 3. Il ne s'agit pas ici d'une banale histoire de secte et d'illuminés, la religion est ici une autre façon d'aborder des questions psychologiques, ou dit autrement : au sens jungien, la religion n'est jamais que des mythes littéraires rendant compte de toute la psyché humaine, c'est de la psychologie en des termes qui diffèrent de la psychologie classique.
Si le jeu, comme les deux précédents, souffre toujours des mêmes lacunes quant au gameplay durant les combats contre les monstres, il est cependant injuste de ne trouver aucun intérêt dans son scénario, encore faut-il se donner les moyens d'aller au-delà de ce que le jeu laisse à penser et ne pas verser dans une analyse superficielle qui en ferait une simple histoire de "secte religieuse de fanatiques".
Pour la défense du Hooper, je t'avoue que moi non plus j'ai pas cherché à aller plus loin dans l'analyse et moi aussi j'en suis resté à une histoire de secte et de démons. C'est tout le problème quand tu fais une oeuvre cryptique à la David Lynch, c'est où placer le curseur entre ce que tu expliques et ce que tu expliques pas. C'est bien une oeuvre qui ne donne pas toutes ses clefs de lecture, mais il faut quand même en laisser suffisamment pour donner envie d'aller plus loin dans le degré de lecture.
Quand j'ai fini Silent Hill 2, j'ai pas tout compris non plus, mais j'ai compris le message central, et surtout j'ai eu envie de comprendre les trucs un peu cryptique,comme le sens des ennemis (dont Pyramid Head).
Quand j'ai fini Silent Hill 3, j'ai pas du tout ressenti ce besoin. Je me suis dit: Bon, Heather c'est Rosemary Baby, elle porte le mal en elle, il y a une prophétie, et à la fin elle l'extirpe point. Et j'ai pas eu envie d'aller plus loin, car l'histoire n'incite pas vraiment à creuser la psychologie des personnages.
Donc on m'enlèvera pas de l'idée que le scénario de SH 2 est bien supérieur à celui du 3.
Bon je précise que je n'ai pas jouer aux jeux donc je ne peut pas donner un avis sur ce SH 3.
Mais je peux quand même dire que ton commentaire est vraiment intéressant et je trouve que tu défend bien le jeux.
Enfin quelqu'un de lucide c'est pas comme certain com que j'ai vu sur YouTube est qui critique hooper sur ça façon de jouer et ça façon d'interprété les situations.
pour hooper j'ai put comprend qu'il déteste les scénario de ce genre donc oui il n'a pas put rentrée dans le scénario est donc il à eu la conclusion qu'il à eu a la fin ce qui pour moi est logique est je l'accepte parfaitement.
Mois perso j'aime bien ce genre d'histoire mais sans être fan pour autant.
Tiens Hooper, voici une liste de bons films sur le Diable et/ou les Esprits frappeurs :
- Rosemary's Baby (1968, Roman Polanski)
- La Malédiction (1976, Richard Donner)
- Amityville (1980, Stuart Rosenberg)(pas très beau côté esthétique, mais ça fout les boules!)
- Shining (1980, Stanley Kubrick)
- A Ghost Story (2017, David Lowery)
- Hérédité (2018, Ari Aster)
- The Babadook (2014, Jennifer Kent)
- The Grudge (2004, Takashi Shimizu)
- The VVitch (2015, Robert Eggers)
- Jusqu'en enfer (2009, Sam Raimi)
- The Strangers (2016, Na Hong-Jin)
- The House of the Devil (2009, Ti West)
Sans oublier L'Exorciste de William Friedkin (1974) !!! Sans doute le meilleur et le plus grand film sur le diable et sur le Mal absolu. C'est mon avis en tout cas !
En complément, voici une petite sélection de films sur le diable ou la possession, qui sont tous me semble-t-il de très grands films :
- Les Diables de Ken Russell (1971)
- Lisa et le Diable de Mario Bava (1973)
- Carrie au bal du diable de Brian De Palma (1976)
- La Sentinelle des maudits de Michael Winner (1977)
- Amityville : La Maison du diable de Stuart Rosenberg (1979)
- Possession d'Andrzej Żuławski (1981)
- Les Autres d'Alejandro Amenábar (2001)
Et quelques mentions honorables :
- L'Enfant du diable de Peter Medak (1980)
- Mister Frost de Philippe Setbon (1990)
- Les Âmes perdues de Janusz Kamiński (2000)
- L'Élue de Chuck Russell (2000)
- Requiem de Hans-Christian Schmid (2006)
Mois perso j'ai vu l’exorcisme d'Emilie Rose que j'ai trouvé sympas et Conjuring 1 et 2 que j’aie bien aimer et aussi Amityville.
Mais je vais plutôt parlée de Amityville:
Personnellement j'ai du mal à comprendre comment on peut avoir peur devant ce film est je vais expliquer pourquoi :
il faut savoir le film est avant tout inspiré d'un "fait réelle" une enquête de Ed et Lorren Warren qui Hélas à était prouver comme étant FAUSSE.
Et du coup, vu que le film s'inspire d'un fait qui finalement à était monter de toute pièce, et bien la crédibilité du film à pris une sale claque en plein tronche.
Et donc pour moi ça été très compliquer de croire aux scénario et aux personnage et très compliquer d'avoir eu peur devant un film qui s'inspire d'un mensonge.
Sinon concernant les autres films que tu site dans ta liste je n'en n’ai vu aucun :s
Je n'ai pas conseillé à Hooper Conjuring 1 et 2 car, lors de l'un de ses lives, il avait clairement dit que les "jump scares", c'est le niveau zéro de l'épouvante (avis que je partage également), et Conjuring 1 et 2, ce n'est que ça : 20 jump scares à la minute. Donc oui, ça fait sursauter, ça fait des frissons dans le dos, mais James Wan confond "Peur" et "Surprise". Conjuring, une fois que c'est fini, tu vas au lit et tu fais de beaux rêves. Je le sais, j'ai découvert Conjuring 2 pas plus tard que samedi dernier, donc c'est encore frais dans ma tête.
Moi, c'est personnel, mais les films qui me font le plus peur sont des films de maison hantée, et de "religion / diable, etc...", donc Amityville, c'est le combo. Non mais sérieux, les murs qui saignent quand même! C'est horrible! Rien que de l'écrire, ça me refait peur! ahahahah!!!
Et il y a un autre film que j'avais vu il y a très longtemps (début des années 90 je dirais) qui s'appelait "La chute de la maison Usher", et qui était en fait un téléfilm avec l'actrice qui jouait le rôle de Lucie dans la série "Dallas". C'était passé sur la chaîne "La 5", un lundi soir ("les lundis de Sangria" ou un truc comme ça, pour ceux qui s'en souviennent).
On avait tellement flippé avec mon frère, qu'on s'étaient levés en pleine nuit pour aller dormir avec notre maman. Oui, je sais, c'est la honte...
J'ai jamais réussi à retrouver ce film nulle part. Faudrait que je le revois. Si ça se trouve, c'est nul en fait...
Se demander quelle est la bonne façon de faire peur, c'est comme se demander quelle est la bonne façon de faire rire. C'est une chimère. Il n'y en a pas. Il n'y a pas de recette miracle.
Je suis aussi de ceux dont l'orgie de jump-scares suscite plus le soupire navré que le frisson béat. Pour autant, les films que je place sur le podium des films d'angoisse utilisent tous sans exception le jump-scare. Ils ne l'utilisent pas pour ses vertus de "sensation pour pas cher" mais parce que le sursaut fait partie de la vie réelle. Certes le sursaut est une sensation facile à faire ressentir, mais c'est aussi une situation qui arrive bel et bien dans la réalité. Il est donc normal que cet évènement (le sursaut) fasse partie de la palette du conteur d'effroi.
Le problème est toujours le même, le sursaut est plus facile à mettre en scène, donc on en abuse jusqu'à ce que le public finisse par rejeter l'entourloupe. On gave l'oie jusqu'à ce qu'elle gerbe (ou qu'elle claque).
Pourtant je maintiens que le jump-scare utilisé avec talent et à bon escient (et surtout à dose homéopathique), a toute sa place dans un film d'épouvante. Mais cela doit rester anecdotique et les fondations doivent d'abord reposer sur une écriture et une mise en scène qui rendent l'univers immersif (et donc le jump-scare efficace).
Après un bon slasher nanar de temps en temps ça fait plaisir, mais comme tu dis, on va au lit l'esprit serein. Ce n'est pas de l'épouvante.
Comment provoquer la peur à travers un film d'horreur chez le spectateur ?
tien ça me donne envie de crée un topic sur cette question, sur le forum :)
Je trouve que ça serai plus sympas d'en débattre sur le forum sur ce sujet, mais j'aimerais d'abord savoir s'y il y a déjà ou pas quelqu'un qui à fait un topic sur la question ??
il faut savoir le film est avant tout inspiré d'un "fait réelle" une enquête de Ed et Lorren Warren qui Hélas à était prouver comme étant FAUSSE.
Attention je vais te faire un gros spoiler: rien sur la planète n'est surnaturel, tout a une explication scientifique. Donc oui toute fiction est un mensonge. Les frères et soeurs Warren sont des escrocs comme il en existe depuis la nuit des temps. Mais ça m'a pas empêché d'apprécier un film comme Conjuring.
Oui mais la on parle de film qui ce prétend être inspiré de fait "réelle".
Après c'est mon avis, mais pour moi le fait que ce soit inspiré d'un mensonge me dérange et j'ai eu le même constat avec les Conjuring que j’ai trouver sympas mais pour moi sa va pas au-de-la du sympas.
J'aurais préféré une réelle histoire originale comme Freddy-Les Griffes de la nuit par exemple.
Après tu vas me dire :
Mais l'exorcisme d'Emilie Rose est également un film inspirée d'une Histoire vrai qui est probablement fausse.
Et bien malgré cela j'ai beaucoup aimer le film car au moins il cherche a mettre le spectateur en question :
Qui faut-il croire ?
Science ou Surnaturel ?
Et c'est au spectateur lui même de trancher est j'ai trouver ça intéressant et je pense même que ce film aurais mérité bien ça place que Amityville dans la liste du commentaire au quelle je répond.
D'ailleurs, en parlant d'histoire "réaliste", je pourrais te proposer la nouvelle de Stephen King : "Le dernier barreau de l'échelle" (du recueil de nouvelles Danse Macabre). Rien de surnaturel, juste une histoire triste et pouvant être terriblement réaliste. Rien qu'en me rappelant de la fin, j'ai eu le frisson.
Après, ce n'est pas une histoire qui fait peur au point de suer à grosse goutte, mais plus du genre implacable.
Malheureusement il me semble qu'elle n'est qu'à l'écrit cette nouvelle. En revanche, il y a 8 autres nouvelles de Stephen King qui ont vu le jour sur écran avec Nightmares and Dreamscapes: From the Stories of Stephen King tirées du recueil Rêves et Cauchemars (justement).
Au moment de lire ton message j'étais justement en train de voir ça pile au bon moment sur la rediff. xD
Effectivement, la suite s'annonce compliqué quand-même ...
Mon cher Hooper
Le passage avec les bombes inertes reflète tellement ta façon de jouer ces derniers temps. A aucun moment le jeu te dit" Mettre la bombe dans le ...
Très content que tu fasses Darksiders, un chouette jeu pour fêter Noël.
J'en ai profité pour relancer le jeu d'origine sur Xbox Series X grâce à la ...
Le studio a fait faillite car THQ a fait n'importe quoi avec son pognon comme faire une tablette pour la XBOX. Une série de mauvaise décision en somme.
J'ai ...
Citation:Par contre j'ai été emmerdé pas mal de fois avec le saut, je trouve que ça répond pas super bien en tout cas c'était visible sur PS3
Je voulais posté un ...
28 Commentaires
sinon le dernier a ma connaissance de la série silent hill ,du moins pour la PS2 c'est silent hill origins qui parait t-il cela passe avant le premier,d'ou le nom.
Cher Hooper au delà du jeu lui-même sur lequel je suis plutôt d'accord, je penses que tu as tort de crier à la censure ("on peut pas dire ce qu'on pense") chaque fois que des gens râlent parce que tu critiques un jeu, comme tu l'as fait quand tu as répondu à Mangartiste.
Au delà des quelques fan(atiques) qui je pense sont minoritaires, à mon avis ce qui exaspère beaucoup de gens, ce n'est pas que tu dises du mal du jeu, mais que tu dises du mal d'un jeu sans le connaître vraiment.
Je ne juge pas, je ne suis pas streamer, j'imagine qu'on est moins concentré quand on commente à voix haute et j'imagine que c'est encore décuplé quand en plus tu lis un tchat, mais du coup dans beaucoup de jeux tu as tendance à râler après des mécaniques de gameplay que tu n'as pas comprises ou d'un scénario que tu n'as suivi que très vaguement.
C'est dommage car je me demande si les jeux de l'époque que tu considères comme cultes le seraient devenus si tu les avaient découverts dans de telles conditions.
Et on revient au problème des reviews, à l'époque quand tu donnais ton avis à froid, après avoir poncé un jeu et l'avoir bien compris, tes critiques étaient beaucoup plus recevables.
Même sur un jeu populaire comme Red Dead Redemption, je peux me tromper mais j'ai pas souvenir que ta review mitigée ait gêné beaucoup de monde.
Ça m'a longtemps agacé, maintenant je me suis résigné, je sais qu'il faut attendre la fin du let's play voire quelques jours après pour avoir un avis pertinent et le let's play en lui-même c'est juste pour la rigolade.
Lol.....
Hooper qui veut visiter la ville de Silent Hill une troisième fois.
J'imagine déjà les remarques s'ils l'avaient fait:
"Oui, il n'y a aucune différence entre le 1 et le 2, ils nous resservent le même plan de ville, aucune imagination, c'est moisi, etc...."
La Ville de SH, on la connait, et c'est une bourgade, pas une mégapole.
SH3 sert à clôturer l'histoire du 1, donc le scénario est un peu light, ça ne me choque pas.
Tout comme il existe un lien entre SH2 et SH4:The room (un chef d'œuvre pour moi) avec
Attention SPOIL !!!!
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
m
Walter Sullivan (évoqué dans la scène de l'ascenseur de SH2) et Le père de James Sunderland
Concernant l'hôpital, c'est surement par fainéantise, mais encore une fois, rien d'incohérent, il fait parti de la ville.....pourquoi pleurer là-dessus ?
La fin est baclée pour moi.
Ils auraient du mettre plus d'émotions, dans l'enterrement de Harry, personnage emblématique de la série par exemple, et un flashback explicatif de sa mort.
Il est survolé et c'est bien dommage.
Je trouve que c'est la première moitié du 3 qui pue la merde, comme la seconde du 4 d'ailleurs.
Traitement clodo random activé.
Bien satisfait de me remémorer SH 1,2,3 via les épopées du gros Ours. Autant j'avais un bon souvenir de SH3, autant je me rends compte que le déclin de la série a commencer avec celui-ci.
Le 1 est culte avec une indentité forte mais reste un jeu pété et éprouvant un peu à l'image du 1er Dark Souls mais ça reste très marquant.
Le 2 est un jeu d'exception, le gameplay on oublie mais sa forme et son fond sont incroyables, tout a été dit dessus.
Le 3 reste sympathique mais beaucoup + léger. Je le vois comme le Silent Hill grand public façon Horror teen movie. ça me rappelle quand j'écoutais du Marilyn Manson ado et que j'avais l'impression d'être trop dark, même si j'en écoute toujours aujourd'hui tout en continuant de l'apprécier ça me fait marrer et je le prends au second degré.
Cela est du à l'utilisation de couleurs plus chaudes et a la présence de beaucoup de gore visuel explicite avec du sang partout contrairement au deux premiers SH qui jouaient beaucoup plus sur la sensation de malaise implicite.
Disons que j'ai une tendresse particulière pour ce SH3 + pour l'époque à laquelle il me ramène que pour le jeu en lui-même.
Concernant SH4, j'en ai que très peu de souvenir hormis celui d'un calvaire sans nom et j'espère sincèrement que Hooper se lancera dedans, il y aura moyen de bien se marrer.
Je serais moins virulent que le Hooper sur ce jeu même si dans le fond, je suis assez d'accord.
Le jeu stagne niveau gameplay par rapport au 2 (normal, étant sorti juste un an après) et son scénario est beaucoup moins intéressant. Idem pour les musiques, aucune ne m'a marqué, à part le thème d'intro, (et encore très inférieur à celui des 2 premiers),alors que je me réécoute régulièrement l'ost entière du 2.
Je trouve qu'il a néanmoins 2 solides qualités:
1- La meilleure protagoniste de la série: enfin un personnage un peu expressif dans cette série alors que ceux d'avant (et d'après) sont complètement amorphes
2- Non seulement le jeu est impressionnant graphiquement (la qualité de la modélisation faciale me bluffe toujours pour un jeu de 2003, même MGS3 et RE4 sortis en 2005 ne font pas mieux) mais il a aussi de super moments artistiquement (la scène du miroir, la fête foraine avec la maison hantée, l'église).
On retrouve aussi l'esthétique "rouille et sang" de l'"autre monde" du premier jeu avec une technique aboutie, ce qu'on avait pas dans le 2ème qui était beaucoup plus "sobre" esthétiquement.
Je t'ai trouvé particulièrement dur dans ta critique du scénario, et comme le disait Talleyrand, “tout ce qui est excessif est insignifiant” dans le sens où tu n'as pas su voir où résidait la profondeur scénaristique du jeu, trop promptement échaudé par des mots comme "Dieu", "secte", "sacrifice", et qui t'ont vite amené à penser que c'était de la merde.
En vérité, le scénario de ce Silent Hill 3 est bien plus profond par exemple que celui d'un film comme L'Exorciste ou Amityville (deux oeuvres que par ailleurs j'apprécie), qui se contentent seulement d'une possession d'une jeune fille par un démon dans un cas, point, et d'une maison maudite à cause d'un cimetère indien dans un autre, point. C'est à vrai dire très limité.
Il est ici question dans le jeu du Mal porté en soi, de notre capacité à affronter nos démons intérieurs, qui peuvent surgir à tout moment de notre vie selon notre capacité à enfouir ou non ces souvenirs dans notre inconscient. Comme le révèle Vincent, Heather a peut-être tué en fait des humains sous l'influence de ses démons alors qu'elle pensait affronter des monstres, faisant écho au Mal qu'elle renferme depuis son enfance et même avant son actuelle incarnation.
Cette réminiscence de la mémoire d'Alessa expose la question de la (re)construction de notre être suite à des souffrances et des voies qui s'ouvrent alors à nous, à savoir affronter le passé selon son libre-arbitre :
- par le pardon (la scène du confessionnal est là pour rendre compte de la capacité de Heather/du joueur à entrer dans une démarche de pardon), suivi d'une rédemption.
- par la vengeance, suivie d'une totale destruction.
Ce Silent Hill 3 est une réitération de Silent Hill 1 et joue sur le mythe de l'Eternel Retour, la restauration finale de toutes choses en leur état d'origine. Le jeu est une réitération de SH1, certes, mais avec une perspective psychologisante beaucoup plus présente que dans le premier épisode. En cela, Silent Hill 2 a assuré la jonction entre l'épisode initial et ce Silent Hill 3. Il ne s'agit pas ici d'une banale histoire de secte et d'illuminés, la religion est ici une autre façon d'aborder des questions psychologiques, ou dit autrement : au sens jungien, la religion n'est jamais que des mythes littéraires rendant compte de toute la psyché humaine, c'est de la psychologie en des termes qui diffèrent de la psychologie classique.
Si le jeu, comme les deux précédents, souffre toujours des mêmes lacunes quant au gameplay durant les combats contre les monstres, il est cependant injuste de ne trouver aucun intérêt dans son scénario, encore faut-il se donner les moyens d'aller au-delà de ce que le jeu laisse à penser et ne pas verser dans une analyse superficielle qui en ferait une simple histoire de "secte religieuse de fanatiques".
Pour la défense du Hooper, je t'avoue que moi non plus j'ai pas cherché à aller plus loin dans l'analyse et moi aussi j'en suis resté à une histoire de secte et de démons. C'est tout le problème quand tu fais une oeuvre cryptique à la David Lynch, c'est où placer le curseur entre ce que tu expliques et ce que tu expliques pas. C'est bien une oeuvre qui ne donne pas toutes ses clefs de lecture, mais il faut quand même en laisser suffisamment pour donner envie d'aller plus loin dans le degré de lecture.
Quand j'ai fini Silent Hill 2, j'ai pas tout compris non plus, mais j'ai compris le message central, et surtout j'ai eu envie de comprendre les trucs un peu cryptique,comme le sens des ennemis (dont Pyramid Head).
Quand j'ai fini Silent Hill 3, j'ai pas du tout ressenti ce besoin. Je me suis dit: Bon, Heather c'est Rosemary Baby, elle porte le mal en elle, il y a une prophétie, et à la fin elle l'extirpe point. Et j'ai pas eu envie d'aller plus loin, car l'histoire n'incite pas vraiment à creuser la psychologie des personnages.
Donc on m'enlèvera pas de l'idée que le scénario de SH 2 est bien supérieur à celui du 3.
Bon je précise que je n'ai pas jouer aux jeux donc je ne peut pas donner un avis sur ce SH 3.
Mais je peux quand même dire que ton commentaire est vraiment intéressant et je trouve que tu défend bien le jeux.
Enfin quelqu'un de lucide c'est pas comme certain com que j'ai vu sur YouTube est qui critique hooper sur ça façon de jouer et ça façon d'interprété les situations.
pour hooper j'ai put comprend qu'il déteste les scénario de ce genre donc oui il n'a pas put rentrée dans le scénario est donc il à eu la conclusion qu'il à eu a la fin ce qui pour moi est logique est je l'accepte parfaitement.
Mois perso j'aime bien ce genre d'histoire mais sans être fan pour autant.
Tiens Hooper, voici une liste de bons films sur le Diable et/ou les Esprits frappeurs :
- Rosemary's Baby (1968, Roman Polanski)
- La Malédiction (1976, Richard Donner)
- Amityville (1980, Stuart Rosenberg)(pas très beau côté esthétique, mais ça fout les boules!)
- Shining (1980, Stanley Kubrick)
- A Ghost Story (2017, David Lowery)
- Hérédité (2018, Ari Aster)
- The Babadook (2014, Jennifer Kent)
- The Grudge (2004, Takashi Shimizu)
- The VVitch (2015, Robert Eggers)
- Jusqu'en enfer (2009, Sam Raimi)
- The Strangers (2016, Na Hong-Jin)
- The House of the Devil (2009, Ti West)
Bon visionnage! :-)
Sans oublier L'Exorciste de William Friedkin (1974) !!! Sans doute le meilleur et le plus grand film sur le diable et sur le Mal absolu. C'est mon avis en tout cas !
En complément, voici une petite sélection de films sur le diable ou la possession, qui sont tous me semble-t-il de très grands films :
- Les Diables de Ken Russell (1971)
- Lisa et le Diable de Mario Bava (1973)
- Carrie au bal du diable de Brian De Palma (1976)
- La Sentinelle des maudits de Michael Winner (1977)
- Amityville : La Maison du diable de Stuart Rosenberg (1979)
- Possession d'Andrzej Żuławski (1981)
- Les Autres d'Alejandro Amenábar (2001)
Et quelques mentions honorables :
- L'Enfant du diable de Peter Medak (1980)
- Mister Frost de Philippe Setbon (1990)
- Les Âmes perdues de Janusz Kamiński (2000)
- L'Élue de Chuck Russell (2000)
- Requiem de Hans-Christian Schmid (2006)
Bonne projection ^^
La malédiction (1976) est une trilogie, j'ai bien aimé le 3éme avec Sam Neill, très bon.
Haha excellent jusqu'en Enfer :D
Et aussi l'incroyable Bazaar de King très bon thème sur le diable et son âme qu'on peut lui vendre.
edit: Babadook énorme aussi! Petit budget mais grand film.
Mois perso j'ai vu l’exorcisme d'Emilie Rose que j'ai trouvé sympas et Conjuring 1 et 2 que j’aie bien aimer et aussi Amityville.
Mais je vais plutôt parlée de Amityville:
Personnellement j'ai du mal à comprendre comment on peut avoir peur devant ce film est je vais expliquer pourquoi :
il faut savoir le film est avant tout inspiré d'un "fait réelle" une enquête de Ed et Lorren Warren qui Hélas à était prouver comme étant FAUSSE.
Et du coup, vu que le film s'inspire d'un fait qui finalement à était monter de toute pièce, et bien la crédibilité du film à pris une sale claque en plein tronche.
Et donc pour moi ça été très compliquer de croire aux scénario et aux personnage et très compliquer d'avoir eu peur devant un film qui s'inspire d'un mensonge.
Sinon concernant les autres films que tu site dans ta liste je n'en n’ai vu aucun :s
Je n'ai pas conseillé à Hooper Conjuring 1 et 2 car, lors de l'un de ses lives, il avait clairement dit que les "jump scares", c'est le niveau zéro de l'épouvante (avis que je partage également), et Conjuring 1 et 2, ce n'est que ça : 20 jump scares à la minute. Donc oui, ça fait sursauter, ça fait des frissons dans le dos, mais James Wan confond "Peur" et "Surprise". Conjuring, une fois que c'est fini, tu vas au lit et tu fais de beaux rêves. Je le sais, j'ai découvert Conjuring 2 pas plus tard que samedi dernier, donc c'est encore frais dans ma tête.
Moi, c'est personnel, mais les films qui me font le plus peur sont des films de maison hantée, et de "religion / diable, etc...", donc Amityville, c'est le combo. Non mais sérieux, les murs qui saignent quand même! C'est horrible! Rien que de l'écrire, ça me refait peur! ahahahah!!!
Et il y a un autre film que j'avais vu il y a très longtemps (début des années 90 je dirais) qui s'appelait "La chute de la maison Usher", et qui était en fait un téléfilm avec l'actrice qui jouait le rôle de Lucie dans la série "Dallas". C'était passé sur la chaîne "La 5", un lundi soir ("les lundis de Sangria" ou un truc comme ça, pour ceux qui s'en souviennent).
On avait tellement flippé avec mon frère, qu'on s'étaient levés en pleine nuit pour aller dormir avec notre maman. Oui, je sais, c'est la honte...
J'ai jamais réussi à retrouver ce film nulle part. Faudrait que je le revois. Si ça se trouve, c'est nul en fait...
Se demander quelle est la bonne façon de faire peur, c'est comme se demander quelle est la bonne façon de faire rire. C'est une chimère. Il n'y en a pas. Il n'y a pas de recette miracle.
Je suis aussi de ceux dont l'orgie de jump-scares suscite plus le soupire navré que le frisson béat. Pour autant, les films que je place sur le podium des films d'angoisse utilisent tous sans exception le jump-scare. Ils ne l'utilisent pas pour ses vertus de "sensation pour pas cher" mais parce que le sursaut fait partie de la vie réelle. Certes le sursaut est une sensation facile à faire ressentir, mais c'est aussi une situation qui arrive bel et bien dans la réalité. Il est donc normal que cet évènement (le sursaut) fasse partie de la palette du conteur d'effroi.
Le problème est toujours le même, le sursaut est plus facile à mettre en scène, donc on en abuse jusqu'à ce que le public finisse par rejeter l'entourloupe. On gave l'oie jusqu'à ce qu'elle gerbe (ou qu'elle claque).
Pourtant je maintiens que le jump-scare utilisé avec talent et à bon escient (et surtout à dose homéopathique), a toute sa place dans un film d'épouvante. Mais cela doit rester anecdotique et les fondations doivent d'abord reposer sur une écriture et une mise en scène qui rendent l'univers immersif (et donc le jump-scare efficace).
Après un bon slasher nanar de temps en temps ça fait plaisir, mais comme tu dis, on va au lit l'esprit serein. Ce n'est pas de l'épouvante.
Vos commentaire sont vraiment intéressant.
On peut se poser la question suivant :
Comment provoquer la peur à travers un film d'horreur chez le spectateur ?
tien ça me donne envie de crée un topic sur cette question, sur le forum :)
Je trouve que ça serai plus sympas d'en débattre sur le forum sur ce sujet, mais j'aimerais d'abord savoir s'y il y a déjà ou pas quelqu'un qui à fait un topic sur la question ??
Attention je vais te faire un gros spoiler: rien sur la planète n'est surnaturel, tout a une explication scientifique. Donc oui toute fiction est un mensonge. Les frères et soeurs Warren sont des escrocs comme il en existe depuis la nuit des temps. Mais ça m'a pas empêché d'apprécier un film comme Conjuring.
Oui mais la on parle de film qui ce prétend être inspiré de fait "réelle".
Après c'est mon avis, mais pour moi le fait que ce soit inspiré d'un mensonge me dérange et j'ai eu le même constat avec les Conjuring que j’ai trouver sympas mais pour moi sa va pas au-de-la du sympas.
J'aurais préféré une réelle histoire originale comme Freddy-Les Griffes de la nuit par exemple.
Après tu vas me dire :
Mais l'exorcisme d'Emilie Rose est également un film inspirée d'une Histoire vrai qui est probablement fausse.
Et bien malgré cela j'ai beaucoup aimer le film car au moins il cherche a mettre le spectateur en question :
Qui faut-il croire ?
Science ou Surnaturel ?
Et c'est au spectateur lui même de trancher est j'ai trouver ça intéressant et je pense même que ce film aurais mérité bien ça place que Amityville dans la liste du commentaire au quelle je répond.
Il y en a pour tous les goûts comme ça. ;)
D'ailleurs, en parlant d'histoire "réaliste", je pourrais te proposer la nouvelle de Stephen King : "Le dernier barreau de l'échelle" (du recueil de nouvelles Danse Macabre). Rien de surnaturel, juste une histoire triste et pouvant être terriblement réaliste. Rien qu'en me rappelant de la fin, j'ai eu le frisson.
Après, ce n'est pas une histoire qui fait peur au point de suer à grosse goutte, mais plus du genre implacable.
Malheureusement il me semble qu'elle n'est qu'à l'écrit cette nouvelle. En revanche, il y a 8 autres nouvelles de Stephen King qui ont vu le jour sur écran avec Nightmares and Dreamscapes: From the Stories of Stephen King tirées du recueil Rêves et Cauchemars (justement).