Je ne sais pas si il y en a quelques uns ici qui ont été faire un tour à la hedge convention samedi, franchement c'était sympa, bonne ambiance, des petits stands sympas et pas mal de consoles qui tournaient (pas d'alcool au bar par contre :( ).
J'ai testé la vr, bon c'est vrai que le casque de sony est un peu relou à porter avec le casque audio en plus et que techniquement c'est pas parfait, mais ça reste fun. Par contre j'ai testé l'oculus sur une démo de Bullet train et wah franchement ça claque grave, très impressionné j'avoue, techniquement c'est beau, l'immersion est totale et le jeu jouissif (tout du moins sur une courte période), bref très convaincu.
Hooper disait dans ses vidéos vr qu'il faudrait attendre 10 piges pour que ça soit fignoler, je pense que les gros jeux qui claquent vont arriver plus vite que ça car la technique semble évoluer assez rapidement. Reste à voir si ce genre de jeux peuvent vraiment rester intéressant sur la durée.
Sinon je sais que hedge traine une réputation ambivalente sur le net, sincèrement c'est un bon gars irl, j'ai vu aussi l'ami DG, hein Hooper, on a parlé de toi :)
Bref une petite convention fort sympathique que je recommande à tous ceux qui sont dans la région parisienne.
oui peut etre que sur oculus c'est assez avancé mais faut pas oublier le pc a 1300 balles + le casque à je sais plus 400 je crois, c'est donc pas pour toute les bourses :v. le psvr c'est 250€ avec la console qui suis(même si c'est la pro) ca te fait une grosse moyenne de 600€
Perso j'ai une nouvelle carte graphique compatible VR mais pour le moment ca ne m'interesse pas, de plus j'aimerai tester avant achat par ce que si je suis malade au boulot de 10-20 min on merci :v c'est deja le cas avec le fps en général sur console
Après je ne jugerai pas les 2 techno n'ayant pas essayer, mais si l'occasion venait a se présenter pourquoi pas
Sinon je sais que hedge traine une réputation ambivalente sur le net, sincèrement c'est un bon gars irl, j'ai vu aussi l'ami DG, hein Hooper, on a parlé de toi :)
J'avais été à sa toute première convention et je l'avais rencontré IRL là-bas. Oui, quand on ne le connaît pas bien, il est "sympa" et sa convention était plutôt cool, mais il finit toujours par péter un câble et se fâcher définitivement contre n'importe qui (j'en ai fait les frais il y a quelques années). Et c'est d'autant plus con qu'il faisait des vidéotests très sympas et qu'il contribuait à faire découvrir beaucoup de jeux méconnus de la Super Nintendo, mais son fichu caractère gâche tout.
Donc maintenant, on va dire que je suis "interdit de séjour" dans ses conventions. ^^
En tout cas, il est très bien parodié dans la vidéo de Steve (Mr1d100) et Usul : c'est à peine exagéré ("la passion", son pétage de plomb avec sa "vidéo polémique" où il clashe un autre testeur). ^^
5h30 du matin. Je me réveille au son de la voix de Hooper. Il joue à Super Mario Maker et il en est à sa 10ème session.
Je me suis en effet promis de visionner toutes ses rediffusions, et à l'occasion de mettre à l'épreuve mon propre
skill sur ces niveaux... On a beau dire, dans le fond, il ne s'en sort pas trop mal notre grand ours, car il ne faut pas sous-estimer l'effet du live sur un joueur, quand bien-même semble-t-il rompu à l'exercice. Détail que Hooper n'a pas manqué de souligner maintes fois, à raison. Il y a ici, à mon avis, une sorte de continuelle retrouvaille, de perpétuel renouveau qui façonne les "performances"... En témoigne, à l'occasion, son skill de début de session...et comme il le dit lui même : "ça fait juste une semaine que je n'y ai pas joué, et c'est comme si j'avais tout oublié" (propos non repris terme à terme - avis du Hooper : vidéo n°10, 9min30 "qu'est-ce que Mario peut faire").
Mais, voilà ce qui me trottait à l'esprit dans mon lit, à cette heure matinale et propice à la réflexion. Il s'agit en effet là d'une pensée que j'ai déjà évoquée, il y a quelque temps déjà, mais qui me paraît véritablement capitale :
Hooper n'est pas un testeur. Non. C'est un "reviewer". Et c'est là une nuance, certes d'apparence langagière, fondamentale. Une review, c'est une "revue" (voir synonymes pour ceux qui souhaiteraient pousser la sémantique jusqu'au bout...). L'expérience n'est donc absolument pas là-même. Re-voir quelque chose, c'est en vérité, l'avoir "déjà vue". Ce regard porté renvoie dès lors à un système de valeurs, de percepts, de "qualia" qui n'ont que pour très lointain cousin, le "test" (voir synonymes, pour davantage s'en convaincre). La distance qui existe entre une "review" et un "test" implique, notamment, l'autre, ici la communauté de celui qui s'engage à donner un sens à une réalisation. Cet autre là est, certainement, inclus en Hooper. C'est pourquoi l'expérience personnelle à ce niveau est intime, irréductible.
Lorsque Hooper fait la revue d'un jeu, lorsqu'il porte un jugement, c'est de lui-même qu'il parle. C'est une partie de lui qui se juge. Et cela est valable pour toutes les personnes qui ont cette grande qualité : la probité intellectuelle. Probité qui, souvent d'ailleurs et c'est sa garantie, s'accompagne d'une...mauvaise foi sans commune mesure :-)...
Lorsque l'on émet du sens, lorsque l'on statue (et ces derniers termes n'étant pas choisis au hasard...) sur
une oeuvre, il faut savoir que l'on s'interroge irrémédiablement sur "l'identité de l'oeuvre" de celui qui statue.
C'est, en quelque sorte, une oeuvre qui parle d'une oeuvre, sans vouloir ici objectaliser notre grand ours. Ce qui,
pourtant, est chose bien courante sur internet... A ce titre, je considère que Hooper, en toute objectivité (objectivité pour objectivité...), n'a jamais cessé de s'interroger, consciemment ou pas (très consciemment je crois), sur les tenants et aboutissants de son oeuvre. Il en dit quelque chose, à demi-mot, dans son 9ème "Putain"...). [Pour l'anecdote en forme de coïncidence notable (?) : comme j'ai pu l'évoquer une fois, le système décimal, dit positionnel, se clôt à 9 et change de "position" à 10. Il est donc intéressant de constater que Hooper se soit montré à son 10ème "bilan"].
Une remise en question permanente, mais qui ne perd pas pour autant les repères originels. A ce titre, je dirais que ce n'est pas parce qu'on a "trouvé" nos repères que l'on ne passe pas notre temps à les "chercher"... Condition à laquelle, je crois, l'humanité toute entière est soumise. Telle cette histoire de phare que l'on voit au loin, dont on se rapproche, poussé par quelque mystérieuse force, et dont on ne pourra que visiter l'intérieur, en quête de réponse...
Je terminerais en disant ceci :
Hooper n'est pas un testeur, car un test est une sorte de "portion congrue" d'un jeu. Aussi, le test reste comme inclus, contenu dans le jeu qu'il évalue et dont, paradoxalement, on pourrait croire qu'il se distingue (et sans parler des "dessous" d'un test...). Une review, celle de Hooper, inclut le jeu en elle. Ici, c'est le jeu qui s'inscrit en propre dans la revue. Le processus s'inverse, en quelque sorte. Et ce phénomène a quelque chose de très particulier. D'évidence, l'investissement dans son fond comme dans sa forme, ne sera pas le même... Et c'est pourquoi aussi, l'on ne pourra éviter la dimension émotionnelle, le ressenti, bref le coeur. Et c'est là que la situation, à tort, semble se compliquer. Il n'en est rien, car la condition sine qua none pour être en mesure de sublimer un propos, de surcroît critique, implique l'affect. Et à mon sens, c'est une gageure à laquelle Hooper s'est toujours soumis avec brio, quand bien même il puisse parfois "raconter n'importe quoi" (!) Nous savons tous qu'il le sait lui-même (après, ce n'est pas toujours évident de dire qu'on a tort, même s'il le dit parfois -peut-être sans totale conviction..., notamment au sujet des fameux Jurassik World et Terminator Genesis... De mauvais films, sans aucun doute). Lorsque dans Killzone2, Hooper déclare qu'il fait des vidéos pour lui-même avant tout, et que nous, nous passons après (!), je considère qu'il s'agit là d'une vérité qui se suffit à elle-même... Et Lorsque, de surcroît, il dit qu'il peut reprendre, retravailler une review jusqu'à ce qu'il considère qu'elle soit parfaite à ses yeux, voici encore une vérité qui se passe de commentaire [pourquoi j'en fais un alors......].
Avec Hooper, la review est à l'image du jeu :-).
----- (ps : ai-je besoin de le mentionner : je suis tout sauf un "admirateur béat" de quoi que ce soit... Oui, Flex-o, mis à part la "triade capitoline" loul ^^...)
Si déjà il pouvait mieux jouer
Il joue déjà mieux que Romendil à Zelda 2 alors c'est son premier run... Quel talent ce Gros Ours!
394-Le Coin Tranquille/ Blaz Miss Odd Arched Indy & moi
Je ne sais pas si il y en a quelques uns ici qui ont été faire un tour à la hedge convention samedi, franchement c'était sympa, bonne ambiance, des petits stands sympas et pas mal de consoles qui tournaient (pas d'alcool au bar par contre :( ).
J'ai testé la vr, bon c'est vrai que le casque de sony est un peu relou à porter avec le casque audio en plus et que techniquement c'est pas parfait, mais ça reste fun. Par contre j'ai testé l'oculus sur une démo de Bullet train et wah franchement ça claque grave, très impressionné j'avoue, techniquement c'est beau, l'immersion est totale et le jeu jouissif (tout du moins sur une courte période), bref très convaincu.
Hooper disait dans ses vidéos vr qu'il faudrait attendre 10 piges pour que ça soit fignoler, je pense que les gros jeux qui claquent vont arriver plus vite que ça car la technique semble évoluer assez rapidement. Reste à voir si ce genre de jeux peuvent vraiment rester intéressant sur la durée.
Sinon je sais que hedge traine une réputation ambivalente sur le net, sincèrement c'est un bon gars irl, j'ai vu aussi l'ami DG, hein Hooper, on a parlé de toi :)
Bref une petite convention fort sympathique que je recommande à tous ceux qui sont dans la région parisienne.
Video Club hooperien
oui peut etre que sur oculus c'est assez avancé mais faut pas oublier le pc a 1300 balles + le casque à je sais plus 400 je crois, c'est donc pas pour toute les bourses :v. le psvr c'est 250€ avec la console qui suis(même si c'est la pro) ca te fait une grosse moyenne de 600€
Perso j'ai une nouvelle carte graphique compatible VR mais pour le moment ca ne m'interesse pas, de plus j'aimerai tester avant achat par ce que si je suis malade au boulot de 10-20 min on merci :v c'est deja le cas avec le fps en général sur console
Après je ne jugerai pas les 2 techno n'ayant pas essayer, mais si l'occasion venait a se présenter pourquoi pas
J'avais été à sa toute première convention et je l'avais rencontré IRL là-bas. Oui, quand on ne le connaît pas bien, il est "sympa" et sa convention était plutôt cool, mais il finit toujours par péter un câble et se fâcher définitivement contre n'importe qui (j'en ai fait les frais il y a quelques années). Et c'est d'autant plus con qu'il faisait des vidéotests très sympas et qu'il contribuait à faire découvrir beaucoup de jeux méconnus de la Super Nintendo, mais son fichu caractère gâche tout.
Donc maintenant, on va dire que je suis "interdit de séjour" dans ses conventions. ^^
Faut dire que c'est un sanguin.
En tout cas, il est très bien parodié dans la vidéo de Steve (Mr1d100) et Usul : c'est à peine exagéré ("la passion", son pétage de plomb avec sa "vidéo polémique" où il clashe un autre testeur). ^^
C'est vrai que Hooper Hedge et les mecs qui font les speedruns sont sacrement tourné en ridicule :D.
5h30 du matin. Je me réveille au son de la voix de Hooper. Il joue à Super Mario Maker et il en est à sa 10ème session.
Je me suis en effet promis de visionner toutes ses rediffusions, et à l'occasion de mettre à l'épreuve mon propre
skill sur ces niveaux... On a beau dire, dans le fond, il ne s'en sort pas trop mal notre grand ours, car il ne faut pas sous-estimer l'effet du live sur un joueur, quand bien-même semble-t-il rompu à l'exercice. Détail que Hooper n'a pas manqué de souligner maintes fois, à raison. Il y a ici, à mon avis, une sorte de continuelle retrouvaille, de perpétuel renouveau qui façonne les "performances"... En témoigne, à l'occasion, son skill de début de session...et comme il le dit lui même : "ça fait juste une semaine que je n'y ai pas joué, et c'est comme si j'avais tout oublié" (propos non repris terme à terme - avis du Hooper : vidéo n°10, 9min30 "qu'est-ce que Mario peut faire").
Mais, voilà ce qui me trottait à l'esprit dans mon lit, à cette heure matinale et propice à la réflexion. Il s'agit en effet là d'une pensée que j'ai déjà évoquée, il y a quelque temps déjà, mais qui me paraît véritablement capitale :
Hooper n'est pas un testeur. Non. C'est un "reviewer". Et c'est là une nuance, certes d'apparence langagière, fondamentale. Une review, c'est une "revue" (voir synonymes pour ceux qui souhaiteraient pousser la sémantique jusqu'au bout...). L'expérience n'est donc absolument pas là-même. Re-voir quelque chose, c'est en vérité, l'avoir "déjà vue". Ce regard porté renvoie dès lors à un système de valeurs, de percepts, de "qualia" qui n'ont que pour très lointain cousin, le "test" (voir synonymes, pour davantage s'en convaincre). La distance qui existe entre une "review" et un "test" implique, notamment, l'autre, ici la communauté de celui qui s'engage à donner un sens à une réalisation. Cet autre là est, certainement, inclus en Hooper. C'est pourquoi l'expérience personnelle à ce niveau est intime, irréductible.
Lorsque Hooper fait la revue d'un jeu, lorsqu'il porte un jugement, c'est de lui-même qu'il parle. C'est une partie de lui qui se juge. Et cela est valable pour toutes les personnes qui ont cette grande qualité : la probité intellectuelle. Probité qui, souvent d'ailleurs et c'est sa garantie, s'accompagne d'une...mauvaise foi sans commune mesure :-)...
Lorsque l'on émet du sens, lorsque l'on statue (et ces derniers termes n'étant pas choisis au hasard...) sur
une oeuvre, il faut savoir que l'on s'interroge irrémédiablement sur "l'identité de l'oeuvre" de celui qui statue.
C'est, en quelque sorte, une oeuvre qui parle d'une oeuvre, sans vouloir ici objectaliser notre grand ours. Ce qui,
pourtant, est chose bien courante sur internet... A ce titre, je considère que Hooper, en toute objectivité (objectivité pour objectivité...), n'a jamais cessé de s'interroger, consciemment ou pas (très consciemment je crois), sur les tenants et aboutissants de son oeuvre. Il en dit quelque chose, à demi-mot, dans son 9ème "Putain"...). [Pour l'anecdote en forme de coïncidence notable (?) : comme j'ai pu l'évoquer une fois, le système décimal, dit positionnel, se clôt à 9 et change de "position" à 10. Il est donc intéressant de constater que Hooper se soit montré à son 10ème "bilan"].
Une remise en question permanente, mais qui ne perd pas pour autant les repères originels. A ce titre, je dirais que ce n'est pas parce qu'on a "trouvé" nos repères que l'on ne passe pas notre temps à les "chercher"... Condition à laquelle, je crois, l'humanité toute entière est soumise. Telle cette histoire de phare que l'on voit au loin, dont on se rapproche, poussé par quelque mystérieuse force, et dont on ne pourra que visiter l'intérieur, en quête de réponse...
Je terminerais en disant ceci :
Hooper n'est pas un testeur, car un test est une sorte de "portion congrue" d'un jeu. Aussi, le test reste comme inclus, contenu dans le jeu qu'il évalue et dont, paradoxalement, on pourrait croire qu'il se distingue (et sans parler des "dessous" d'un test...). Une review, celle de Hooper, inclut le jeu en elle. Ici, c'est le jeu qui s'inscrit en propre dans la revue. Le processus s'inverse, en quelque sorte. Et ce phénomène a quelque chose de très particulier. D'évidence, l'investissement dans son fond comme dans sa forme, ne sera pas le même... Et c'est pourquoi aussi, l'on ne pourra éviter la dimension émotionnelle, le ressenti, bref le coeur. Et c'est là que la situation, à tort, semble se compliquer. Il n'en est rien, car la condition sine qua none pour être en mesure de sublimer un propos, de surcroît critique, implique l'affect. Et à mon sens, c'est une gageure à laquelle Hooper s'est toujours soumis avec brio, quand bien même il puisse parfois "raconter n'importe quoi" (!) Nous savons tous qu'il le sait lui-même (après, ce n'est pas toujours évident de dire qu'on a tort, même s'il le dit parfois -peut-être sans totale conviction..., notamment au sujet des fameux Jurassik World et Terminator Genesis... De mauvais films, sans aucun doute). Lorsque dans Killzone2, Hooper déclare qu'il fait des vidéos pour lui-même avant tout, et que nous, nous passons après (!), je considère qu'il s'agit là d'une vérité qui se suffit à elle-même... Et Lorsque, de surcroît, il dit qu'il peut reprendre, retravailler une review jusqu'à ce qu'il considère qu'elle soit parfaite à ses yeux, voici encore une vérité qui se passe de commentaire [pourquoi j'en fais un alors......].
Avec Hooper, la review est à l'image du jeu :-).
-----
(ps : ai-je besoin de le mentionner : je suis tout sauf un "admirateur béat" de quoi que ce soit... Oui, Flex-o, mis à part la "triade capitoline" loul ^^...)
J'ai l'impression de suivre un cours de Mr Jefferson en te lisant :o On comprend pas tout mais ça a l'être drôlement intéressant.
394-Le Coin Tranquille/ Blaz Miss Odd Arched Indy & moi