De
Boulaba le barde.
Introduction : Bien des choses arrivent en ce bas continent de Tamriel, mais je me contenterais de vous relater quelques-uns des faits extraordinaires, effrayants, émouvants ou encore surnaturels qui se passent dans notre belle région de Bordeciel. En effet, ces étendues de nature à son état le plus pure peuvent s’avérer des plus cruelles, car elles habitent Dragons, Géants, Smilodons, Trolls, Givrépaires, et d’autres créatures plus fantastiques encore. Je vous invite donc à plonger dans mes écrits entièrement basés sur des faits réels :
« Tu divague, mon ami ! J’ai également entendu cette légende. Ce ne sont que des balivernes ! Des foutaises sans intérêt, pour faire rester les enfants bien au fond de leur lit ! Ton travail de barde ne t’as décidemment pas profité, je vois que tu te prends maintenant à tes propres histoires ! » Disait-il en faisant de grands gestes, manquant même de renverser ma bouteille d’hydromel, que je rattrapais avant qu’elle s’écrase lamentablement sur le sol.
J’avais à peine reporté le goulot à ma bouche qu’un homme entra dans la taverne, et s’écroula dans un fracas de chaises qui tombèrent sur le sol en un cœur chaotique. Une épaisse foule se créa bientôt autour de l’homme à terre, qui levait les mains au ciel, comme si les neuf divins venaient le chercher. En regardant cette personne de plus près, je remarquais qu’elle avait été sauvagement attaquée par une bête qui ne semblait pas des plus pacifiques. Sa peau était profondément creusée à certains endroits, dont les bras, le torse, la jambe gauche et le visage. Je demandais à l’assistance si elle connaissait un animal qui aurait pu faire cela à un homme de cette carrure, car, il faut l’avouer, l’aventurier qui était étendu sur le sol était si impressionnant qu’un troll n’aurait pas osé s’attaquer à lui. Il devait mesurer à peu près un mètre quatre-vingt-quinze. Mon ami me tapa sur l’épaule, et me dit en frissonnant: « Si je ne crois pas aux Dragons, je crois aux Loups Garous, et c’est peut-être bien l’une de ces maudites bestioles qui a pu infligée ce châtiment à ce pauvre bougre ! Le Jarl devrait envoyer des hommes pour éradiquer ces démons. Ils ont déjà faits trop de victimes. »
A l’ instant où les deux mots qui qualifiaient la démoniaque créature arrivèrent à mes oreilles, je ne pus, moi non plus, réprimer un frisson. Les Loups Garous faisaient partis des bêtes qu’il était encore moins bon de croiser qu’un Troll, car ce dernier animal n’est pas très rapide. Par opposition, le Loup Garou l’est plus qu’un cheval, et est bien plus meurtrier. J’écartais d’un ample mouvement des bras les gens réunis autour du corps baignant dans une mare de sang. En observant plus attentivement, je remarquais des poils noirs comme les ténèbres, exactement de la même couleur que les écailles du dévoreur de mondes. Je prenais une poignée de ces long fils entremêlés entre deux doigts, et les examinais avec la plus grande des attentions. Je pouvais presque voir l’essence de la mort essayée de sortir de ce pelage maléfique, qui n’inspirait pour les gens présents dans la pièce que de la peur et du dégout. Je faisais moi-même une grimace en reniflant les poils, suintaient d’une aura qui se matérialisait en une odeur immonde. L’homme qui était couché sur le sol, à l’article de la mort, marmonnait quelque chose. Je me penchais pour écouter : « La bête aura réussie à m’ôter la vie… Mais, je tiens, dans mes derniers instants, à vous raconter comment cela s’est passé. Écoutez… Disait-il, en utilisant ses dernières forces. Écoutez mon histoire. Sur ces paroles, il commença son récit :
« Je marchais sur un chemin de pierre qui devait me mené de Blancherive à Aubétoile. J’avais croisé beaucoup de créatures étranges, mais aucune n’égalait celle que je verrais par la suite. Arrivé à mi-chemin, je me rendais compte que j’avais oublié une épée, cassée en deux morceaux, que je devais amenée à un ami forgeron, qui se trouvait sur ma route. Il possédait une auberge non loin de de mon point de départ. Je retournais donc chez moi, et prenais la lame brisée. Quand je me rendis compte que l’allée retour m’avait pris beaucoup de temps, et qu’il faisait déjà nuit, j’étais bien embarrassé, car je savais que, quand la pénombre s’abattait sur Bordeciel, milles dangers régnaient en nos contrées. Je décidais cependant de bien m’armer, de prendre toutes les breuvages médicinaux que je pouvais transporter, et de repartir vers Aubétoile, car cela me gênait de devoir remettre mon voyage au lendemain. Je sortais donc de ma demeure, et, me dirigeant vers l’habitation de mon ami forgeron, je dégainais plusieurs fois mon arme pour me défendre contre des dangers imaginaires que me suggéraient l’inquiétude de me faire dévorer par une quelconque créature nocturne et l’ombre angoissante dans laquelle je me trouvais. J’apercevais le logement de mon ami, les fenêtres reflétaient des éclats dorés qui éclairaient le sol d’une lueur qui contrastait avec la ténébreuse couleur noir qui recouvrait le bois de la maison devant laquelle je me trouvais. Soudain, un bruit sourd se fit entendre, et, me retournant brusquement, dégainant ma lame, je me rendis bien vite compte que j’avais sursauté pour un cerf. En replaçant mon arme dans son fourreau, produisant un sifflement métallique, qui raisonna presque dans l’ombre et le silence d’une nuit pendant laquelle il était impossible qu’il ne se passe pas quelque chose de dramatique, une forme se dessina lentement dans la pénombre. J’avais amené, en cas d’énervement trop grand de ma part, une fiole qui contenait une substance calmante. J’extirpais le bouchon de liège du goulot, le laissant tomber sur le sol. Je portais la petite bouteille à ma bouche, et avalait le liquide, grimaçant, faute de la trop grande amertume du liquide. Si le bouchon n’avait produit aucun son en entrant en contact avec la pierre, cela ne serait pas le cas de la bouteille qui se briserait en un fracas de morceaux de verre. Je rangeais donc le récipient dans ma sacoche, aussi délicatement et silencieusement que possible. Était-il réellement sage de me lancer de nuit dans Bordeciel, avec une simple épée pour arme, et une seule fiole de calmant pour les nerfs, pour un chemin de plusieurs jours ? Sans doute pas.
J’eus à peine finit de me poser cette question à moi-même, que je me sentis propulsé sur le côté, par ne force qui n’était pas humaine. Ce n’était pas la façon de faire d’un Troll. Ces bêtes agissent d’une toute autre manière que l’être qui s’attaquait à moi en ce moment : Il commençait par frapper sur le sol de façon très saccadée, et se précipitait ensuite sur sa victime, qu’il frappait de la même manière que le sol.
Non, ce n’était pas un troll. Quand j’eus atteint le sol, de la manière la plus violente qui soit, je cherchais le fourreau qui abritait mon arme, en vain… Ma tâche ne fut pas facilitée par les éclats de verre répandus sur la pierre. Pour mon plus grand malheur, mes fioles de potions médicinales c’étaient brisées à cause du choc. Si un animal devait me tuer, autant que je connaisse l’espèce de la bête qui allait m’ôté la vie. Je relavais donc la tête, et réussit à apercevoir deux yeux jaunes et fulminants, dont sortait un éclat de haine et de désespoir qui pourfendait mon âme de simple humain. J’étais en extase devant cet être si étrange, dont ressortais une atmosphère affreuse et terrifiante. Je me souvenais alors de cette légende que m’avait un jour comptée un barde de la taverne ou je me trouve maintenant: ‘ Prenez garde, m’avait-il dit, prenez garde à la bête qui règne la nuit venue en Bordeciel, ses crocs pourfendrons votre âme, et ce démon la dévorera avec la bestialité qui lui sied tant.’
C’était donc lui, ce démon dont parlait le barde, qui allait manger mon âme… Que pouvais-je faire, mis à part me débattre de toutes mes forces ? Je pouvais espérer avoir la grâce de Talos. En me battant encore contre les crocs et les griffes de la bête, je parvenais enfin à me sauver provisoirement. Je frappais à la porte du logement de mon ami, qui s’ouvrait d’elle-même à mon premier coup de poing sur la surface de bois épais. J’entrais comme un véritable ouragan dans le salon, fermant derrière moi, et bloquant la poignée de la porte à l’aide d’une chaise, bien que cela soit totalement inutile, car un animal n’est pas en mesure de tourner une poignée. Je rejoignais le premier étage, et courait jusqu’à la chambre qui s’y trouvait.
Elle était totalement ravagée : Le lit était renversé, la paille et les peaux qui devaient s’y trouvées étaient rependues sur le sol, composé de lattes de bois qui étaient creusées par des marques de griffes que je remarquais également sur les mus, et même sur le plafond. Tout cela était fort inquiétant, mais j’allais trouver quelque chose de bien pire. Je m’étais dirigé vers la chambre de mon ami, car je savais qu’il y cachait toujours des armes qu’il avait lui-même forgées. Elles se trouvaient dans un coffre, lui-même dissimulé dans un renfoncement du mur de gauche. J’ouvrais donc la petite porte dans le mur de pierre, qui débouchait sur le coffre. Je me hâtais de prendre le contenu du coffre, dans lequel j’eus le plaisir de découvrir une splendide épée de verre, et un bouclier d’ébonite. Tout cela était fort réjouissant, jusqu’à ce que je découvre l’une des choses les plus horrifiante qu’il me soit arrivé de découvrir.
Je n’avais pas pris en compte le fait que la créature puisse se montrée aussi intelligente que moi. Elle se sera simplement dissimulée dans la nuit sans faire aucun bruit, pendant que j’observais les alentours, du haut du grand trou mural. Elle n’aura ensuite plus eu qu’à escaladée le mur, ou à faire un bon prodigieux, ce qui ne m’aurais pas étonné après avoir expérimenté sa force physique. Je sentis soudain le même choc qui j’avais ressentis lors premier face à face avec la bête. Mon premier, reflexe, maintenant que j’étais bien armé, fut de donner un coup de bouclier à mon assaillant, ce qui l’assomma pendant un court moment, mais qui suffit pour apercevoir, avec la plus grande tristesse, la cicatrice qui devait décidée de notre destin à tous les deux. Je me résolus alors à achever mon ami, transformé en une ignoble créature, d’un coup d’épée dans la nuque. Je levais le bras, et, le laissant tomber, je versais tout de même quelques larmes pour celui que j’allais tuer. Je n’arrivais cependant pas à mes fins : Le démon bloqua la lame en la saisissant de sa main, car le mot patte ne conviendrai pas, même pour cette bête, car elle était, et j’en étais maintenant sur, le croisement entre un loup, et un humain. Le démon arrêta donc l’arme, et m’asséna un premier coup de griffes, puis un second, et un troisième. Mon visage était maintenant balafré et déformé, comme vous pouvez l’observer en ce moment.
La seule chose qui me restait à faire était fuir, par l’issue la plus proche, mais j’avais malheureusement bloqué la poignée de cette maudite porte à l’aide d’une chaise, et cela me demanderai beaucoup trop de temps de l’enlevée, car la créature aurait eu trois fois le temps de me dévorer. La seule issue était donc le trou. Je récupérais le bouclier tombé à terre, et frappais de toutes mes forces dans le visage du démon, qui fut, pendant quelques secondes, étourdi. Je me dirigeais alors vers l’escalier, montais les marches aussi vite que je le pouvais, et, atteignant la chambre, puis le second renfoncement, je sautais de l’ouverture salutaire. Je me réceptionnais alors du mieux que je le pus, et me relevais, sans prêter attention à la douleur. Je ne savais pas le moins du monde dans quel direction je courais, mais le destin me mena à vous, pour vous raconter ma tragique histoire.
Voici mes dernières volontés, avant que mon âme soit jugée par Talos : Partagez mon histoire, faites la entendre partout ou vous irez, notez la, et prévenez tout Tamriel que le mal est toujours présent. »
Je notais donc le récit de l’homme, à mesure que son âme s’en allait vers Sovngarde.
Mon devoir de barde est accompli, gentes dames et gentils damoiseaux, j’espère que cette histoire, basée sur des faits réels, je vous le rappelle, vous à fait frémir comme je le prévoyais. Si vous le souhaitez, je vous conterais une nouvelle histoire.
Gentes dames, et gentils damoiseaux, je souhaiterais maintenant vous faire part d’un événement dont j’ai été témoins il y a à peu près trois ans. Voici donc ce conte, intitulé…
Fabuleuse rencontre avec un dragon :
Une créature verte et brune, munie d’une collerette se dressant au-dessus de la monstrueuse tête, sortit de la porte de terreur, et vomit une gerbe de feu qui s’étala sur la terre, ce craquelant et implosant partout où cette chaleur, que je pouvais sentir me transpercée l’âme, pouvait se rependre. Glissant avec une grâce terrifiante, consumant l’herbe, qui disparaissait au fur et à mesure que les couleurs vives, rouges, oranges et jaune, et l’ombre de la bête dévoraient la vie. Des bourrasques, formées d’un air malsain, et par les ailes écailleuses et horrifiques du démon, hérissées tel des drapeaux maléfiques, soufflaient ensembles, grondants, rasants tout ce qui leur faisait obstacle.
Éclairs et maléfices se jetaient de ses yeux remplis de haine et de mort jusque dans la plus infime parcelle de clarté, étouffant la lumière dans un étau sombre et morne, dénué de vie. Une nouvelle flamme sortit du bec de l’entité chimérique. La bête, hurlante, écrasant les nuages et les étoiles, apparaissant maintenant dans le ciel devenu noir, la créature balayant les couleurs du monde de ses voiles écailleux. Enfin, la bête se terminait, par une queue sur laquelle étaient dressés des piques, pointant chacune vers le ciel, ravageant tout sur son passage, mais revenant vers le portail, repartant chez elles, la mort se repliait, maudit soit Bordeciel !
Avant de commencer un nouveau récit, je remercie de tout cœur les personnes qui me lisent, je dédie donc ce conte aux dames Camy et Merry, dont la beauté m’est inspiratrice, au sieur Dunkio, illustrateur de génie, au sieur Games.Man, rédacteur en chef de la gazette la plus réputée de tout Bordeciel, et pour finir, au sieur Only.Human, un confrère barde.
Quelque chose que jamais personne n’a vu, ou entendu, car elle ne parle ni ne marche, elle ne respire ni ne bois, ne mange pas, et la soif ne ressent point. Monstre pourfandeur, voyageant parmi les âmes, et les esprits, si faibles sur son passage, se pliant à sa volonté, regardant, avec extase, et stupeur, son outil de travail, plongeant dans l’abîme, pour enfin retomber. Une giclée de souvenirs, s’étalant dans l’infini, disparait au fur et à mesure qu’elle l’emporte, pauvre pêcheur, vers le ciel.
Je vais vous raconter une histoire que personne n’a jamais lue ni entendue. Vous serez les premières personnes aux quelle elle est contée…
L’histoire de Maiiriguan, première et seul grande prêtresse d’Alduin, premier né d’Akatosh, l’avaleur de monde, l’ombre des grands rois… Emprisonnée par un prince Daedra, inconnu des hommes, dont l’existence n’est relatée que dans ce conte. Celui-ci se nomme Idnaah, maître incontesté de tous les Daedras. Maiiriguan commençait à devenir trop dangereuse, trop puissante, car l’avaleur de monde lui octroyait une infime parcelle de son pouvoir.
Parcelle néanmoins suffisante pour écraser toutes les créatures assez démentes pour s’attaquer à elle. Ses fléaux s’abattaient sur la mort elle-même, qui n’osait pas s’approchée de cette dame. Cependant, Maiiriguan commençait à devenir préoccupante pour les Daedras, qui sont pourtant réputés pour leur malice et leur cruauté.
C’est ainsi qu’Idnaah, après une lutte acharnée, qui ne fit point sans conséquence pour tout Tamriel, c’est ainsi qu’il scella l’âme de la prêtresse dans une pierre noire, luisant d’un éclat maléfique, le même qu’on retrouvait dans les yeux du dévoreur de monde.
Le maître des Daedras prit une lame d’ébonite, sur laquelle il accrocha par un sort le cristal, et, prenant la forme d’un colosse humain, Il alla chercher Maiiriguan, et la provoqua dans un duel qui dura trois soleils et trois lunes. Maiiriguan était certes puissante, mais Idnaah maîtrisait la magie d’une façon bien plus experte. La prêtresse savait cependant se défendre, et causa de nombreux dégâts : Les arbres se déracinant, les pierres et les rochers, et la poussière virevoltants autour et dans le typhon de flammes dont elle était la maîtresse, mais aussi les esprits, qu’elle invoqua directement de Sovngarde, pour se battre avec elle.
Cela n’arrêta en rien Idnaah : Renvoyant les âmes d’où elles venaient, à l’aide d’un sort, et emprisonnant la prêtresse dans la gemme noire scellée à la dague, en la poignardant en plein cœur, laissant son corps inerte sur le sol, c’est ainsi qu’il déposa la dague dans un temple qu’il créa pour l’occasion.
Un millier d’années plus tard, le dévoreur de monde décida que le temps était venu de choisir une nouvelle prêtresse pour l’honorer, et accorder à un humain une nouvelle infime parcelle de son immense pouvoir pour prouver sa puissance au monde tout entier. Cependant, l’esprit de Maiiriguan était toujours présent dans la gemme, scellée à la lame. De son vivant, l’ancienne prêtresse était de nature jalouse et avide de pouvoir. Après un millénaire d’emprisonnement, une envie de vengeance s’était emparée d’elle, et une haine incomparable se faisait sentir, à travers le cristal.
Alduin choisit donc un humain fort et vaillant, qu’il corrompit avec un plaisir malsain, par son pouvoir de ténèbres. L’homme devenu mauvais, s’en alla sur la demande d’Alduin détruire Blancherive, l’une des chatelleries principale de Bordeciel, pour montrer que son règne ne tarderait plus. Falopdir, car c’était le nom du nouveau disciple du dévoreur de monde, se dirigea vers la ville indiquée par son maître, et, entrant dans la cité, se fit interpelé par un garde, qui lui demandait d’où il venait et ce qu’il comptait faire ici.
Falopdir répondit en faisant sortir une gerbe de feu de sa bouche, calcinant littéralement celui qui lui faisait obstacle sur place. Les flèches tombèrent en trombe sur le magicien, qui répliqua simplement en en saisissant une à l’aide de deux doigts, et, en y faisant pénétrer un flux de lumière noir. Quand il eut terminé son étrange opération, il laissa la flèche s’échappée de son étreinte, et, comme poussée par une force inconnue, elle se dirigea, à une vitesse incomparable, sur un second garde, le faisant imploser et causant des ravages impressionnant. Falopdir monta ensuite les escaliers qui menaient au Fort-Dragon, résidence du Jarl de la chatellerie de Blancherive.
Les hommes qui étaient placés devant les immenses portes qui menaient à l’intérieur du fort brandirent leurs épées, frappant de toutes leurs forces le disciple du dévoreur de monde. Cela n’eut aucun effet sur lui : A son contact, les lames fondaient et dégoulinaient sur les jambes de Falopdir. En guise de défense, l’intrus prit pleinement de son énorme main le cou d’un de ses opposants, et, le serra d’une façon si terrible que le sang monta aux yeux de sa victime, et que sa tête finit par explosée laissant des morceaux d’os et de cervelle, et projetant des giclures de sang sur les témoins de la scène et celui qui en était la cause. Plus personne n’osait maintenant s’approcher du démon, qui s’affairait à ouvrir les énormes portes d’une couleur rouge vif aux poignées lourdes, épaisses et imposantes, seules barrières le séparant du Jarl.
Falopdir entra dans la grande pièce et, à ça grande surprise, découvrit des murs tachés de sang et une véritable hécatombe : Les corps étaient empilés sur les tables et sur les chaises, certains n’étaient pas entiers, le sang ruisselait sur les murs, et, dans le fond de la pièce, assise sur le trône du Jarl, vêtue d’une longue robe noir et bleue, une femme d'une beauté incomparable. À ses mains, des flammes rouges des quelles suintaient une magie comparable à celle de Falopdir se présentait comme un défi pour ce dernier.
Le disciple comprit qu’il s’agissait de celle dont son maître lui avait conté les exploits, et l’emprisonnement par Idnaah. Maiiriguan avança d’un pas délicat mais décidé sur les tapis tachés de la liqueur rouge de la mort, et prit un verre remplit aux quart de vin. C’était en fait un Liquide rouge qu’on ne pouvait dissocier du sang qu’avec une attention particulière. Il s’agissait cependant bien de jus de givreboises fermentées. La magicienne s’arrêta devant Falopdir, qui restait droit, le regard vitreux.
Maiiriguan lui tendit la coupe. Elle ne fut pas surprise qu’il boive le contenu du récipient sans sourciller. Il s’agissait d’un des meilleurs vins de Bordeciel combiné à un puissant aphrodisiaque à l’extrait de graisse d’horqueur, mélangé à de la poudre de croc de Smilodon. Le disciple prit le calice, et ingéra tout ce qu’il contenait. La sorcière aurait pu sans le moindre problème séduire le magicien avec l’aide d’un sort, mais l’un de ses plaisirs était d’user de moyens matériels pour faire souffrir ses victimes (bien que Falopdir ne fût aucunement souffrant du fait d’avoir succombé au charme de Maiiriguan).
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Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel, votre quotidien.
Le quotidien de l’aventurier
Numéros 000
Pilote
Pour entrer dans le vif du sujet, et pour commencer ce tout premier numéros du guide de survie en cas de perte dans Bordeciel, si vous vous perdez de jour, commencez par essayer de vous repérer dans les environs. Si vous êtes perdu dans une plaine, restez ou vous êtes pour réfléchir à un plan. Dans le cas où vous vous trouveriez dans une plaine enneigée, vous devriez trouver facilement un trou ou vous terrer avec quelques asticots et termites pour vous servir de nourriture.
ATTENTION TOUT DE MEME : cette caverne pourrait appartenir à un ours, il est donc fortement déconseillé d’y entrer,
sauf si vous êtes poursuivis par l’ours en question… Dans ce cas, vous n’avez plus rien à perdre. Essayez e l’inviter à manger des baies, il se montrera peut-être sympathique à l’idée de vos déguster en tant que plat de résistance.
Si il y bien un avantage, en Bordeciel, c’est que l’eau ne manque pas. Vous trouverez de façon sûre et certaine un ruisseau d’eau douce. Je vous conseille cependant de faire attention, car vous trouverez également de façon certaine sur un Smilodon pur vous barrer la route. Dans ce cas, la meilleure chose à faire est de se mettre devant la bête, et de s’affirmer, pour lui montrer que vous êtes supérieur à elle. Cependant, ne faites cela que si vous êtes une personne de grande taille, et armée jusqu’aux dents. Si vous faites partie de cette catégorie de personnes, vous n’avez normalement aucun besoin de ce livre. Si vous vous l’êtes tout de même procuré, félicitation, vous venez de gâcher trente-huit pièces d’or, mais revenons-en à la survie.
Dans le cas où vous auriez réussi, par on ne sait quel miracle (mais bien un miracle) à passer l’obstacle plus que conséquent qu’est ce Smilodon, vous pouvez maintenant vous delecter de cette eau pure et limpide…. Infestée de poissons carnassiers (toutes mes condoléances aux familles des victimes qui n’ont pas lues ma phrase en entier), et d’autres bestiaux tout aussi sympathiques. Pour remédier simplement à ce problème, il vous suffit d’un morceau de bois, d’un peu de fil de toile de Givrépaire (Aventurez-vous dans l’une ou l’autre grotte, et prenez le premier que vous trouvez), il ne vous reste plus qu’à aller chatouiller un géant avec. L’effet escompté est une excitation des nerfs de ce dernier. Les géants sont lents, mais frappent fort, alors, un conseil, ne cherchez pas à frapper plus fort que lui ! Amenez votre assaillant jusqu’au lac. En pataugeant dans l’eau, la créature fera fuir les poissons. Seulement, un nouveau problème se pose : Le géant. Que faire de lui ? La réponse est simple : Courez ! En effet, la seule chose à faire quand on est poursuivis par l’une de ces créatures, c’est d’espérer qu’il s’épuise ou renonce à vous courir après. Si c’est le cas, retournez discrètement au lac pour vous abreuver. Vous risquez cependant de faire une grimace, car, le géant ayant posé un pied asse monumental dans l’eau, elle risque fort d’avoir un goût assé désagréable.
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide en cas de perte dans Bordeciel, votre quotidien
Numéro 001: Se nourrir.
Numéro 001 : Se nourrir.
Après vous être abreuvé comme vous le vouliez, avec une eau au goût incroyablement fin, trouvez-vous de la nourriture. Plusieurs options s’offrent à vous : Vous pouvez vous trouver un Smilodon, une Givrépaire, un ours, un Mammouth, ou encore un dragon, mais il est plutôt conseillé de choisir une proie plus petite, comme un lapin. Faites cependant attention à ce que ce lapin ne soit pas blanc, vous auriez alors besoin d’une certaine grenade pour vous le cuisiner, et il n’y a pas de grenadier dans Bordeciel.
La proie adéquate serait un renard. Vous pouvez tenter de lui tendre un piège à base d’un trou, et de feuillage, mais vous risquez d’être déçu. Si, par un miracle (car, pour survivre avec ce guide, disons que Talos doit être particulièrement généreux avec votre âme), vous attrapiez la bête, faites la grillée, mais il serait plus judicieux de la vidée au préalable (encore une fois, une fois, toutes mes condoléances aux familles des victimes qui n’ont pas lues ma phrase jusqu’à son terme, et qui se sont étouffées avec les tripes de l’animal…), et de la faire grillée ENSUITE.
Si vous voulez faire un ragout, débitez votre viande, prenez des légumes, faites en de la bouille, et rajoutez y de l’eau aromatisée au pied de géant. Ah, et j’oubliais, prévoyez un récipient, cela fait partie de l’équipement de survie nécessaire. Peut-être aurais-je dû le préciser au premier numéro ? J’en ai cependant asse de m’excuser tout le temps…
L’une des recettes les plus connues consiste à débiter la viande, à rajouter des langues de dragon, pour le goût, quelques petits carrés de fromage de chèvre, un peu d’eidar, de l’obscurcine (en effet, contrairement à ce que certains pourraient croire, l’obscurcine est un met de choix, comme le prouve cet article d’un scientifique très instruit : « L’obscurcine, est un met de choix », du célèbre Scienticus Instrictis, un latin… Hum… Très instruit.) Un peu d’obscurcine, donc, et votre plat est près. Mais, nous ne sommes pas en cour de cuisine, il conviendrait donc que je vous donne quelques techniques de survies en cas de perte en Bordeciel, et non que je fasse gonfler mon texte pour faire croire que ce guide demande un véritable travaille de ma part… Ce sera cependant tout pour ce numéro, car, j’aurais normalement dû m’arrêter à la recette du ragoût… Je vous donne donc rendez-vous dans un prochain numéro du: « Guide de survie en cas de perte dans Bordeciel », le quotidien de l’aventurier !
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel, votre quotidien
Numéro 002: Se confectionner un abri.
Numéro 002: Se confectionner un abri.
Félicitation, vous avez brillamment réussi à survivre, de surcroît en suivant mes instructions. Vous avez trouvé de quoi boire, de quoi vous nourrir, ou pas. Si la nourriture vous manque, il ne vous reste plus qu’à vous manger une main, mais, dans ce cas, vous risquez d’avoir du mal à tenir votre quotidien correctement…
Disons que votre main est intacte, et que vous avez réussis à vous maintenir en vie suffisamment longtemps pour pouvoir continuer de suivre mes sages instructions de barde aguerri. L’abri le plus simple à confectionner est un splendide cinq pièces, pour seulement dix milles pièces d’or, on vous le construira sans problème… Oh, veuillez m’excuser, j’oubliais que j’écrivais un guide de survie… L’abri le plus simple à confectionner est donc fait de branchage, et de feuilles. Prenez Vos branches, et faites en une sorte de tente pointue. Mettez ensuite des feuilles dessus, et le tour est joué, vous avez un abri. Pensez tout de même à faire un feu, pour éloigner les gros bestiaux qui pourraient pensés à vous dévorés. Si vous êtes un mage, vous pourrez sans problème mettre feu à des brindilles, pas besoin d’être allé à l’académie de Fortdhiver pour ça. Dans le cas où vous ne seriez PAS un mage, frottez des bouts de bois les uns contre les autres, je vous souhaite bonne chance.
Maintenant que cela est fait, vous ne craignez plus les bêbêtes, petites ou grosses, mais un autre problème se pose: Le feu n’a pas marché, au contraire, il a attiré un camp entier de géants… Non, vraiment m’excuser tout le temps commence à me gêner un peu…
La meilleure chose à faire en cas de confrontation avec un camp entier de géants, est de se laisser voler, et de profiter de cette douce brise qui vous caresse le visage, car l’un d’eux n’aura pas manqué de vous assainné un coup de massue qui vous enverra sans problème à la prochaine grande ville, mais vous risquez fort d’y arriver dans un état ou, au village sans prétention, vous risquez d’avoir mauvaise réputation…
Il est donc conseillé de ne pas s’attaquer aux géants, surtout, qu’en générale, ils sont accompagnés de leurs mammouths. Faufilez-vous plutôt dans l’un de leur sac de fromage de mammouth (j’en profite pour vous faire remarquer que ce dernier aliment a d’excellentes valeurs nutritives.), vous aurez en plus un repas gratuit. Priez simplement Talos pour que l’un des membres du camp n’ait pas une soudaine envie de fromage de mammouth. Vous avez, en plus de votre splendide cachette, un autre avantage non négligeable : si vous avez conservé un peu d’obsurcine, sachez que, mélangée au fromage de mammouth, cela devient un poison très puissant. Ne perdez espoir, et prévoyez le pour le premier géant qui passera, et non pour vous, car ce n’est pas pour les aventuriers suicidaires que j’écris ce guide…
Quand l’un des membres du camp passe près de votre cachette, lancez-lui un peu de poison sur la figure, il devrait s’écrouler en une dizaine de secondes. Les avantages : Vous n’avez plus à vous inquiéter quand à vos probabilités de finir à Blancherive en bouille. Les inconvénients : Cela va attirer l’attention des autres géants. Si vous voulez savoir comment vous tirer de cette situation, disons… Un peu gênante, vous devrez lire le prochain numéro du : « Guide de survie en cas de perte dans Bordeciel », le quotidien de l’aventurier !
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel, votre quotidien
Numéro 003: Se débarasser d'un ennemi gênant... Ou géant...
Vous avez créé une bonne diversion. L’idéale serait maintenant de vous enfuir le plus vite possible de cet enfer. Courez aussi vite que vous le pouvez dans n’importe quelle direction. Cependant, ne croyez pas que tout cela est terminé : Les géants et les mammouths ont repris leurs esprits, et sont prêts à vous poursuivre à travers tout Tamriel. Il vous suffira alors de faire des zigzags, ce qui aura pour effet de rendre encore plus fous furieux vos poursuivants (Sérieusement, des excuses sont-elles encore nécessaires à ce niveau-là ? De plus, un peu d’action n’est jamais de refus…).
La seule chose à faire, est une roulade entre les jambes d’un géant, et de se rappeler ce poème que j’ai moi-même rédigé : «Gagnons ensemble les splendides terres de Tamriel…
Ah, Bordeciel, mon âme tu m’as dérobée…
Non, tu ne me la rendras pas…
Et, c’est terminé… »
Vous penserez ce que vous voulez, moi, je dis qu’un peu de propagande ne fait de mal à personne, même si cela n’a aucun rapport avec le problème auquel vous faite face.
Pour remédier définitivement à cette fâcheuse situation, la dernière chose à faire après avoir effectué la roulade entre les jambes du géant, et de le pousser vers l’avant, en exerçant une pression sinusoïdale de type 93,5 de force supérieure et de gravitation 36,96 en poussant à un angle de 40 degrés Celsius, à condition que le vent souffle en direction du Nord… Ou contentez-vous simplement de pousser le plus fort que vous le pouvez, car les géants ont un très mauvais équilibre.
Faites la même chose pour le reste de la bande. Pour ce qui est des mammouths, si vous n’avez pas déjà reçus un coup de trompe, ou de défense, contentez-vous de courir le plus vite possible.
Dans ce numéro, vous avez appris à échapper à un géant, dans le prochain, vous apprendrez comment… Rendez-vous dans le prochain numéro du "Guide de survie en cas de perte dans Bordeciel" le quotidien de l’aventurier !
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel
Numéro 004: Se confectionner une arme.
Le quotidien de l’aventurier
Numéro 004 : Se confectionner une arme.
En effet, vous avez réussis à échapper à un camp de géant, en improvisant un poison. (Pour information, l’obscurcine est un poison dangereux, mais cela était un test pour les vrais aventuriers qui auront tout de suite décelé mon piège ! Cependant, un bon aventurier se doit de toujours avoir avec lui de l’obscurcine, pour la mélangée avec du fromage de mammouth, par exemple… De plus, en me justifiant de cette façon, j’ai réussi à éviter les excuses…). Mais vous ne tenez pas à continuer à être vulnérable contre des créatures aussi charmantes que celles que vous avez eu l’occasion de vous croiser jusque-ici. Il devient donc urgent de vous confectionner une arme dans les plus brefs délais.
Prenez donc un bout de bois, cela sera déjà un début. Il ne vous reste plus qu’à vous trouver une pierre coupante pour l’aiguiser, mais, si vous trouvez une pierre coupante, il serait idiot de continuer à utiliser le bout de bois, n’est-il pas ?
Continuez à chercher jusqu'à ce que vous trouviez une branche, suffisamment grosse pour que vous puissiez vous confectionner une masse avec la pierre comme les géants le font. Cela prend cependant énormément de temps, et il vous faudrait de la ficelle… La meilleure chose à faire est donc d’utiliser la grosse branche comme un bâton de marche. Si jamais vous croisez une grosse bête, vous aurez l’occasion de vous servir de votre pierre. Lancez la dans le museau de l’animal, à un angle de 33 degrés et avec une force de 54 unités de poids par mètres carrés et fuyez le plus vite possible, et souvenez-vous de ce second poème qui est également de moi : « Fuis donc, ami… Fuis la, la bête, lala… Pense à toi haha, et cours. Pris Talos, et d’un maniement habile du poignet, latte la ! Tin Tin Tin… C’est fini, la chanson... Tin Tin Tin...»
Sérieusement, je pense qu’un peu d’humour dans une situation désespérée ne fait pas de mal… De plus, cette chanson est beaucoup plus entraînante sur un fond de luth…
Je vous souhaite une bonne survie, et vous donne rendez-vous dans un prochain numéro du : « Guide de survie en cas de perte dans Bordeciel », le quotidien de l’aventurier !
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel, votre quotidien
Numéro 005: Se remonter le morale.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel
Le quotidien de l’aventurier
Numéro 005 : Se remonter le morale
Après avoir survécus à toutes ces épreuves vous avez le droit de vous détendre… Je vous donnerais donc l’une ou l’autre astuce pour que vous puissiez vous détendre tout en gardant l’œil ouvert pour ne pas courir de dangers.
L’une des solutions les plus simples pour se détendre est de consommer des Givreboises à haute dose, ce qui fera office de laxatif, et, croyez-moi, vous pourrez vous détendre… Si jamais vous êtes attaqué par une grosse bête, vous pourrez vous servir de vos fluides corporels pour… Non, oubliez ça, cela aurait été une mauvaise solution.
Une seconde solution consiste à prendre une ou deux, et SEULEMENT une ou deux Givreboises, pour les écrasées avec un peu de terre. Prenez ensuite un tout petit peu de toile de Givrépaire. En fait, les Givreboises servent seulement pour rajouter un peu de goût, car la toile de Givrépaire est amère et filandreuse (comme l’on pourrait s’y attendre avec la toile d’une araignée géante…). La toile de cette animal a pour effet de vous faire voir des choses plutôt… Bizarres…
Vous risquez cependant de vous faire attaquer pendant votre délire hallucinatoire de survivant désespéré, il est donc plus que conseillé de se trouver un abri AVANT de consommer ces dernières substances…
Cette fois-ci, un numéro un peu plus court. Pardonnez-moi, mais les astuces pour vous rendre joyeux en période de survie ne sont pas légion…
Rédigé par Boulaba le barde.
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Le quotidien de l'aventurier
Deux numéros en un: 006 et 007: Savoir s’attirer des ennuis, mais pas trop...
Le quotidien de l’aventurier
Numéro 006 : Savoir s’attirer des ennuis, mais pas trop…
Deux numéros en un :
« Mais que pourrais-t-il m’arriver de pire ? » C’est la question que vous devez sûrement vous posée, et je vais y répondre prestement : « Continuer de suivre les instructions présentes dans ce guide »…
Sans plus de parlote inutile, je vous propose maintenant de vous attirer l’un ou l’autre ennui pour rendre cette aventure réellement trépidante !
En cherchant un peu dans Bordeciel, vous trouverez facilement un camp de bandit, ou même, si vous prenez la peine de vous enfoncer dans la première grotte que vous trouverez, et vous aurez peut-être même la chance de tomber sur un camp de Falmers assoiffés de sang… Pour échapper à ces horribles créatures, enduisez-vous de crotte de mammouth, pour masquer vos odeurs. Cependant, sachez que si les Falmers ne peuvent plus vous sentir grâce aux crottes du pachyderme, fort odorantes, mais ça, je pense que vous vous en serez rendus compte vous-même. Il convient donc de ne pas s’aventurer dans une grotte remplie de ces patibulaires créatures que sont les Falmers.
Numéro 007 : Savoir s’attirer des ennuis, mais pas trop : L’infiltration !
Premièrement, pour infiltrer correctement un camp ennemi, l’idéale est de ne pas se tartiner e substances fécales pachydermiques, premièrement, parce que ce n’est… Pas très hygiénique, et ensuite, car il y a des gens qui ont un ODORAT (et j’insiste vraiment beaucoup sur e mot) asse sensible pour détecter l’odeur nauséabonde des crottes de Mammouth…Il convient donc, que, pour respecter l’engagement que j’ai fait en écrivant ce guide, je vous donne l’un ou l’autre conseil pour… Survivre ?
Commencez par marcher doucement (oui, la discrétion commence par la, que voulez-vous que je vous dise ?), en faisant de petits pas. Mais, attention aux pièges, il serait idiot de vous retrouver empalé à un mur de piques, pour que des Falmers sauvages vous dévorent cru, avec des petits légumes, et un excellent potage de terre… (Peut-être devrai-je prendre l’habitude de commencer par les préventions, ne croyez-vous pas ?) Aussi, respirez aussi lentement que possible : Les Falmers sont aveugles, mais leurs autres sens toujours à l’affut !
Plaquez-vous aux murs, soyez aux aguets, et surtout, souvenez vous de ce poème :
Si, le Falmer, te guette, attention, ton âme il te prendra,, et la dévorera…
Oh ! Dans les ténèbres sombres de l’oubli
Le Démon, la plongera,
Ihihihihihi…
Donc, attention au Falmer…
Comment, ma propagande vous ennuie ?
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel
Le quotidien de l'aventurier
Numéro 008: S'entretenir physiquement.
Le quotidien de l’aventurier
Numéro 008 : S’entretenir physiquement.
Ce numéro commence par une rime, ce qui annonce quelque chose de superbe… Je vous entends dire : « J’ai déjà Combattu des géants, affronté à peu près tout ce qu’il est possible d’affronter dans cette maudite région, je pense que ma musculature est au point. Il ne me manquerais plus qu’un troll pour avoir échappé à tous les dangers de Bordeciel ».
Comme dans le dernier numéro, je vais répondre à cette question : « Je vous prie de me croire sur ce point : Votre musculature ramollira et servira bien vite de serviette de bain à un géant (bien que je pense que les géants ne prennent pas de bains…) si vous ne l’entretenez pas tous les jours au moins deux heures. »
Vous pouvez faire travailler vos bras à l’aide d’une branche, mais le meilleur moyen pour rester dans une forme Olympique est de combattre un troll, justement… L’avantage avec ces bestiaux, c’est qu’ils sont très lents, le danger et qu’ils frappent très fort (remarquez qu’ils ont tellement d’adrénaline à relâchés qu’ils passeront la plupart de leur temps à frappés le sol rageusement… La meilleure solution pour provoquer l’affrontement est donc… De l’entamer en frappant le troll… Vous pouvez lui asséné le coup à l’endroit qui lui serait le plus gênant, mais, cela ne serait pas très poli (si l’on peut parler de politesse avec un troll, car la chose la plus aimable dont il puisse faire preuve est de ne pas vous arracher les boyaux AVANT de vous avoir tué…), pour lui-même et pour sa progéniture.
Choisissez plutôt de le frapper au visage. Croyez-moi que le bestiau aura du répondant. Pendant cette sauvage bataille, il y aura du sang sur les arbres des environs, mais ne vous découragez pas, vous finirez par l’avoir. La seule chose que vous pussiez craindre est qu’il ne soit pas seul. Dans ce cas, prenez en un pour taper sur l’autre, ces bêtes sont tellement stupides qu’elles seront fichues d’aimer ça.
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel
Le quotidien de l'aventurier
Numéro 009: Les petites choses pratiques en période de survie
Le quotidien de l’aventurier
Numéro 009 : Les petites choses pratiques en période de survie.
Vous risquez fort de vous ennuyer, ou de vous demander l’heure qu’il est ou le jour d’aujourd’hui. L’une des meilleures solutions pour l’amusement est de faire trempette avec les poissons carnassiers. Croyez-moi, sa chatouille l’ensemble du corps, mais c’est amusant seulement à condition d’avoir une peau en acier… C’est aussi un peu de votre faute, vous n’avez qu’à lire mes phrases en entier !
Il y a évidemment aussi la solution d’aller chatouiller un mammouth sous les côtes (au sens propre du terme…), ou bien de renouveler l’expérience du Troll… Mais, tout ça, c’est pour les gens qui n’aiment pas les sensations fortes et l’odeur de renfermé. De plus, cette solution peut vous servir à créer une horloge, et même un calendrier !
Le principe et d’entrer dans une caverne, et de trouver une givrépaire. Elle vous lancera sûrement du poison à la figure, avant de se précipitée sur vous et de vous démembrer pour déguster votre chaire, alors, un conseil, esquivez ses coups mais je pense que vous aurez trouvé cela tout seul. Prenez une pierre, et lancez lui dessus, entre les mandibules et la trachée auxiliaire par la quelle sort son venin.
Le monde est une jungle, et la seule chose à faire et de s’y adapter. Prenez les mandibules de la bête, et, quand il y aura du soleil, plantez-la dans le sol. L’ombre devrait vous donnée l’heure, à condition de tracer dans la terre les graduations nécessaires.
Pour ce qui est du calendrier, la seconde mandibule vous servira à tracer les jours et les mois dans le sol… Comment cela, une pierre aurait suffi ? Le reste marche à l’instinct : Essayez de deviner le jour d’aujourd’hui pour avoir une base.
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel
Le quotidien de l’aventurier
Numéro 010 : Les points faibles et les moyens de s’en sortir indemne en cas de confrontation avec…
Le quotidien de l’aventurier
Numéro 010 : Les points faibles et les moyens de s’en sortir indemne en cas de confrontation avec…
Il y a des choses à savoir sur les créatures de Bordeciel. C’est pour cela que j’ai écrit cette liste dans ce numéro 010 de votre guide. Si vous repérez certains conseils qui vous paraissent douteux, ne me contactez pas s’il vous plaît, merci.
Voici donc la liste :
Le Troll : Ne me dites pas que vous ne vous doutez pas du point faible de cette créature… Je vous donne un indice : Deux…
Le Mammouth : A peu près la seule partie atteignable… Enfin, vous voyez de quoi je parle ? Pour ceux qui n’ont pas débusqués la subtilité, il s’agit de la trompe de la bête, à quoi pensiez-vous ?
Le spectre de glace : L’occasion rêvée de briser la glace, si vous voyez ce que je veux dire… Prenez la première chose qui vous arrive sous la main, et lancez-lui dessus.
Les drougrs : Ces squelettes ne sont que des sacs d’os. Offrez leur un bon verre de lait pour recalcifier tout ça, et faites leur un peu la causette !
Les lucereines : Ce sont des dames fantomatiques, e l’oubliez pas, offrez leur donc un superbe bouquet de fleurs, mais ne leur donnez pas directement, cela leur passerait à travers…
Les géants : Disons que cela se situe entre… Les deux yeux, lancez (oui, mais, que voulez-vous, lancer est une compétence à maîtriser, que vous risquez d’oublier si vous faites face à une maladie débilitante transmise par des ragnards… Pensez simplement à ne pas oublier de lancer… Ou vous deviendrez assez… Vulnérable pour quelques minutes…) une pierre, ou bien un renard, un loup, un vasard, tout ce qui vous passe sous la main ! Mais, souvenez-vous, il est préférable de lui rouler entre les jambes (priez Talos pour ce que vous verrez à ce moment-là…), et de les pousser le plus fort que vous le pouvez.
Les ragnards : Ce sont des rats énormes, qui peuvent vous transmettre des maladies débilitantes… Alors, pour les affaiblir, coupez-leur-la… Queue…
Les loups : Lancez leur un os, ce sont des canins rappelez-vous…
Les vasards : Ces crabes seront ravis de vous sérer la pince, alors, assurez-vous de les couper.
Les smilodons : Ce sont des félins, rappelez-vous. Peut-être qu’un peu de poisson, et…
Les loups garous : Encore des canins, mais, rappelez-vous que la chose qu’ils détestent le plus est l’argent. Peut-être auriez-vous quelques pièces d’or sur vous ?
Les vampires : La seule chose qu’il vous faut est une bonne gousse d’ail… Pour assaisonner votre cou…
Rédigé par Boulaba le barde.
Le guide de survie en cas de perte dans Bordeciel:
Le quotidien de l'aventurier.
Numéro Spécial: Le retour du barde !
Numéro spécial : le retour du barde !
Eh oui, vous n’êtes pas en train de faire un magnifique songe dans lequel votre barde préféré revient pour continuer à vous compter des histoires passionnantes, et à vous prévenir et vous conseiller sur les dangers de Bordeciel.
Disons que, ce numéro ne vous apprendra pas à survivre dans la nature hostile de Bordeciel, mais, à survivre dans les prisons de Bordeciel… J’en ai fait, comme vous le savez sûrement, l’expérience, et, si il est d’hors et déjà un conseil que je peux vous donner, il s’agit de celui-ci : ne vous baissez jamais !
Dans les cruelles prisons de Bordeciel, vous risquez tout d’abord de tomber sur n’importe quel détraqué avide de sang, et mourrant d’envie de sucer la moelle de vos os, pour finir par vous ouvrir le ventre, et déguster vos tripes assaisonnées de vos yeux écrasés… La seule chose qui puisse vous sauver de cette situation, et de ne jamais baisser votre garde… En fait, dans ce genre d’endroit, il vaut mieux ne rien baisser du tout.
Si vous ne tombez pas sur un fou dangereux, remerciez Talos, et implorez le de ne pas vous abandonner !
Tout dépend de votre situation. Si vous êtes condamné à la décapitation (ce qui n’était heureusement pas mon cas), je vous conseille vivement de suivre ce dernier conseil… Echappez vous, le plus vite possible, par exemple, en essayant de creuser un trou dans un sol de pierre avec vos ongles… C’est une idée comme un autre, pour échapper à la mort… Au moins, vous aurez essayé quelque chose.
Vous pouvez également tenter de faire équipe avec votre compagnon fou furieux de cellule, mais, je vous conseille tout de même l’option du trou, qui est beaucoup moins douloureuse.
Quand on vous jettera le morceau de pain accompagné de la coupe d’eau d’origine assez douteuse qui vous servira de repas, essayez de vous servir de la coupe en question pour assommer le garde, prendre ses clefs, et sortir de votre geôle ! *Cette ponctuation est en effet là pour vous faire croire que cette solution est susceptible de marchée…*
Si tout cela ne marche pas… Vous pouvez toujours essayer de crocheter la porte qui vous sépare de la liberté, ou tout simplement… Passer par la grille que personne n’a verrouillée qui se trouve mystérieusement dans votre cellule… *Je me demande depuis combien de numéros je n’ai pas précisé qu’il faillait lire le guide en entier avant de partir à l’aventure ? Sachez que cela est d’ailleurs la raison pour laquelle je me suis retrouvé emprisonné…*
Rédigé par Boulaba le barde.
Gentes dames et gentils damoiseaux, je tiens à m'excuser de ce double post, mais également de la gêne qu'aurait pu occasionnées les balises Spoiler. Je ne tenais point à faire buger le topic, voila tout.
Merci de votre aimable compréhension
Boulaba le barde
Edit: Games.Man est un PGM, bravo à lui...
On est de plus en plus d'écrivain ici ! ^^
Je lirai ce bon gros pavé demain. Tu m'en veux pas ? Je mate l'épopée Super Meat Boy.
On t’arrête jamais toi.....^^
C'est une bonne grosse bouboule hyper active ! :p
ouaip, mais c'est toujours bien d'écrire !!!!
Tout a fait d'accord mon cher !!!!
Bon courage. (^_^)"
J'en suis à la quatrième partit. Je me les faits toutes d'un coup. ^^
En se moment Hooper troll Nintendo. :D
moi j'attends le bon moment pour me mater celle de castlevania, pendant les vacances avec des potes en non stop !!^^
Ha, ha, mon chère LittleHardy, j’espère de tout cœur que mes récits vous plairont, mon seigneur!