Il était une foie dans un pays lointain un héraut sans peur et sans reproche qui avait pour réputation d'être une corne d'abondance de bons mots. Un jour, alors qu'il comptait fleurette à de jolies renoncules, notre bel ami fut à cours de carreaux, rangeant alors son arc vocal, il s'en alla errer dans les arcanes de ses pensées pour rechercher la source de ses maux. Après plusieurs jours de déambulations intérieur, il lui fallu se rendre à l'évidence, le dont qui avait fait de lui ce qu'il était, l'avait quitté, notre aède devint dès lors un pauvre hère.
Quelques années passèrent dans le royaume d'hooperie, le temps fit son travail de sape, et le bien aimé poète fut oublié. Au château, le roi grosours 1er recevait régulièrement les gens du grenierland, pour des beuveries gargantuesque. Lors de l'une d'entre elles, un chat sema la pagaille, à tel point que son museau fut mis à prix. Mais d'où venait il ? Personne ne l'avait encore jamais vu et, pire, aucun chat n'était recensé dans la région eu égard à son climat que l'on pourrait qualifié de « miso-felis ».
Cette affaire fit le tour du royaume en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire et les plus intrépides chasseurs de prime se mirent à la recherche du félin. Après quelques semaines de vaines battues, le butin était bien maigre, quelques poils et une souri décapité.
La mise en échec des chasseurs de hooperie eu des répercutions inimaginable sur les relations extérieurs. Le royaume était raillé et ses sujets traîné dans la fange, quant au roi, on le disait s'adonner au stupre et n'ayant comme ambition que le lucre. Il fallait faire quelque chose et au plus vite.
C'est dans ce contexte que grousours 1er se découvrit une marotte, « la réflexion peu commune », corollaire de l'« esprit de déduction peu commun ». Ses sujets le voyait régulièrement sortir de son château pour abreuver ses neurones, elles aussi peu commune, de l'air frai de hooperie jusqu'au jours où ils le virent rentrer en hurlant qu'il avait trouvé la clef de l'énigme.
Il ne fallu attendre qu'une heure pour que grosours 1er apparaisse au balcon de son château pour annoncer le fruit de son travail intellectuel. L'euphorie fut de courte duré, le roi, loin d'avoir une réponse, ne proposait qu'un plan boiteux pour attrapé l'invité non désiré.
La nuit qui suivit ce non événement, l'objet de toutes les attentions reparu. Derechef le chat de se retrouver dans ce royaume qui lui était d'une hostilité, sinon avouer, au moins palpable. L'animal téméraire se faufilant jusqu'à la chambre du roi, ronronnait malicieusement comme pour signifier son mépris des lois arbitraires et mortifères de ses cousins bipèdes. Une foi la fenêtre royale atteinte dans un ultime hissement, le voilà, pattes de velours, foulant le sol du sieur grosours 1er.
Sentant la présence doucereuse de son convive, le roi se leva et fit le tour des lieus jusqu'à tomber nez à museau avec l'intrus. Le charme incontestable de son hôte tétanisa tous sursauts guerrier chez le maître de maison. Après un combat oculaire qui n'en finissait pas, le chat entama une diatribe enflammé sur ce qu'il pensait être une injustice, à savoir, sa mise au ban du royaume d'hooperie.
Le roi , aucunement traumatisé par le fait qu'un chat puisse parler, fut touché par l'argumentaire du felix felin et une conversation s'engagea qui ne se fini que tard dans la nuit . Dès potron-minet, un édit du roi fit du chaton, car s'en était un, son plus fidèle compagnon, rendant ainsi caduque les menaces qui pesaient sur la pauvre bête.
Mais qui est ce chat ? Pourquoi ce revirement de situation ? Quel est la teneur de l'échange qui bouleversa notre bon roi ?
ps: si ça vous plait je continue, sinon je la ferme :p
Nitrola, je n'ai pas compris ta signature :p
Biographie non-autorisé de grosours 1er
1/ Une rencontre inattendue
Il était une foie dans un pays lointain un héraut sans peur et sans reproche qui avait pour réputation d'être une corne d'abondance de bons mots. Un jour, alors qu'il comptait fleurette à de jolies renoncules, notre bel ami fut à cours de carreaux, rangeant alors son arc vocal, il s'en alla errer dans les arcanes de ses pensées pour rechercher la source de ses maux. Après plusieurs jours de déambulations intérieur, il lui fallu se rendre à l'évidence, le dont qui avait fait de lui ce qu'il était, l'avait quitté, notre aède devint dès lors un pauvre hère.
Quelques années passèrent dans le royaume d'hooperie, le temps fit son travail de sape, et le bien aimé poète fut oublié. Au château, le roi grosours 1er recevait régulièrement les gens du grenierland, pour des beuveries gargantuesque. Lors de l'une d'entre elles, un chat sema la pagaille, à tel point que son museau fut mis à prix. Mais d'où venait il ? Personne ne l'avait encore jamais vu et, pire, aucun chat n'était recensé dans la région eu égard à son climat que l'on pourrait qualifié de « miso-felis ».
Cette affaire fit le tour du royaume en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire et les plus intrépides chasseurs de prime se mirent à la recherche du félin. Après quelques semaines de vaines battues, le butin était bien maigre, quelques poils et une souri décapité.
La mise en échec des chasseurs de hooperie eu des répercutions inimaginable sur les relations extérieurs. Le royaume était raillé et ses sujets traîné dans la fange, quant au roi, on le disait s'adonner au stupre et n'ayant comme ambition que le lucre. Il fallait faire quelque chose et au plus vite.
C'est dans ce contexte que grousours 1er se découvrit une marotte, « la réflexion peu commune », corollaire de l'« esprit de déduction peu commun ». Ses sujets le voyait régulièrement sortir de son château pour abreuver ses neurones, elles aussi peu commune, de l'air frai de hooperie jusqu'au jours où ils le virent rentrer en hurlant qu'il avait trouvé la clef de l'énigme.
Il ne fallu attendre qu'une heure pour que grosours 1er apparaisse au balcon de son château pour annoncer le fruit de son travail intellectuel. L'euphorie fut de courte duré, le roi, loin d'avoir une réponse, ne proposait qu'un plan boiteux pour attrapé l'invité non désiré.
La nuit qui suivit ce non événement, l'objet de toutes les attentions reparu. Derechef le chat de se retrouver dans ce royaume qui lui était d'une hostilité, sinon avouer, au moins palpable. L'animal téméraire se faufilant jusqu'à la chambre du roi, ronronnait malicieusement comme pour signifier son mépris des lois arbitraires et mortifères de ses cousins bipèdes. Une foi la fenêtre royale atteinte dans un ultime hissement, le voilà, pattes de velours, foulant le sol du sieur grosours 1er.
Sentant la présence doucereuse de son convive, le roi se leva et fit le tour des lieus jusqu'à tomber nez à museau avec l'intrus. Le charme incontestable de son hôte tétanisa tous sursauts guerrier chez le maître de maison. Après un combat oculaire qui n'en finissait pas, le chat entama une diatribe enflammé sur ce qu'il pensait être une injustice, à savoir, sa mise au ban du royaume d'hooperie.
Le roi , aucunement traumatisé par le fait qu'un chat puisse parler, fut touché par l'argumentaire du felix felin et une conversation s'engagea qui ne se fini que tard dans la nuit . Dès potron-minet, un édit du roi fit du chaton, car s'en était un, son plus fidèle compagnon, rendant ainsi caduque les menaces qui pesaient sur la pauvre bête.
Mais qui est ce chat ? Pourquoi ce revirement de situation ? Quel est la teneur de l'échange qui bouleversa notre bon roi ?
ps: si ça vous plait je continue, sinon je la ferme :p
C'est sympa!!! :) Continue!!! :)---
C'est noté, merci :)
De rien!!! En tant que confrères écrivains, on s’entraident!!!: )
Ecrivain, me concernant, me semble un peu beaucoup mais j'accepte l'entraide;)
BWAHA!!! Moi, je suis un barde!!! ^0^
ah le barde ... (hallebarde jeu de mot)
un mog barde alors?
EXACTEMENT! JE suis une boule de poile barde...
ou sont vos oeuvres cher boule de poil?