Comme tous les matins, fidèle à mes habitudes, je rentrai boire mon petit café dans l'estaminet de Bébert. Comme toujours, je m'assis à la table du fond, face à la baie vitrée ; j'aimais contempler l'effervescence du monde en buvant mon expresso. Bébert me servit en souriant le précieux nectar chaud, je le remerciai et mécaniquement, je me mis à fixer le monde extérieur à travers la devanture.
Un petit homme, à l'apparence frêle, vêtu d'un pardessus sombre, s'arrêta juste devant le bar. Il se retourna et regarda subitement derrière lui, puis refit volte-face. Il resta là, quelques instants, à scruter les alentours. En regardant plus précisément son visage, je remarquai que l'homme semblait vraisemblablement préoccupé ; son visage paraissait crispé, ses yeux globuleux laissait entrevoir une inquiétude manifeste, presque une peur, à peine dissimulée. Il se décida à entrer dans l'établissement, s'assit au comptoir et commanda un café d'une toute petite voix à peine perceptible. Là encore, il jetait des petits coup d'yeux furtifs par-dessus ses épaules. Il est évident que quelque chose n'allait pas.
Je regardai ma montre, il me tardait de partir. Alors que je me levai, l'homme sursauta. Je quittai les lieux presque amusé par ce curieux petit homme visiblement les nerfs à vif.
Le lendemain matin, comme d'habitude, j'étais là tout paisible depuis quelques minutes, confortablement installé, la petite de tasse de café à la main quand, tout à coup, un homme fit brusquement irruption. Il s'assit au bar et demanda un café d'une voix tremblante. Je le reconnus, c'était le même homme que hier mais bien plus agité, le visage blême. Interloqué, je ne pus m'empêcher de m'approcher de lui et de m'asseoir à côté de lui. Une fois encore, il sursauta lorsque je m'installai près de lui.
"Bonjour Monsieur !" lui lançai-je "Excusez-moi de vous déranger et de me mêler de ce qui ne me regarde pas mais voilà deux jours de suite que vous venez dans cet établissement et il semble évident que quelque chose vous tracasse. Puis-je vous être utile ?"
L'homme ne me répondit pas, il secoua la tête. Il tremblait, il évitait mon regard. Grands Dieux ! Mais que se passait-il ?
"Monsieur, si je peux me permettre de..." insistai-je. Je ne pus terminer ma phrase, l'homme se leva et s'en alla, comme s'il fuyait, voulait échapper à quelque chose.
Le jour suivant, je venais à peine de franchir le seuil de la brasserie que le mystérieux bonhomme surgit derrière moi, haletant, en sueur, il semblait terrorisé. On avait l'impression qu'il avait vu le diable en personne.
Instinctivement, je me dirigeai vers lui, le soutins et l'aidai à s'asseoir tant ses jambes flageolaient. On devinait sans peine la terreur qui habitait cet homme à cet instant.
"Monsieur, je vous supplie de me dire ce qui vous arrive !" lui dis-je d'un ton posé et rassurant. "Peut-être puis-je vous aider ?"
"Je....je...." L'émotion étranglait l'homme, il bégayait tellement que sa phrase était inaudible et inintelligible. D'un geste des mains, je l'invitai à se calmer et à inspirer profondément pour expulser le trop-plein d'émotions.
"Depuis quelques jours, quand je prends ma voiture dans le parking souterrain, j'ai l'impression d'être épié. Dès que je sors de chez moi pour aller faire une course à pied, j'ai l'impression d'être suivi...Je sais ça parait dingue ! Mais je suis quasiment sûr que quelqu'un me veut du mal" finit-il par dire.
Je le regardai, perplexe. "Cet homme était-il fou ?" m'interrogeai-je.
Je me proposai de l'accompagner jusqu'à chez lui. Il accepta. Le trajet durant, je regardais néanmoins autour de nous pour m'assurer qu'il n'y avait personne au comportement suspect. Je ne remarquai rien d'anormal. Arrivés au pas de son immeuble, il me remercia chaleureusement puis je m'en allai.
CHAPITRE II
Monsieur Brodin devait se rendre chez son frère habitant à 30kms de chez lui. Il descendit, non sans appréhension, dans le parking souterrain pour prendre son véhicule. Il fit quelques pas dans cette antre silencieuse et désert. La lumière blâfarde, qui venait de s'allumer automatiquement, éclairaient les tôles rutilantes des voitures.
Tout à coup, cette angoisse paralysante qu'il ressentait depuis quelques jours quand il se trouvait à cet endroit, l'assaillit de nouveau. Des sueurs froides commencèrent à perler sur son front, il avait les jambes en coton. Une sensation d'insécurité l'envahit. Il accéléra le pas et se dirigea le plus rapidement possible vers son véhicule. Au moment où il ouvrit la poignée de porte de sa voiture, il sentit une main saisir son épaule. Un cri étouffé s'échappa de la bouche de Monsieur Brodin, qui se retourna malgré tout vers cet homme. Terrorisé, il le regarda de la tête au pied. Cet homme lui était familier, il se calma instantanément :
"Bonjour ! Vous m'avez fait une de ces peurs !" dit-il avec le sourire.
L'homme devant lui resta silencieux, se contentant de le fixer d'un regard pénétrant. Le sourire qui éclairait jusqu'ici le visage de Monsieur Brodin s'effaça laissant place à une grimace crispée, des yeux exorbités. Il joignit ses mains sur son abdomen, entourant le manche du poignard que son assaillant venait de lui enfoncer dans le ventre. Il finit par s'effondrer, quelques soubresauts spasmodiques traversèrent subrepticement son corps avant de s'arrêter. Inerte, sans vie, La dépouille de Monsieur Brodin jonchait le sol froid.
CHAPITRE III
Les habitudes ont la vie dure. Réglé comme une horloge, j'entrai chez Bébert, commanda mon café et allai m'asseoir à la table du fond, tourné vers l'extérieur. Comme toujours. J'adorai ce rituel. Bébert m'amena mon café, le posa devant moi et me dit :
"Tiens ? Ca fait bizarre de ne pas voir le monsieur mystérieux aujourd'hui. Tu sais, le monsieur très agité qui était encore là hier, celui que tu as raccompagné chez lui."
"Oui, c'est vrai, tiens ! Peut-être s'est-il rendu compte qu'il était en plein délire paranoïaque. Je l'ai raccompagné chez lui hier et rien ne m'a semblé anormal." lui rétorquai-je.
Bébert retourna derrière le comptoir, je bus une gorgée de café tout en me disant au fond de moi :
"Mon cher Bébert, tu peux être sûr que tu ne le reverras plus !"
Je reposai ma tasse sur la soucoupe, un sourire aux lèvres.
Bonjour, ou bonsoir à tous, et, aujourd'hui, l'heure du renouveau à sonnée!!! Eh oui, c'est repartis pour toujours plus de nouvelles, et toujours plus de joie, et de bonne humeur, tout sa sans trolls ni kikoos. Mais, qu'est ce que vous attendez pour poster vos histoires???
En tout cas voici une nouvelle dont j'ai eu l'idée d'un seul coup.
Attention je déconseille cette histoire aux paranoïaque et à aux trop philosophe ^^
Sinon Bonne lecture
L’Histoire d’un auteur
Je m’appelle William, j’ai rien d’exceptionnel, je suis même un garçon banal, c’est ce que je pense. Là je suis presque endormi pendant le cours de Français, la prof ne cesse de parler sans que je comprenne ce qu’elle dit, je préfère rêver c’est plus agréable. En parlant de rêvé j’aperçois au loin Lucie, une fille très belle si ce n’est la plus belle. Alors que je la regarde rêveur j’entends une voix familière mais pas amicale :
« ça vas pas de baver sur Lucie gros porc ?! »
A ses paroles le reste de la classe se tourna vers moi, commençant à rire, j’essuyai rapidement ma salive sortant de mes pensées. Lucie elle ne riait pas, elle me lança un mauvais regard, je pouvais dire adieu à toute mes chances avec elle maintenant. La prof calma la classe avec son fameux « Silence ! » et les autres recommençait d’écrire maintenant. Je me retournais à la personne qui avait provoqué tout ça, Benoit était content il m’avait de nouveau ridiculisé. C’était tout le temps comme ça, tout le monde se moquer du petit William depuis mon arriver ici. Le cours de Français se termina et je sortis rapidement ne voulant pas subir de nouvelle moquerie, arriver dans le couloir je me rendis compte que j’avais oublié de prendre mon sac, tout les autres élèves me poussèrent faisant comme ci je n’étais pas là. Benoit me poussa plus que les autres, j’étais son jouet de torture et vu ses muscles je ne risquais pas de me révolter. Il n’y avait plus d’élève quand j’arrivai de nouveau dans la salle pour prendre mon sac, la prof me regarda étrangement mais sans insisté plus que ça. Alors que j’allais partir elle me dit sans me regarder :
« Vous devriez écrire des histoires William, des histoires d’amour par exemple »
Je ne sus quoi répondre et parti sans rien dire. Dans la cour de récré je m’assis sur un banc, seul, je n’avais pas d’ami et encore moins de petite-amie. J’aurai donné n’importe quoi pour en avoir une. Les autres garçons en avaient facilement, surtout les sportifs, comme Benoit, qui jouait au foot en ce moment même. Je fouillai dans mon sac pour prendre mon gouter, c’est alors que je remarquai qu’il y avait un cahier qui ne m’appartenait pas à l’intérieur. Je l’ouvris pour voir le nom mais il n’était à personne, un cahier gratuit c’est toujours ça. Je sortis un crayon et écrivit mon nom dessus, maintenant il était à moi. Je reçu le ballon de foot en pleine figure, Benoit fit semblant de s’excuser devant le surveillant mais je savais qu’il l’avait fait exprès. Il m’énervait j’aurai tellement voulu lui faire du mal mais j’avais plus de chance de finir à l’hôpital avant même de le toucher. Je regardais de nouveau mon cahier, d’où venait-il ?
Serait-ce la prof de Français qui l’aurait mis dans mon Sac ? Elle m’avait dit d’écrire une histoire…Eh si j’inventais une histoire ou Benoit serait mon souffre-douleur, non cela ne servirait à rien de s’enfoncer dans une fausse réalité. Malgré tout j’écrivis pour rire « Benoit tombe par terre ». Au même moment j’entendis crier, Benoit venait de tomber…je n’y croyais pas. Non c’était qu’une simple coïncidence, même si elle était jolie. Mais je voulais m’assurer que cela n’était pas à cause de moi, pour me rassurer j’écrivis « Un oiseau se posa devant moi », j’avais à peine fini d’écrire qu’un oiseau venait réellement de se poser devant moi avant de s’envoler de nouveau. Deux coïncidences simples, cela ne pouvait pas être vraiment vrai, alors pourquoi j’en doutais ? Il fallait que j’écrive un truc exceptionnel si cela arrivé alors j’en aurai le cœur net. J’écrivis la première chose folle qui me passa par la tête « Lucie me donna son numéro de téléphone », elle observait Benoit en train de jouer, ce n’était pas prêt d’arriver. C’est alors qu’elle se dirigea vers moi, je ne pouvais pas y croire, elle venait vers moi en écrivant quelque chose sur un bout de papier. Une fois à ma hauteur elle me donne le papier avec un sourire, c’était son numéro de téléphone. Je ne le croyais pas et apparemment Benoit non plus vu sa tête, Lucie repartie et retourna le regarder jouait comme si il ne s’était rien passé. Ce livre avait un vrai pouvoir, j’allais pouvoir faire ce que je voulais autour de moi. Le soir je rentré souriant, j’avais passé une excellente journée, Benoit n’avait eu que des ennuis et Lucie était devenu ma petite-amie comme je l’avais écrit. Je ne mangeai que très peu ce soir là et me dépêcha d’aller dans ma chambre. J’ouvris le cahier, tira un grand trait en dessous de ce que j’avais écrit aujourd’hui, j’avais décidé de faire une nouvelle histoire ou je serai le propre héros et ou je rencontrerai la femme parfaite, je passa ma nuit à écrire sans m’arrêter, le lendemain je sortit de chez moi mais pas pour aller en cours, mon histoire avait prévu autre chose pour moi. Elle était là devant chez moi, ma femme parfaite comme je l’avais décrite, et elle m’embrassa pour m’accueillir comme je l’avais écrit. Nous passèrent une excellente journée, la journée idéal d’ailleurs elle n’aurait pas plus être parfaite, bien que je la connaissais totalement à l’avance, je quittai ma petite-amie au soir, elle dit rentré chez elle mais moi je savais qu’elle n’avait pas de chez elle, elle n’avait même pas de nom, le soir je recommençai à écrire la prochaine journée que je passerai en sa compagnie, j’avais écrit que je n’étais jamais fatigué et c’était le cas. Je décidai de donner un Nom à ma femme parfaite, elle s’appellerai Perfectly cela me semblait évident et ça lui donner du charme. Ma vie était désormais parfaite, si belle, je ne saurai jamais d’où venait se cahier ni pourquoi c’est moi qui l’ait eu. Aussi étrange que ça puisse paraître il avait des pages à l’infini donc j’étais tranquille pour toujours.Je vivais des journées parfaites et ma vie était parfaites, je pouvais bénir ce cahier pour toujours Un soir où j’écrivais de nouveau le récit de ma prochaine journée, Perfectly arriva dans ma chambre. Je fus surpris, je me souvenais pas avoir écrit cela, je n’avais pas écrit ça ! Inquiet je lui demandai :
« Que fais-tu là chérie ? »
Elle me regarda mais pas comme d’habitude, j’étais de plus en plus inquiet que se passait-il ? Elle me répondit avec la même voix que d’habitude mais un ton différent :
« William ta vie est une histoire. »
Encore une fois cela me choquait et m’inquiétai, je commençais à me méfier de ma femme si parfaite normalement, je tentai de répondre avec assurance :
« Je….Je le sais ! Je suis l’auteur de cette histoire ! C’est moi qui t’ai inventé »
Elle me regarda sans bouger, sans aucune expression particulière, et elle me répondit :
« William, n’es-tu jamais venu à l’idée que tu faisais partie de l’histoire d’une autre personne, que tout ce que tu a fait et vécu à également était écrit ? Que depuis le début tout autour de toi n’est qu’une fiction et que comme toi quelqu’un contrôle le moindre de tes fait et geste ? »
Que signifier tout cela, j’étais en panique extrême, avait-elle raison ? Non c’est impossible, je suis dans la réalité pas dans une histoire, ce que j’ai vécu c’est bien réel, mes parent sont réels, Benoit est réel, Lucie est réelle, la prof de Français est réelle, mon voisin est réel, le monde est réel ! La seule chose qui n’était pas réel était Perfectly, cela me parut alors comme une évidence, je lui dit d’un ton déterminée :
« Je vais te supprimer tu pourra rien ne faire »
j’écrivis alors « Perfectly disparut sans raison » et attendit quelques secondes, mais Perfectly ne disparut pas, elle répondit d’un air navré :
« Quand est-ce que tu comprendra ? Tout est contrôlé, tout est une histoire, ce que je dis est contrôlé et l’auteur de tout ça à décidé que tu allais mourir. »
Au moment où William entendit ces mots, il fit un arrêt cardiaque mourant devant un cahier vierge, seul dans sa chambre. Mon héros vient de mourir et mon histoire s’achève, je suis l’auteur, du moins pour l’histoire de William pas pour la votre.
Il y a du potentiel dans ton récit Only. Continu d'écrire, cela ne peux que te faire du bien. :)
Mais je dois te féliciter pour ton courage. Tu ose poster une histoire sur un site, sans crainte de vol de la part de quelqu’un d'autre. Personnellement je n'ai jamais oser poster ne serai-se qu'une ligne de mes romans et/ou nouvelles sur le site.
J’espère que tu va continuez tes nouvelles. Bonne chance et attention a la terreur de la page blanche. ;)
j’ai rien d’exceptionnel, je suis même un garçon banal, c’est ce que je pense.
C'est autobiographique ? :p
Citation:
Tu ose poster une histoire sur un site, sans crainte de vol de la part de quelqu’un d'autre. Personnellement je n'ai jamais oser poster ne serai-se qu'une ligne de mes romans et/ou nouvelles sur le site.
Alors, c'est pas pour me faire de la pub, mais moi aussi j'ai créé un topic avec mes histoire ^^
Il y a du potentiel dans ton récit Only. Continu d'écrire, cela ne peux que te faire du bien. :)
Merci beaucoup ^^
Citation:
Mais je dois te féliciter pour ton courage. Tu ose poster une histoire sur un site, sans crainte de vol de la part de quelqu’un d'autre. Personnellement je n'ai jamais oser poster ne serai-se qu'une ligne de mes romans et/ou nouvelles sur le site.
Mes Romans il y a vos pseudo dedans et c'est pas de "vrai" récit, ce que j'entends par la c'est que c'est pas des histoire que j'irai publier même si je le pouvais tu vois, donc je m'en fous un peu ^^
Pour mes Nouvelles c'est sur que c'est un peu différent mais je pense qu'elle apparaîtrons ailleurs surement et donc j'y a collerais le "Made By OnlyHuman" à ce moment là si il faut, après bon, j'ai tellement d'imagination que je pourrai en sortir un paquet de nouvelle mais je garde certaines idées en réserve pour l'avenir ;)
Citation:
J’espère que tu va continuez tes nouvelles. Bonne chance et attention a la terreur de la page blanche. ;)
oui même si ça sera moins fréquent :p
T’inquiètes ;)
Citation:
C'est autobiographique ? :p
Non sinon j'aurai pas mis Garçon x)
Citation:
Alors, c'est pas pour me faire de la pub, mais moi aussi j'ai créé un topic avec mes histoire ^^
ben c'est le principe de la pub non ? :p
Citation:
Pour ça, rien ne vaut une feuille de couleur =)
Tueur d'arbre ! Moi j'utilise pas de feuille c'est écologique ^o^
Citation:
Je te félicite également pour le courage que tu as eu en postant cette nouvelle sur le site!!!^^
Sinon, j'aime beaucoup ce que tu écris!^^
Merci également :)
Toi qui aime la philosophie j’espère que ça t'aura fait réfléchir ^^
Avis L’Histoire d’un auteur
Olalalaaaa...
Nom d'un chien, j'ai presque les larmes aux yeux là. Only, tu m'as bouleversé !
Oui, dans le bon sens t'en fais pas.
Je met la suite en spoiler car je ne voudrais absolument pas spoiler quoi que se soit aux autres, je n'ai pas envie de leur gâcher ce que je viens moi-même de ressentir.
Spoiler ▼▲
Ton histoire commençait banalement, une vie comme une autre d'un étudiant à l'école, puis vînt ce livre.
Je me suis alors cru dans un mélange entre l'Histoire sans fin et Death Note, un récit fantastique où le héros est capable de n'importe quoi, où il est le seul à pouvoir jouir de sa trouvaille qui peut à tout jamais lui changer la vie.
Je me suis alors dit qu'au final ton histoire allait se terminer par une remise en question du fait que c'était mal d'utiliser cela pour mener sa vie et qu'il l'abandonnerai au profit d'une vie qu'il provoquera de lui-même. Mais non, j'avais sous-estimé tes talent tu vois.
A la place de ça tu nous fais nous rendre compte que tu viens de tisser un lien entre toi-même, l'auteur, et ton propre personnage. Une sorte de communication entre lui et toi, à travers le personnage de Perfectly.
Les phrases sont très justement construites, tu vas à l'essentiel et tape dans le mille à chaque fois. le fait que se soit court fait justement qu'on est rapidement dépasser par les émotions qui nous envahi, et la fin nous achève complètement.
je me suis dis que c'était du grand art, et sincèrement Only tu mérites amplement de te faire connaître.
Bravo.
Olalalaaaa...
Nom d'un chien, j'ai presque les larmes aux yeux là.
Only, tu m'as bouleversé !
Oui, dans le bon sens t'en fais pas.
Eh bien eh bien, calmez-vous jeune homme ^^
ben content que tu ai eu cette réaction :D
Spoiler ▼▲
Citation:
Ton histoire commençait banalement, une vie comme une autre d'un étudiant à l'école, puis vînt ce livre.
Je me suis alors cru dans un mélange entre l'Histoire sans fin et Death Note, un récit fantastique où le héros est capable de n'importe quoi, où il est le seul à pouvoir jouir de sa trouvaille qui peut à tout jamais lui changer la vie.
Je promet sur ma vie que j'ai vu que cela ressemblait à Death Note qu'aprés avoir écrit l'histoire, au début j'y avais même pas pensé ^^
Alors à vrai dire j'ai couper un passage car au final il était inintéressant pour la suite.
Pour résumer ce passage, en gros Benoit arriver à mettre la main sur le cahier et devine le pouvoir qu'il renferme, il écrit donc que William se retrouve nu, mais cela n'arrive pas. William en déduit que c'est parce qu'il a mis le cahier à son nom et que seul lui détient le pouvoir.
En gros ce passage était inutile au final....c'était un DLC on vas dire XD
Citation:
Je me suis alors dit qu'au final ton histoire allait se terminer par une remise en question du fait que c'était mal d'utiliser cela pour mener sa vie et qu'il l'abandonnerai au profit d'une vie qu'il provoquera de lui-même
En effet j'ai ressenti qu'on pouvais y trouver une moral comme quoi s'inventer une vie n'étais pas bien....elle est toujours présente même si c'est pas le gros de l'histoire :)
Citation:
Mais non, j'avais sous-estimé tes talent tu vois.
A la place de ça tu nous fais nous rendre compte que tu viens de tisser un lien entre toi-même, l'auteur, et ton propre personnage. Une sorte de communication entre lui et toi, à travers le personnage de Perfectly.
Tu ose me sous-estimer ! è_é
Oui, l'invention de William (qui se révèle donc être mon invention) lui dévoile tout, ou plutôt je lui dévoile tout :p
D'ailleurs, j'ai hésité à le mettre mais finalement je l'ai pas mis, mais à la fin Perfectly disait originalement
« Quand est-ce que tu comprendra ? Tout est contrôlé, tout est une histoire, ce que je dis est contrôlé et l’auteur de tout ça à décidé que tu allais mourir. J'ai décidé que tu allais mourir »
Au final je l'ai pas fait comme, je me suis dit que je n'irai pas face à William ^^
Citation:
Les phrases sont très justement construites, tu vas à l'essentiel et tape dans le mille à chaque fois. le fait que se soit court fait justement qu'on est rapidement dépasser par les émotions qui nous envahi, et la fin nous achève complètement.
Tu choisi bien tes mots toi aussi :)
Ravi que tu ai ressenti autant de chose :D
Citation:
je me suis dis que c'était du grand art, et sincèrement Only tu mérites amplement de te faire connaître.
Bravo.
Peut-être dans un avenir qui sait ! :)
Hooper me fera la préface ^^
Bon un Grand merci à toi surtout, j'aime tes commentaires c'est un plaisir de les lires :3
Sur ce je vais y foutre un Fucking Copyright à mon histoire XD
Ah bon ? :O
Je vais vérifier cela...
EDIT : En effet, maintenant ça marche :)
par contre je ne sais pas d’où venait le bug :/
Ma chaine Youtube, Let's Play et autre
https://www.youtube.com/channel/UCMsdpaMEv3HZzJoKBupznAQ
Comme tous les matins, fidèle à mes habitudes, je rentrai boire mon petit café dans l'estaminet de Bébert. Comme toujours, je m'assis à la table du fond, face à la baie vitrée ; j'aimais contempler l'effervescence du monde en buvant mon expresso. Bébert me servit en souriant le précieux nectar chaud, je le remerciai et mécaniquement, je me mis à fixer le monde extérieur à travers la devanture.
Un petit homme, à l'apparence frêle, vêtu d'un pardessus sombre, s'arrêta juste devant le bar. Il se retourna et regarda subitement derrière lui, puis refit volte-face. Il resta là, quelques instants, à scruter les alentours. En regardant plus précisément son visage, je remarquai que l'homme semblait vraisemblablement préoccupé ; son visage paraissait crispé, ses yeux globuleux laissait entrevoir une inquiétude manifeste, presque une peur, à peine dissimulée. Il se décida à entrer dans l'établissement, s'assit au comptoir et commanda un café d'une toute petite voix à peine perceptible. Là encore, il jetait des petits coup d'yeux furtifs par-dessus ses épaules. Il est évident que quelque chose n'allait pas.
Je regardai ma montre, il me tardait de partir. Alors que je me levai, l'homme sursauta. Je quittai les lieux presque amusé par ce curieux petit homme visiblement les nerfs à vif.
Le lendemain matin, comme d'habitude, j'étais là tout paisible depuis quelques minutes, confortablement installé, la petite de tasse de café à la main quand, tout à coup, un homme fit brusquement irruption. Il s'assit au bar et demanda un café d'une voix tremblante. Je le reconnus, c'était le même homme que hier mais bien plus agité, le visage blême. Interloqué, je ne pus m'empêcher de m'approcher de lui et de m'asseoir à côté de lui. Une fois encore, il sursauta lorsque je m'installai près de lui.
"Bonjour Monsieur !" lui lançai-je "Excusez-moi de vous déranger et de me mêler de ce qui ne me regarde pas mais voilà deux jours de suite que vous venez dans cet établissement et il semble évident que quelque chose vous tracasse. Puis-je vous être utile ?"
L'homme ne me répondit pas, il secoua la tête. Il tremblait, il évitait mon regard. Grands Dieux ! Mais que se passait-il ?
"Monsieur, si je peux me permettre de..." insistai-je. Je ne pus terminer ma phrase, l'homme se leva et s'en alla, comme s'il fuyait, voulait échapper à quelque chose.
Le jour suivant, je venais à peine de franchir le seuil de la brasserie que le mystérieux bonhomme surgit derrière moi, haletant, en sueur, il semblait terrorisé. On avait l'impression qu'il avait vu le diable en personne.
Instinctivement, je me dirigeai vers lui, le soutins et l'aidai à s'asseoir tant ses jambes flageolaient. On devinait sans peine la terreur qui habitait cet homme à cet instant.
"Monsieur, je vous supplie de me dire ce qui vous arrive !" lui dis-je d'un ton posé et rassurant. "Peut-être puis-je vous aider ?"
"Je....je...." L'émotion étranglait l'homme, il bégayait tellement que sa phrase était inaudible et inintelligible. D'un geste des mains, je l'invitai à se calmer et à inspirer profondément pour expulser le trop-plein d'émotions.
"Depuis quelques jours, quand je prends ma voiture dans le parking souterrain, j'ai l'impression d'être épié. Dès que je sors de chez moi pour aller faire une course à pied, j'ai l'impression d'être suivi...Je sais ça parait dingue ! Mais je suis quasiment sûr que quelqu'un me veut du mal" finit-il par dire.
Je le regardai, perplexe. "Cet homme était-il fou ?" m'interrogeai-je.
Je me proposai de l'accompagner jusqu'à chez lui. Il accepta. Le trajet durant, je regardais néanmoins autour de nous pour m'assurer qu'il n'y avait personne au comportement suspect. Je ne remarquai rien d'anormal. Arrivés au pas de son immeuble, il me remercia chaleureusement puis je m'en allai.
Monsieur Brodin devait se rendre chez son frère habitant à 30kms de chez lui. Il descendit, non sans appréhension, dans le parking souterrain pour prendre son véhicule. Il fit quelques pas dans cette antre silencieuse et désert. La lumière blâfarde, qui venait de s'allumer automatiquement, éclairaient les tôles rutilantes des voitures.
Tout à coup, cette angoisse paralysante qu'il ressentait depuis quelques jours quand il se trouvait à cet endroit, l'assaillit de nouveau. Des sueurs froides commencèrent à perler sur son front, il avait les jambes en coton. Une sensation d'insécurité l'envahit. Il accéléra le pas et se dirigea le plus rapidement possible vers son véhicule. Au moment où il ouvrit la poignée de porte de sa voiture, il sentit une main saisir son épaule. Un cri étouffé s'échappa de la bouche de Monsieur Brodin, qui se retourna malgré tout vers cet homme. Terrorisé, il le regarda de la tête au pied. Cet homme lui était familier, il se calma instantanément :
"Bonjour ! Vous m'avez fait une de ces peurs !" dit-il avec le sourire.
L'homme devant lui resta silencieux, se contentant de le fixer d'un regard pénétrant. Le sourire qui éclairait jusqu'ici le visage de Monsieur Brodin s'effaça laissant place à une grimace crispée, des yeux exorbités. Il joignit ses mains sur son abdomen, entourant le manche du poignard que son assaillant venait de lui enfoncer dans le ventre. Il finit par s'effondrer, quelques soubresauts spasmodiques traversèrent subrepticement son corps avant de s'arrêter. Inerte, sans vie, La dépouille de Monsieur Brodin jonchait le sol froid.
CHAPITRE III
Les habitudes ont la vie dure. Réglé comme une horloge, j'entrai chez Bébert, commanda mon café et allai m'asseoir à la table du fond, tourné vers l'extérieur. Comme toujours. J'adorai ce rituel. Bébert m'amena mon café, le posa devant moi et me dit :
"Tiens ? Ca fait bizarre de ne pas voir le monsieur mystérieux aujourd'hui. Tu sais, le monsieur très agité qui était encore là hier, celui que tu as raccompagné chez lui."
"Oui, c'est vrai, tiens ! Peut-être s'est-il rendu compte qu'il était en plein délire paranoïaque. Je l'ai raccompagné chez lui hier et rien ne m'a semblé anormal." lui rétorquai-je.
Bébert retourna derrière le comptoir, je bus une gorgée de café tout en me disant au fond de moi :
"Mon cher Bébert, tu peux être sûr que tu ne le reverras plus !"
Je reposai ma tasse sur la soucoupe, un sourire aux lèvres.
Bonjour, ou bonsoir à tous, et, aujourd'hui, l'heure du renouveau à sonnée!!! Eh oui, c'est repartis pour toujours plus de nouvelles, et toujours plus de joie, et de bonne humeur, tout sa sans trolls ni kikoos. Mais, qu'est ce que vous attendez pour poster vos histoires???
ça faisait longtemps n'est-il pas ? :D
En tout cas voici une nouvelle dont j'ai eu l'idée d'un seul coup.
Attention je déconseille cette histoire aux paranoïaque et à aux trop philosophe ^^
Sinon Bonne lecture
Je m’appelle William, j’ai rien d’exceptionnel, je suis même un garçon banal, c’est ce que je pense. Là je suis presque endormi pendant le cours de Français, la prof ne cesse de parler sans que je comprenne ce qu’elle dit, je préfère rêver c’est plus agréable. En parlant de rêvé j’aperçois au loin Lucie, une fille très belle si ce n’est la plus belle. Alors que je la regarde rêveur j’entends une voix familière mais pas amicale :
« ça vas pas de baver sur Lucie gros porc ?! »
A ses paroles le reste de la classe se tourna vers moi, commençant à rire, j’essuyai rapidement ma salive sortant de mes pensées. Lucie elle ne riait pas, elle me lança un mauvais regard, je pouvais dire adieu à toute mes chances avec elle maintenant. La prof calma la classe avec son fameux « Silence ! » et les autres recommençait d’écrire maintenant. Je me retournais à la personne qui avait provoqué tout ça, Benoit était content il m’avait de nouveau ridiculisé. C’était tout le temps comme ça, tout le monde se moquer du petit William depuis mon arriver ici. Le cours de Français se termina et je sortis rapidement ne voulant pas subir de nouvelle moquerie, arriver dans le couloir je me rendis compte que j’avais oublié de prendre mon sac, tout les autres élèves me poussèrent faisant comme ci je n’étais pas là. Benoit me poussa plus que les autres, j’étais son jouet de torture et vu ses muscles je ne risquais pas de me révolter. Il n’y avait plus d’élève quand j’arrivai de nouveau dans la salle pour prendre mon sac, la prof me regarda étrangement mais sans insisté plus que ça. Alors que j’allais partir elle me dit sans me regarder :
« Vous devriez écrire des histoires William, des histoires d’amour par exemple »
Je ne sus quoi répondre et parti sans rien dire. Dans la cour de récré je m’assis sur un banc, seul, je n’avais pas d’ami et encore moins de petite-amie. J’aurai donné n’importe quoi pour en avoir une. Les autres garçons en avaient facilement, surtout les sportifs, comme Benoit, qui jouait au foot en ce moment même. Je fouillai dans mon sac pour prendre mon gouter, c’est alors que je remarquai qu’il y avait un cahier qui ne m’appartenait pas à l’intérieur. Je l’ouvris pour voir le nom mais il n’était à personne, un cahier gratuit c’est toujours ça. Je sortis un crayon et écrivit mon nom dessus, maintenant il était à moi. Je reçu le ballon de foot en pleine figure, Benoit fit semblant de s’excuser devant le surveillant mais je savais qu’il l’avait fait exprès. Il m’énervait j’aurai tellement voulu lui faire du mal mais j’avais plus de chance de finir à l’hôpital avant même de le toucher. Je regardais de nouveau mon cahier, d’où venait-il ?
Serait-ce la prof de Français qui l’aurait mis dans mon Sac ? Elle m’avait dit d’écrire une histoire…Eh si j’inventais une histoire ou Benoit serait mon souffre-douleur, non cela ne servirait à rien de s’enfoncer dans une fausse réalité. Malgré tout j’écrivis pour rire « Benoit tombe par terre ». Au même moment j’entendis crier, Benoit venait de tomber…je n’y croyais pas. Non c’était qu’une simple coïncidence, même si elle était jolie. Mais je voulais m’assurer que cela n’était pas à cause de moi, pour me rassurer j’écrivis « Un oiseau se posa devant moi », j’avais à peine fini d’écrire qu’un oiseau venait réellement de se poser devant moi avant de s’envoler de nouveau. Deux coïncidences simples, cela ne pouvait pas être vraiment vrai, alors pourquoi j’en doutais ? Il fallait que j’écrive un truc exceptionnel si cela arrivé alors j’en aurai le cœur net. J’écrivis la première chose folle qui me passa par la tête « Lucie me donna son numéro de téléphone », elle observait Benoit en train de jouer, ce n’était pas prêt d’arriver. C’est alors qu’elle se dirigea vers moi, je ne pouvais pas y croire, elle venait vers moi en écrivant quelque chose sur un bout de papier. Une fois à ma hauteur elle me donne le papier avec un sourire, c’était son numéro de téléphone. Je ne le croyais pas et apparemment Benoit non plus vu sa tête, Lucie repartie et retourna le regarder jouait comme si il ne s’était rien passé. Ce livre avait un vrai pouvoir, j’allais pouvoir faire ce que je voulais autour de moi. Le soir je rentré souriant, j’avais passé une excellente journée, Benoit n’avait eu que des ennuis et Lucie était devenu ma petite-amie comme je l’avais écrit. Je ne mangeai que très peu ce soir là et me dépêcha d’aller dans ma chambre. J’ouvris le cahier, tira un grand trait en dessous de ce que j’avais écrit aujourd’hui, j’avais décidé de faire une nouvelle histoire ou je serai le propre héros et ou je rencontrerai la femme parfaite, je passa ma nuit à écrire sans m’arrêter, le lendemain je sortit de chez moi mais pas pour aller en cours, mon histoire avait prévu autre chose pour moi. Elle était là devant chez moi, ma femme parfaite comme je l’avais décrite, et elle m’embrassa pour m’accueillir comme je l’avais écrit. Nous passèrent une excellente journée, la journée idéal d’ailleurs elle n’aurait pas plus être parfaite, bien que je la connaissais totalement à l’avance, je quittai ma petite-amie au soir, elle dit rentré chez elle mais moi je savais qu’elle n’avait pas de chez elle, elle n’avait même pas de nom, le soir je recommençai à écrire la prochaine journée que je passerai en sa compagnie, j’avais écrit que je n’étais jamais fatigué et c’était le cas. Je décidai de donner un Nom à ma femme parfaite, elle s’appellerai Perfectly cela me semblait évident et ça lui donner du charme. Ma vie était désormais parfaite, si belle, je ne saurai jamais d’où venait se cahier ni pourquoi c’est moi qui l’ait eu. Aussi étrange que ça puisse paraître il avait des pages à l’infini donc j’étais tranquille pour toujours.Je vivais des journées parfaites et ma vie était parfaites, je pouvais bénir ce cahier pour toujours Un soir où j’écrivais de nouveau le récit de ma prochaine journée, Perfectly arriva dans ma chambre. Je fus surpris, je me souvenais pas avoir écrit cela, je n’avais pas écrit ça ! Inquiet je lui demandai :
« Que fais-tu là chérie ? »
Elle me regarda mais pas comme d’habitude, j’étais de plus en plus inquiet que se passait-il ? Elle me répondit avec la même voix que d’habitude mais un ton différent :
« William ta vie est une histoire. »
Encore une fois cela me choquait et m’inquiétai, je commençais à me méfier de ma femme si parfaite normalement, je tentai de répondre avec assurance :
« Je….Je le sais ! Je suis l’auteur de cette histoire ! C’est moi qui t’ai inventé »
Elle me regarda sans bouger, sans aucune expression particulière, et elle me répondit :
« William, n’es-tu jamais venu à l’idée que tu faisais partie de l’histoire d’une autre personne, que tout ce que tu a fait et vécu à également était écrit ? Que depuis le début tout autour de toi n’est qu’une fiction et que comme toi quelqu’un contrôle le moindre de tes fait et geste ? »
Que signifier tout cela, j’étais en panique extrême, avait-elle raison ? Non c’est impossible, je suis dans la réalité pas dans une histoire, ce que j’ai vécu c’est bien réel, mes parent sont réels, Benoit est réel, Lucie est réelle, la prof de Français est réelle, mon voisin est réel, le monde est réel ! La seule chose qui n’était pas réel était Perfectly, cela me parut alors comme une évidence, je lui dit d’un ton déterminée :
« Je vais te supprimer tu pourra rien ne faire »
j’écrivis alors « Perfectly disparut sans raison » et attendit quelques secondes, mais Perfectly ne disparut pas, elle répondit d’un air navré :
« Quand est-ce que tu comprendra ? Tout est contrôlé, tout est une histoire, ce que je dis est contrôlé et l’auteur de tout ça à décidé que tu allais mourir. »
Au moment où William entendit ces mots, il fit un arrêt cardiaque mourant devant un cahier vierge, seul dans sa chambre. Mon héros vient de mourir et mon histoire s’achève, je suis l’auteur, du moins pour l’histoire de William pas pour la votre.
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Il y a du potentiel dans ton récit Only. Continu d'écrire, cela ne peux que te faire du bien. :)
Mais je dois te féliciter pour ton courage. Tu ose poster une histoire sur un site, sans crainte de vol de la part de quelqu’un d'autre. Personnellement je n'ai jamais oser poster ne serai-se qu'une ligne de mes romans et/ou nouvelles sur le site.
J’espère que tu va continuez tes nouvelles. Bonne chance et attention a la terreur de la page blanche. ;)
C'est autobiographique ? :p
Alors, c'est pas pour me faire de la pub, mais moi aussi j'ai créé un topic avec mes histoire ^^
Pour ça, rien ne vaut une feuille de couleur =)
Respecte les œufs et les œufs te respecteront
Je te félicite également pour le courage que tu as eu en postant cette nouvelle sur le site!!!^^
Sinon, j'aime beaucoup ce que tu écris!^^
Au fait, Games.Man, t'écris des romans?
Merci beaucoup ^^
Mes Romans il y a vos pseudo dedans et c'est pas de "vrai" récit, ce que j'entends par la c'est que c'est pas des histoire que j'irai publier même si je le pouvais tu vois, donc je m'en fous un peu ^^
Pour mes Nouvelles c'est sur que c'est un peu différent mais je pense qu'elle apparaîtrons ailleurs surement et donc j'y a collerais le "Made By OnlyHuman" à ce moment là si il faut, après bon, j'ai tellement d'imagination que je pourrai en sortir un paquet de nouvelle mais je garde certaines idées en réserve pour l'avenir ;)
oui même si ça sera moins fréquent :p
T’inquiètes ;)
Non sinon j'aurai pas mis Garçon x)
ben c'est le principe de la pub non ? :p
Tueur d'arbre ! Moi j'utilise pas de feuille c'est écologique ^o^
Merci également :)
Toi qui aime la philosophie j’espère que ça t'aura fait réfléchir ^^
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Avis L’Histoire d’un auteur
Olalalaaaa...
Nom d'un chien, j'ai presque les larmes aux yeux là.
Only, tu m'as bouleversé !
Oui, dans le bon sens t'en fais pas.
Je met la suite en spoiler car je ne voudrais absolument pas spoiler quoi que se soit aux autres, je n'ai pas envie de leur gâcher ce que je viens moi-même de ressentir.
Eh bien eh bien, calmez-vous jeune homme ^^
ben content que tu ai eu cette réaction :D
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