Vidéos (& images) de chatons ronron

Sous la lueur blafarde de la Lune, devant une mer aux flots déchainés, vous prendrez l'animal et le noierez. Il se débattra vivement, mais après une minute ou plus, la combativité cèdera place à la résignation face à une mort certaine, quand on sait que rien ne pourra nous sauver et que rien ne le fera. Il se détendra, attendant patiemment la fin. Des lueurs danseront devant ses yeux, signe de manque d'oxygène au cerveau. Le dernier réflexe à tout jamais de son cerveau sera de forcer ses poumons à aspirer quelque air inexistant, emplissant ses poumons du froid liquide qu'est l'eau. Rapidement il sentira l'eau dans ses poumons et son cœur finira par s'arrêter. Vous regarderez alors l'étendue infinie des flots d'un regard perdu, regardant cette étendue noire et immuable, exact contraire de l'éphémère auquel vous avez mis fin. Ne sachant plus à quoi vous rattacher pour garder un sens de la réalité, vous vous rendrez compte que sans attache morale, la différence entre la normalité et la déchéance et la dépravation est presque invisible. Ce sera les mains mouillées et vides que vous rentrerez ce soir là à la maison. À chaque nuit durant trente ans vous entendrez sa dernière respiration, tel un fantôme vous hantant pour toujours, le poids des remords. Chaque minute vous saurez que vous avez sauvé votre vie, mais vous saurez aussi que...

Des manières plus cruelles de le tuer existaient !

OUI ! Vous auriez pu faire mieux ! Simplement le noyer n'était RIEN ! Vous auriez pu le jeter contre un mur jusqu'à ce que ses yeux sortent de ses orbites et que le liquide cérébral coule par son nez avant d'arrêter ! Vous auriez aussi pu le brûler au phosphore blanc, le jeter dans une piscine remplie de barbottes carnivores ou d'écureuils tueurs ! Vous n'êtes qu'un lâche et ces remords vous hantent ! Voici donc ce qu'il faut faire...