Re: Quel est selon vous le jeu le plus effrayant ?
Siren et Amnesia, je me suis pissé dessus dans ces jeux.
Silent Hill 2 était en phase de me donner des attaques cardiaques quelque fois.
MetalSonic a écrit:
Les jeux sensés faire peur comme Siren, F.e.a.r, Fatal Frame, Jericho etc m'ont toujours fait ni chaud ni froid sinon.
Pour moi un vrai jeu effrayant n'affiche pas quelque chose d'affreux comme un monstre ou des tripes, auquel cas on est clairement plus dans le gore qu'autre chose.
Non, la peur dans un jeu doit se manifester par 2 éléments:
- Une ambiance inquiétante qui doit être incompréhensible pour le joueur. Les questions que le joueur se pose ("pourquoi se passe t'il ce qui se passe", "qu'est ce qui va m'arriver"...) créent une peur issue de l'inconnu qui chatouille le subconscient de l'auteur.
- Quel est la pire chose pour un joueur? Perdre. Le peur de mourir doit se faire ressentir dans un jeu, si on a une arme pour nous rassurer ça n'a déjà pas le même effet. Il faut se sentir sans défense face au danger.
Siren, c'est une ambiance inquiétante et on est toujours confronté à cette peur de l'ennemi, celle de la personne dont on ne sait pas exactement qui elle est. Je me souviens du niveau ou on était sans défense dans une école dans le noir avec des ennemis dont on voit pas le visage, quand je me suis fait repérer et que l'ennemi se rapprochait de moi, mon coeur battait tellement vite et la pression était tellement forte que j'ai préféré éteindre la PS2 car je pensais réellement que j'allais mourir. Dire que Siren ne fait ni chaud ni froid, faut vraiment avoir des ballz of steelz, sans déconner.
Re: Quel est selon vous le jeu le plus effrayant ?
J'ai l'impression que la peur dans un jeu vidéo marche tant que l'on a pas compris les mécanismes du jeu qui nous permettent de s'en sortir sans trop de mal.
Par exemple, Dead Space m'a fait énormément flippé la première fois où j'avais testé la démo. Du jeu, j'avais seulement retenu qu'il fallait démembrer les ennemis pour qu'ils crèvent. Mais dès que j'étais arrivé dans la salle des moteurs (il me semble), d'une, le style particulier d'ambiance oppressante tout à fait nouveau pour moi dans un jeu vidéo (c'est une ambiance proche de celle du film Alien mais qui a déjà été utilisée dans Prey si ce n'est déjà dans d'autre jeux plus anciens), ainsi que le nombre d'ennemis, les endroits d'où ils apparaissaient que je ne comprenais pas, et surtout le fait qu'ils courraient tous; le tout réuni à mon inexpérience totale dans ce jeu vidéo-là, a fait que je flippais à mort. X)
Le pire, c'est lorsque je m'étais décidé à l'acheter. Les 5 premières heures ont été terrifiantes surtout que je les avais faites en continu sans répit, et dans les conditions idéales pour un jeu d'horreur : noir, télévision de bonne taille ainsi qu'un bon système sonore ou tout simplement le son à fond (enfin pas littéralement quand même hein : p).
Mais surtout je dirais que je me suis laissé emporté dans l'univers du jeu. Pour être plus précis, j'ai accepté délibérément de m'y plonger. Si certains connaissent, ça a quelque part à voir avec le willing suspension of disbelief. Si je dis ça, c'est parce que j'ai souvent constaté que pour qu'un jeu de peur marche, il faut principalement que le joueur accepte de jouer le jeu de la peur et de l'immersion.
Pour Dead Space, dès que j'ai compris les mécanismes et que je me suis mis à raisonner et schématiser le fonctionnement du jeu, il avait perdu pratiquement tout son côté effrayant.
La peur dépend donc de la capacité de chacun à raisonner, à questionner et maîtriser les possibilités et les limites dans le gameplay. Il faut aussi savoir qu'on peut également la contrôler. Si quelqu'un désire de temps en temps avoir peur alors qu'habituellement ce genre de jeu ne fait pas fonctionner chez lui le mécanisme de la peur, il faut qu'il accepte d'arrêter de raisonner et mettre des barrières entre lui et le jeu. Et inversement, quelqu'un qui n'arrive pas à finir ses jeux de peur, doit justement apprendre à raisonner sur ce genre de cas (se dire que ce n'est qu'un jeu vidéo et qu'il comporte des mécanismes; mécanisme qui, même s'ils peuvent être nombreux, sont limités et qu'il est donc possible de les répertorier et de les schématiser); à moins que sa situation ne lui convienne. =)
Dead Space 2 en mode fou furieux, si là on flippe pas :D
Pseudo Twitch : PI_GUI
https://www.youtube.com/user/youpsychotic
Siren et Amnesia, je me suis pissé dessus dans ces jeux.
Silent Hill 2 était en phase de me donner des attaques cardiaques quelque fois.
Siren, c'est une ambiance inquiétante et on est toujours confronté à cette peur de l'ennemi, celle de la personne dont on ne sait pas exactement qui elle est. Je me souviens du niveau ou on était sans défense dans une école dans le noir avec des ennemis dont on voit pas le visage, quand je me suis fait repérer et que l'ennemi se rapprochait de moi, mon coeur battait tellement vite et la pression était tellement forte que j'ai préféré éteindre la PS2 car je pensais réellement que j'allais mourir. Dire que Siren ne fait ni chaud ni froid, faut vraiment avoir des ballz of steelz, sans déconner.
Sérieusement je dirais Amnesia !
Sérieusement les F.E.A.R ne font pas si peur que ça !
POur ceux qui n'ont pas vu les vidéo de Naito sur Ce jeu ! :
et l'autre ...
" La vie est bien mais le Hooper est mieux ! " Ne0
moi je dirais plutôt nightmare house 2 ou amnesia the dark descent ou même dead space 2
The Path est un jeux horriblement angoissant pour certain, Amercian Alice est un jeux totalement malsain avec sa suite sur xbox360 et ps3...
Pour moi c'est Dead Space 1 et 2
Top 100 jeux PC.GO VOTE
J'ai l'impression que la peur dans un jeu vidéo marche tant que l'on a pas compris les mécanismes du jeu qui nous permettent de s'en sortir sans trop de mal.
Par exemple, Dead Space m'a fait énormément flippé la première fois où j'avais testé la démo. Du jeu, j'avais seulement retenu qu'il fallait démembrer les ennemis pour qu'ils crèvent. Mais dès que j'étais arrivé dans la salle des moteurs (il me semble), d'une, le style particulier d'ambiance oppressante tout à fait nouveau pour moi dans un jeu vidéo (c'est une ambiance proche de celle du film Alien mais qui a déjà été utilisée dans Prey si ce n'est déjà dans d'autre jeux plus anciens), ainsi que le nombre d'ennemis, les endroits d'où ils apparaissaient que je ne comprenais pas, et surtout le fait qu'ils courraient tous; le tout réuni à mon inexpérience totale dans ce jeu vidéo-là, a fait que je flippais à mort. X)
Le pire, c'est lorsque je m'étais décidé à l'acheter. Les 5 premières heures ont été terrifiantes surtout que je les avais faites en continu sans répit, et dans les conditions idéales pour un jeu d'horreur : noir, télévision de bonne taille ainsi qu'un bon système sonore ou tout simplement le son à fond (enfin pas littéralement quand même hein : p).
Mais surtout je dirais que je me suis laissé emporté dans l'univers du jeu. Pour être plus précis, j'ai accepté délibérément de m'y plonger. Si certains connaissent, ça a quelque part à voir avec le willing suspension of disbelief. Si je dis ça, c'est parce que j'ai souvent constaté que pour qu'un jeu de peur marche, il faut principalement que le joueur accepte de jouer le jeu de la peur et de l'immersion.
Pour Dead Space, dès que j'ai compris les mécanismes et que je me suis mis à raisonner et schématiser le fonctionnement du jeu, il avait perdu pratiquement tout son côté effrayant.
La peur dépend donc de la capacité de chacun à raisonner, à questionner et maîtriser les possibilités et les limites dans le gameplay. Il faut aussi savoir qu'on peut également la contrôler. Si quelqu'un désire de temps en temps avoir peur alors qu'habituellement ce genre de jeu ne fait pas fonctionner chez lui le mécanisme de la peur, il faut qu'il accepte d'arrêter de raisonner et mettre des barrières entre lui et le jeu. Et inversement, quelqu'un qui n'arrive pas à finir ses jeux de peur, doit justement apprendre à raisonner sur ce genre de cas (se dire que ce n'est qu'un jeu vidéo et qu'il comporte des mécanismes; mécanisme qui, même s'ils peuvent être nombreux, sont limités et qu'il est donc possible de les répertorier et de les schématiser); à moins que sa situation ne lui convienne. =)
Doom 3
Project Zero, c'est incomparable.
Pour moi c'est Amnesia : The Dark Descent. J'ai jamais vu un jeu vidéo avec une telle ambiance. Du grand art !