Douze mois après les évènements heureux qui ont conclu Arkham City, Gotham City se réveille sous les grondements des bus d'évacuation, qui transportent les dernières centaines d'habitants de la ville loin leur malheur. Il faut dire qu'en dépit de la neutralisation du Joker dans les conditions que l'on sait, la cité qui comptait jadis plus de 6 millions d'âmes est désormais aux mains des gangs et petites frappes, tous assujettis à leur villain de patron - le Pingouin, Double Face, et surtout l'Epouvantail, principal antagoniste attitré pour ce quatrième volet. Spécialiste des vagues de panique hallucinatoires et attentats toxiques, le bonhomme prépare cette fois un attentat bactériologique qui ne devrait laisser à Gotham City qu'une triste page dans les livres d'Histoire. Dans le ciel, un Batsignal balaie la pluie , avec à son pied Jim Gordon et Batman lui-même, qui attend ses instructions pour ce qui est, jurent les développeurs, sa dernière mission.
Las, si son développement remonte à la commercialisation d'Arkham City, en 2011, le prochain Rocksteady n'était toujours pas jouable par les journalistes venus à sa rencontre. A la vue des ralentissements et freezes réguliers qui entravaient encore la bonne vitesse d'animation du titre, on peut comprendre la démarche de Warner Bros., sans nécessairement s'inquiéter outre mesure de la teneur de la version définitive, prévue cette année. Pour cette fois, donc, on touche avec les yeux.
Nouvelle tenue pour Batman
Une fois le dialogue protocolaire avec Gordon interrompu par un plongeon dans le vide depuis les toits de la GCPD (Gotham City Police Department), la démo peut commencer. Sans surprise, l'une des évolutions majeures de ce quatrième opus tient dans son format next-gen, avec ce que cela suppose de sucreries visuelles. Basé sur le modèle Arkham City, avec ses environnements ouverts, cet Arkham Knight s'étend cette fois aux quatre coins de Gotham City, une surface prétendument cinq fois plus vaste. En s'élevant au dessus des immeubles, Batman pénètre ainsi dans des quartiers immédiatement reconnaissables à leur ambiance ou architecture, comme ce China Town bariolé d'enseignes multicolores, avec ce sentiment d'exploration plus intense. Alors certes, notre démo se déroulait intégralement au cours d'une nuit d'averse, ce qui n'encourage pas tellement à la flânerie, mais on devrait avoir à faire dans ce nouveau bac à sable, bien qu'il ne soit sans doute pas possible de visiter les bâtiments - hormis ceux balisés par le level design.
La technique, elle, justifiait sans trop de difficultés son rang de jeu de nouvelle génération : les explosions tapent à l'oeil, les reflets sur la combinaison détrempée du Chevalier Noir également, et on constate de très nombreux éléments destructibles dans les décors, ce qui confère à l'ensemble un petit supplément de crédibilité qui manquait sans doute à la série. Le frame rate, encore à la rue pour cette pré-version, et un aliasing résiduel, ternissaient un chouïa la carte postale, mais il n'y a pas tellement de grosse inquiétude du point de vue technique à ce stade. C'est propre, plutôt fin, avec une saturation d'éléments à l'écran assez intéressante : depuis la cime des bâtiments, on identifie plutôt bien les PNJs et les véhicules en contrebas, à travers les rideaux de pluie qui nous tombaient sur le cuir.
Bagarre
Forcément, le personnage de Batman profite toujours d'un soin important, encore que sa carrure de culturiste le rend sans doute plus raide, et donc un peu moins naturel, mais les modélisations sont convaincantes et marquent leur différence avec les anciennes moutures sur PS3, Wii U et Xbox 360. Flottant par dessus le port de Gotham, capturant les bourrasques de vent sous sa cape sombre, Batman se déplace toujours dans les airs avec un étonnant sentiment de liberté, puisqu'il est capable à tout moment d'accélérer et de reprendre de l'altitude en tombant en piqué, puis en relevant au dernier moment sa trajectoire. On peut donc parcourir des kilomètres entiers de Gotham sans poser une seule fois la botte à terre, zigzaguant entre les toits et publicités lumineuses à plusieurs dizaines de mètres du bitume. Rien de bien neuf sous la lune, donc, mais c'est toujours plaisant à regarder.
Côté gameplay, pas grand chose à se mettre sous la dent qui diffère fondamentalement des opus précédent. Si les phases d'infiltration à proprement parler n'étaient pas présentes dans la démo, on sait que Rocksteady entend les proposer dans la mouture finale, avec des petits ajouts ci et là. Parmi ceux-ci, une attaque ciblée qui effraie les sentinelles ennemies, le fear takedown, qui permet de neutraliser plusieurs cibles, même séparées de quelques mètres, en un seul assaut. On sait aussi que les phases de combat au corps-à-corps se baseront sur les fondamentaux de la franchise, avec néanmoins quelques idées nouvelles : Batman peut récupérer les armes (non létales) des ennemis pour les retourner contre eux, comme une batte de baseball par exemple (qui se brisera cependant assez vite, vous êtes déjà assez fourni en gadget). Il sera aussi possible d'attraper un voyou et de l'envoyer sur un autre, immobilisant deux cibles en un coup.
Dans cette nouvelle épopée du Chevalier Noir, vous pourrez aussi compter sur Oracle, la fille handicapée du commissaire Gordon, qui continue de vous communiquer les éléments nécessaires à votre progression, rappelant régulièrement au joueur sa destination et ses objectifs. Il est à noter que le personnage sera présent cette fois directement dans l'intrigue, puisqu'on la croisera en personne au bout de quelques minutes de démo, personnifiant probablement la vulnérabilité des habitants de la ville. Et les développeurs de nous préciser qu'Oracle a menti à son père, qui la croit en sécurité alors qu'elle est toujours en planque dans Gotham. Autant dire qu'elle finira bientôt tuée ou kidnappée par un villain un peu moins bête qu'un autre. Il faudra aussi compter avec un personnage inédit, conçu en collaboration avec DC Comics : pas de nom, juste une allure de Batman vaguement cyborg avec un flingue - cet anti-héros a tout pour plaire au gamer moyen, même si l'on ne saurait encore le classer dans les alliés ou ennemis. L'astuce scénaristique de la menace bactériologique de l'Epouvantail a aussi permis aux développeurs de vider Gotham de ses citoyens honnêtes, ce que d'aucuns pourraient regretter : après avoir servi la prison à ciel ouvert d'Arkham City, on aurait apprécié une ville un peu plus vivante, avec ses habitants, son trafic urbain, sa police même. Las, il faudra semble-t-il se contenter de survoler, à nouveau, des bandes de loubards qui traînent les rues en quête d'un flic isolé. A confirmer lors de la sortie du jeu, donc.
Les particules fines
Les développeurs misent en fait beaucoup sur l'introduction de la Batmobile pour relancer l'intérêt des joueurs sur ce quatrième épisode, il est vrai assez conventionnel par ailleurs. Disponible à tout moment par la simple pression d'une touche, votre véhicule de l'enfer vous rejoint au point de chute de votre choix : il suffit par exemple de vous jeter d'un immeuble, et votre transport est avancé jusqu'à vos pieds. Les designers de Rocksteady se sont au passage autorisés quelques innocentes libertés dans le design de l'engin, en collaboration directe avec DC Comics, et il faut bien admettre que la carrosserie en impose dans les rues mal famées de Gotham : les accélérations donnent lieu à une puissante projection de flammes ainsi qu'un joli flou de mouvement qui renforce l'impression d'explosivité. La Batmobile, en apparence, semble même inarrêtable, puisqu'elle transperce murs, poteaux, piliers en béton... comme s'il s'agissait de morceaux de polystyrène. Avec un peu d'élan, la Batmobile peut grimper sur certains murs à 90%, façon wallrun, et rattraper n'importe quel bolide sans grande difficulté apparente, grâce à un opportun boost de vitesse, le genre qui envoie dans l'atmosphère suffisamment de particules fines pour décimer la moitié de l'Ile de France en soixante secondes.
Mais si Batman accepte volontiers d'épargner la plupart de ses proies, il ne fait en revanche que peu de cas des ours polaires et du réchauffement climatique, et va donc faire appel plus que raison à son bolide enragé dans les quelques minutes de démonstration. Il nous sera ainsi demandé de rattraper et de neutraliser un subalterne de l'Epouvantail à coups de roquettes à têtes chercheuses, ou encore de participer à une course contre-la-montre dans les sous-sol de Gotham City, dans un circuit un peu vain (imaginez une piste automobile de 10 kilomètres, enterrée sans raison, avec des feux d'artifices et des plates-formes qui bougent) conçu par le Riddler pour vous pourrir la vie. Autant être sincères, de ce qu'on en a vu, les épreuves justifiant l'introduction de la Batmobile ne semblent pas s'imposer d'elles-mêmes dans Arkham Knight, souffrant au mieux d'une banalité gênante.
Conçu presque davantage comme un kif des développeurs pour renforcer l'aura du héros masqué, le gameplay automobile n'est que partiellement soluble dans ces environnements où, de base, il semble presque plus amusant et rapide de voler de toits en toits que de suivre bêtement des routes et intersections. Pourquoi diable s'emmerder à invoquer sa Batmobile, alors, si ce n'est pour défoncer quelque cloison ou prendre part à des missions de poursuite qui n'ont pour l'instant pas tellement de leçon à donner au premier Driver sur PlayStation ? En témoigne la séquence sous-terraine avec le Riddler, qui jurait, par son côté outrancièrement jeu vidéo, avec l'atmosphère épaisse, violente et crédible du reste du titre. On attendra donc de tâter le volant de la Batmobile avant de la remiser au garage, en espérant que les développeurs sachent improviser des situations épiques et novatrices avec l'engin, et surtout ne se contentent pas de multiplier les poursuites urbaines et courses contre-la-montre pour justifier ce nouveau passage en caisse. Sortie prévue cette année sur PC et consoles de nouvelle génération.
Batman Arkham Knight va surpasser ses prédécesseurs : nos impressions
Spoiler ▼▲
IMPRESSIONS. Alors que le Batman : Arkham Origins de Warner Bros. Games Montréal reprenait énormément de Arkham City, mais était loin de faire l'unanimité malgré ses qualités, les créateurs originaux, Rocksteady Studios, de la série reprennent aujourd'hui le flambeau pour un nouvel épisode sur PS4, Xbox One et PC. Et ce que nous avons pu voir montre déjà que les maitres de l'Arkhamverse (l'univers des Batman Arkham) ont bien repris les rênes, ou plutôt le volant devrais-je dire, de la saga.
C'est avec panache et un enthousiasme non dissimulé que les développeurs de Rocksteady nous ont invités à assister à une démo de Batman : Arkham Knight ce mercredi après-midi. L'occasion de découvrir le titre en live (tournant sur un PC et contrôlé avec une manette PS4) sans pour autant mettre nos propres mimines crochues sur le titre. Une présentation impressionnante néanmoins pour un certain nombre de raisons, mais la plus importante n'est autre qu'un nouveau type de gameplay jamais vu dans la série, la conduite.
Le pied sur l'accélérateur
Fin du suspense : la Batmobile fait son entrée dans la saga en devenant l'un des éléments centraux du gameplay de Knight. Entièrement redesignée pour ce jeu, la belle automobile du héros se présente comme un véritable bolide indestructible aux formes allongées et aux capacités destructrices impressionnantes : missiles, accélération fulgurante, turbo de rigueur, éjection du Batman en pleine poursuite, super sauts (avec tremplin tout de même), roues motrices capables de faire tourner la bête sur elle-même et résistance accrue aux chocs, au point de détruire énormément d'éléments des décors au passage, la Batmobile en met plein la figure et l'envie de prendre en main le bolide est immédiate tant il semble simple à maitriser et, surtout, ultra jouissif à utiliser. Détail important, Batman peut s'éjecter de son véhicule pour planer un bon moment avant de retomber au sol et la Batmobile le rejoindra alors, presque instantanément, pour qu'il puisse reprendre son périple à quatre roues en sautant dans le cockpit de la manière la plus héroïque qui soit. L'idée est de faire de la Batmobile un moyen de transport de luxe, à la fois pratique et grisant en termes de gameplay, dans une ville gigantesque qui, elle aussi, en met plein la vue.
Arkham City, plus belle que jamais
La Next-Gen a commencé à sortir ses grosses cartouches exclusives avec Titanfall sur Xbox One (et PC) et plus récemment avec inFAMOUS : Second Son sur PS4, mais rappelez-vous que ce n'est que le début. En effet, Rocksteady bosse depuis un certain temps déjà sur Batman : Arkham Knight et dès les premières secondes de jeu sur la démo nous avons pu constater que les promesses techniques (et ludiques) sont belles. D'abord la ville est absolument énorme et le champ de vision s'étend sur des kilomètres, sans le moindre brouillard. Une pluie dense frappe les immeubles et le tonnerre gronde, Batman est dans les hauteurs, seul (contre tous...), et il regarde son territoire avant de s'élancer dans un plongeon en piqué d'une centaine de mètres. Il déploie sa cape juste avant de heurter le sol et repart encore plus haut dans les airs de manière à planer pendant de longues minutes.
Vous l'aurez compris, ces hauts et ses bas en virevoltant dans les rues sont l'occasion d'admirer les différentes zones, de Chinatown aux riches quartiers boursiers, les textures claquent, les lumières, nombreuses, se reflètent sur de nombreuses surfaces, les multiples piétons n'ont même pas le temps de voir le Batman passer au-dessus d'eux mais ils sont bien là par dizaines avec pas mal de véhicules parsemant les avenues. C'est superbe, vivant et lorsqu'on comprend que tout ce que l'on voit au loin peut être visité, il parait évident que les développeurs visent la prouesse technique sur nos nouvelles consoles.
Ne cachons rien, la version Alpha que nous avons pu voir ralentissait encore parfois et pas mal d'aliasing était présent, mais les développeurs prévoient d'optimiser tout ça avant la sortie annoncée pour cette année. On ne va pas y aller par quatre chemins, cette première visite de Arkham fut splendide et promet de plonger Batman dans la next-gen de fort belle manière, tout en lui offrant un énorme terrain de jeu nappé de graphismes riches en détails que l'on doit à une version modifiée de l'Unreal Engine 3. Notons néanmoins que le syndrome "effet brillant" est de la partie et qu'il est utilisé à toutes les sauces, ce qui ne plaira pas à tout le monde, même si le rendu est vraiment réussi.
La Batmobile, ok, mais le reste ?
Que les fans des formules des anciens épisodes se rassurent, on retrouvera les combats (qui semblent similaires à ce que l'on connait en plus dynamiques) avec l'ajout d'un takedown spécial pour annihiler plusieurs cibles de suite (le "Fear Takedown" en anglais), les phases d'enquêtes, peut-être plus légères que dans Origins, de la customisation (et peut-être même de la Batmobile), des finish spectaculaires pour massacrer ses ennemis au corps à corps, dont certains interactifs avec les décors et aussi les incontournables grands méchants que sont le Pingouin ou Double Face. Mais rassurez-vous l'Homme-Mystère sera aussi de la partie avec des défis classiques, mais pas seulement puisque certains impliqueront évidemment la Batmobile en imposant à Batman des parcours semés d'embûches pour des courses, façon roller-coaster, dans lesquelles la chauve-souris humaine roulera carrément au plafond, la tête en bas.
Ca claque ! Tout un programme donc au milieu duquel se déroulera une histoire principale (avec de nombreuses quêtes annexes) mêlant Batman au Commissaire Gordon, sa fille Barbara (dit l'Oracle), les grands méchants que l'on connait (même si pour le Joker... Non, ne spoilons pas) et même quelques ennemis originaux, comme celui que vous pouvez voir sur les images de l'article.
Un an plus tard...
En effet, Knight se déroule 12 mois après la fin d'Arkham City et l'Epouvantail s'apprête à lancer une attaque sur la mégapole à coups d'arme chimique. Dans le même temps de mystérieux véhicules, appartenant apparemment à une milice autonome, sillonnent les rues pendant que la police a fait évacuer la ville, ce qui laisse le champ libre aux malfrats, mais aussi à Batou pour qu'il puisse conduire comme un malade dans les rues sans risquer d'écraser du gentil piéton par poignées.
Précisons enfin que nous avons pu constater qu'énormément d'éléments des décors étaient destructibles, des bancs aux murs en passant par des abris bus, des ordures (dans les deux sens du terme), des lampadaires, d'énormes piliers, etc. Bref, la conduite est agressive, l'impression de vitesse grisante et les chocs souvent en faveur de la Batmobile, le tout pour des poursuites intenses.
D'ailleurs, l'exploration avec le super héros se fera en verticalité puisque la ville a été conçue ainsi. Attendez-vous donc à pas mal d'épreuves volantes et en se baladant le long des immeubles façon Spider-Man, avec la possibilité de planer au lieu de tisser sa toile. Bien entendu les développeurs nous proposent une aventure sans temps de chargement visible, cela va désormais de soi.
ON L'ATTEND : Passionnément
Même si le titre n'est clairement pas encore optimisé, il est déjà extrêmement impressionnant et nous promet, au moins, une aventure aussi palpitante et riche que celle d'Arkham City. Mais avec l'ajout de la Batmobile, élément désormais déterminant, et une réalisation Next-Gen qui vous fera couler des larmes de sang tellement elle impressionne, ainsi qu'une aire de jeu décuplée, il y a de fortes chances que Knight surpasse son prédécesseur.
Les amoureux de Batman peuvent donc commencer à se frotter les ailes en attendant la conclusion de la trilogie de Rocksteady tant l'ensemble apparait déjà comme assez épique. Néanmoins nous attendrons de pouvoir y jouer nous-mêmes puisqu'il faut tout de même souligner que la conduite semble extrêmement présente dans l'aventure. En espérant qu'elle ne prenne pas trop de place, surtout par rapport aux autres formes de gameplay, je vous rappelle que Batman : Arkham Knight doit sortir dans le courant de l'année (probablement fin 2014) sur PlayStation 4, Xbox One et PC.
Plus on a d'info sur le jeu plus on se rend compte que Rocksteady a mit les petits plats dans les grands pour nous fabriquer quelque chose de qualité. Espérons que ça soit vraiment le cas manette en main.
On a une idée de la date de sortie ?
ID Wii U : BoOKahuZAC
Représentant du Parti Pessimiste. =|
Cette vidéo envoie du bois. Bon alors pour faire un peu mon rabat-joie je doute qu'on ai réellement un tel rendu sur new-gen mais si ca s'en rapproche ca serait déjà excellent. J'ai hâte d'essayer la batmobile.
voit le trailer, puis certaines informations.
Bon ça va j'ai compris. Ils posent leur grosses c******* sur la table, quoi. Du genre "Nous les enfant (BOUM!), on va faire de la next-gen !"
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
Ce jeu à vraiment l'air trop énorme ! c'est presque trop beau pour être vrai.
C'est aussi ce que je soupçonne
Aspirant aux jeux vidéo ?
qu'est-ce qu'un anime de saison ?
Batman Arkham Knight va surpasser ses prédécesseurs : nos impressions
Gameblog
Plus on a d'info sur le jeu plus on se rend compte que Rocksteady a mit les petits plats dans les grands pour nous fabriquer quelque chose de qualité. Espérons que ça soit vraiment le cas manette en main.
On a une idée de la date de sortie ?
ID Wii U : BoOKahuZAC
Représentant du Parti Pessimiste. =|
14 Octobre 2014 ^^
Une bande annonce qui envoie du bon gros steak!
L'Avis du Hooper
Ce premier aperçu in-game est plutôt convainquant! :-)
Cette vidéo envoie du bois. Bon alors pour faire un peu mon rabat-joie je doute qu'on ai réellement un tel rendu sur new-gen mais si ca s'en rapproche ca serait déjà excellent. J'ai hâte d'essayer la batmobile.