Rétrospective Ronnie James Dio
, que ce soit du Butterfly Ball à Black Sabbath en passant par sa periode solo, sa voix fait toujours autant vibrer ceux qui comme moi ont grandit en entendant:
Love Is All (1975)
Heaven And Hell (1980)
Et la meilleur cover de Dream On…
Le jeu vidéo est-t'il un art ?
Non, c'est l'art qui est un jeu.
C’est grand dommage que Roger Glover et sa bande n’aient pas donné suite à l’aventure du Butterfly Ball. Dans l’unique album qu’ils ont laissé, on retrouve le goût de l’expérimentation propre à cette période où la musique apparaissait alors comme une terre inconnue, susceptible d’attirer tous les chercheurs, les aventureux, les fêlés du citron. Il n’y a rien à jeter dedans. Portée par le vent du psychédélisme et la vague du concept-album, la bande à Roger défonce les barres de mesure, les cadences, les sixtes napolitaines, devenues outils désuets des manuels théoriques dévorés par les poux, autant de procédés engloutis. Merci à toi, Atronak. Je ne connaissais, perso, que le titre phare. Je me permets alors de poster un autre extrait, interprété celui-ci par Neil Lancaster ‒ oui, car ils sont une dizaine à assurer les 20 titres. Si j’ai choisi Lancaster ce n’est pas du tout dans le but de déplacer ton focus, les deux autres chansons attribuées à Ronnie James Dio (en plus de Love is All) sont de vraies merveilles.
Bon, on est samedi soir.
00 h 45.
L’heure idéale pour aller rejoindre Trikounet à l’Haçienda.
Non, Green ! The party is not over yet. On a encore envie de danser ! ;-)
Citation:
Comme tout Kraftwerk pondu en plusieurs langues, c'est toujours mieux en allemand.
Ouais, même quand ces derniers speak/sing english sur leurs morceaux. :d
Bon, pas mieux, Trikou.
Je te suis.
Et là, un remix.
Bien que, boosté par la technologie actuelle, on gagne en dynamique mais on perde en charme, ce remix sous-entend que sans Kraftwerk il n'y aurait pas eu de techno à Détroit ni de house à Chicago, pas eu de synth wave, de dark wave, Depeche Mode, Ultravox, Fad Gadget... bref, la liste serait trop longue.
EDIT : Excuse, Trikounet, je viens de capter. J'ai cru que tu faisais référence au morceau You are in my system de Robert Palmer, qui te faisait penser à Kraftwerk. Mais en fait tu préfères quand Kraftwerk chante allemand, c'était le sens de ta remarque. Du coup mon clin d'oeil tombe à l'eau... :-(
Rétrospective Ronnie James Dio
, que ce soit du Butterfly Ball à Black Sabbath en passant par sa periode solo, sa voix fait toujours autant vibrer ceux qui comme moi ont grandit en entendant:
Love Is All (1975)
Heaven And Hell (1980)
Et la meilleur cover de Dream On…
Le jeu vidéo est-t'il un art ?
Non, c'est l'art qui est un jeu.
Playlist spotify funk pour soirée chill:
https://open.spotify.com/playlist/43X0D7Gyzj7zVqI1S5v9ug?si=3dbd3ec35e1047af
Bon, on est samedi soir.
00 h 45.
L’heure idéale pour aller rejoindre Trikounet à l’Haçienda.
Classique teuton kraut power :
Comme tout Kraftwerk pondu en plusieurs langues, c'est toujours mieux en allemand.
Sell kids for food
Non, Green ! The party is not over yet. On a encore envie de danser ! ;-)
Ouais, même quand ces derniers speak/sing english sur leurs morceaux. :d
Bon, pas mieux, Trikou.
Je te suis.
Bien que, boosté par la technologie actuelle, on gagne en dynamique mais on perde en charme, ce remix sous-entend que sans Kraftwerk il n'y aurait pas eu de techno à Détroit ni de house à Chicago, pas eu de synth wave, de dark wave, Depeche Mode, Ultravox, Fad Gadget... bref, la liste serait trop longue.
Malheureusement si M. Depakote, on ne peut même plus faire de bruit...
Sell kids for food
Bien enchaîné.
Bien envoyé.
;-)
Bon ben, avant de devenir un silent movie, this is the last dance...
Heavy metal français :
Le célèbre Rain, extrait du film Le Dernier Empereur.
Du bon gros Hip-hop façon Luigi's Mansion !
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