Le spacesynth est un sous-genre hérité de l'époque italodisco, avec tous ces artistes des 80's comme Laser Dance ou Proxyon qui faisaient de l'italodisco principalement instrumental avec des "space bells", des mélodies entraînantes au synthé et autres joyeusetés spatiales ; le tout avec, bien souvent, la fameuse boîte à rythmes LinnDrum que les fans de MAO reconnaîtront. Cette vision de l'italodisco se distinguait de l'italodisco classique de par sa vision fantasmée de la science-fiction et se tenait loin des fameuses amourettes et des "vive la fête !" des artistes comme Miko Mission, P. Lion, Ken Lazlo etc.
Les années ont passé et une petite scène s'est développée avec une nouvelle vague d'artistes comme Vanello, Anosphere, Synthesis, Prodomo etc. qui reprennent la sonorité cosmique de Laser Dance et compagnie avec une once de modernité dans la production. Les morceaux évoquent l'espace, l'univers, les galaxies, les fantasmes de guerres des étoiles, la technologie futuriste etc. Vu qu'il n'y a désormais plus grand chose à voir avec l'ancêtre italodisco, ce sous-genre fut renommé en spacesynth.
Enfin bref, voilà un petit extrait :
Par-contre, c'est un style qui s'écoute essentiellement en compilation ou titre par titre : les albums de spacesynth se comptent sur les doigts d'une main ou presque.
Un très bel air de l'opéra Robert le Diable de Giacomo Meyerbeer qui, malgré son prénom, est un Allemand qui compose de la musique française O_o
Bon, en vrai il fait une synthèse de plusieurs styles. Il sera d'ailleurs détesté par Wagner et d'autres compositeurs privilégiant une musique plus nationale qui n'hésiteront pas à taxer sa musique d'artificielle.
Le mec, c'était la star de l'opéra à l'époque. Même si aujourd'hui on l'écoute plus trop, j'vous propose quand même un p'tit truc de Louis Giacomo parce que c'est trop facile de qualifier sa musique d'artificielle sans l'écouter ;-P
"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
J'ai parfois tendance à associer une musique à un film, une serie, un trailer car je l'ai entendu dans l'oeuvre en question. En voici une que j'ai découverte avec le trailer de once upon a time in hollywood et que je trouve fort sympathique ^^
Et bien combo breacker comme on dit dans le jargon :
Chanson qui a inspiré le nom du comic book culte à l'auteur, fan du groupe
Sell kids for food
Le spacesynth est un sous-genre hérité de l'époque italodisco, avec tous ces artistes des 80's comme Laser Dance ou Proxyon qui faisaient de l'italodisco principalement instrumental avec des "space bells", des mélodies entraînantes au synthé et autres joyeusetés spatiales ; le tout avec, bien souvent, la fameuse boîte à rythmes LinnDrum que les fans de MAO reconnaîtront. Cette vision de l'italodisco se distinguait de l'italodisco classique de par sa vision fantasmée de la science-fiction et se tenait loin des fameuses amourettes et des "vive la fête !" des artistes comme Miko Mission, P. Lion, Ken Lazlo etc.
Les années ont passé et une petite scène s'est développée avec une nouvelle vague d'artistes comme Vanello, Anosphere, Synthesis, Prodomo etc. qui reprennent la sonorité cosmique de Laser Dance et compagnie avec une once de modernité dans la production. Les morceaux évoquent l'espace, l'univers, les galaxies, les fantasmes de guerres des étoiles, la technologie futuriste etc. Vu qu'il n'y a désormais plus grand chose à voir avec l'ancêtre italodisco, ce sous-genre fut renommé en spacesynth.
Enfin bref, voilà un petit extrait :
Par-contre, c'est un style qui s'écoute essentiellement en compilation ou titre par titre : les albums de spacesynth se comptent sur les doigts d'une main ou presque.
Un très bel air de l'opéra Robert le Diable de Giacomo Meyerbeer qui, malgré son prénom, est un Allemand qui compose de la musique française O_o
Bon, en vrai il fait une synthèse de plusieurs styles. Il sera d'ailleurs détesté par Wagner et d'autres compositeurs privilégiant une musique plus nationale qui n'hésiteront pas à taxer sa musique d'artificielle.
Le mec, c'était la star de l'opéra à l'époque. Même si aujourd'hui on l'écoute plus trop, j'vous propose quand même un p'tit truc de
LouisGiacomo parce que c'est trop facile de qualifier sa musique d'artificielle sans l'écouter ;-P"La plus grande consolation pour la médiocrité est de voir que le génie n'est pas immortel" (Johann Wolfgang von Gœthe)
Comment rendre une chanson déchirante ? Et bien, il suffit de se déchirer la voix dessus.
Âmes sensibles et compatissantes, s'abstenir.
Sans transition :
Sell kids for food
à écouter dans un pti pub avec une belle pinte !
J'ai parfois tendance à associer une musique à un film, une serie, un trailer car je l'ai entendu dans l'oeuvre en question. En voici une que j'ai découverte avec le trailer de once upon a time in hollywood et que je trouve fort sympathique ^^
Puisque j'aurai sûrement la chance de les voir prochainement :