Bon ben je poursuis avec Bernard Herrmann.
Parce que sa musique nous brûle l'âme à jamais.
Un court mouvement extrait de sa BO composée pour Fahrenheit 451, de Truffaut.
@ Doki : Sublime cette musique des Larmes du Soleil. Typiquement dans la mouvance des films de guerres des années 2000 qui avaient des musiques vraiment bonnes comme We Were Soldiers ou Black Hawk Dawn
On reste un peu en Afrique mais dans une toute autre ambiance :
Si la répétition a quelque chose de séduisant – Debussy, par exemple, aimait faire entendre une phrase plutôt deux fois qu'une –, chez Steve Reich elle est au cœur du discours. Il part en général d'une boucle autour/sur/sous laquelle viennent s'agglutiner myriades de phrases comme des fourmis autour d'une miette de pain. On pense à la musique tribale. En cela Steve Reich, mieux que personne, réussit la passerelle culturelle entre l'Occident et l'Afrique noire.
Une musique d'une grande richesse malgré la pauvreté volontaire du matériel.
Elle sera hypnotique pour les uns ou mortellement chiante pour les autres.
Vachement bien le rythme de batterie du titre Kaleidoscope, Lord !
Connaissais pas ce groupe.
Bon, je te suis dans le funk afro 70's.
Je te suis dans les rues de Harlem.
The best is yet to come, oui sublime <3
MGS + The Who... Butch est grand !
Je reste dans l'ambiance BO mais avec du Star Wars
Sell kids for food
Pour calquer les choix précédents, j'ose la fusion avec un thème de film interprété en 8bit.
blablabla
Kopano part III des larmes du soleil, elle me rappelle des souvenirs.
Bon ben je poursuis avec Bernard Herrmann.
Parce que sa musique nous brûle l'âme à jamais.
Un court mouvement extrait de sa BO composée pour Fahrenheit 451, de Truffaut.
blablabla
@ Doki : Sublime cette musique des Larmes du Soleil. Typiquement dans la mouvance des films de guerres des années 2000 qui avaient des musiques vraiment bonnes comme We Were Soldiers ou Black Hawk Dawn
On reste un peu en Afrique mais dans une toute autre ambiance :
Sell kids for food
Eh ben j'ose encore une fusion.
Occident-Afrique.
Si la répétition a quelque chose de séduisant – Debussy, par exemple, aimait faire entendre une phrase plutôt deux fois qu'une –, chez Steve Reich elle est au cœur du discours. Il part en général d'une boucle autour/sur/sous laquelle viennent s'agglutiner myriades de phrases comme des fourmis autour d'une miette de pain. On pense à la musique tribale. En cela Steve Reich, mieux que personne, réussit la passerelle culturelle entre l'Occident et l'Afrique noire.
Une musique d'une grande richesse malgré la pauvreté volontaire du matériel.
Elle sera hypnotique pour les uns ou mortellement chiante pour les autres.
blablabla
ça détends <3
Vachement bien le rythme de batterie du titre Kaleidoscope, Lord !
Connaissais pas ce groupe.
Bon, je te suis dans le funk afro 70's.
Je te suis dans les rues de Harlem.
blablabla
L'une de leurs meilleurs, pour moi.
"[...] Tutu chapeau pointu !
C'était le petit Gavroche qui s'en allait en guerre."