Et puis pareil que rudolf pour la légende de thor pas beaucoup apprécié.
Je rejoins l avis d erazul concernant rygar sur PlayStation 2, jeu qui n est pas vraiment de 2003 puisqu'il est sortit en novembre 2002 au Japon ou aux usa je ne sais plus.
Oui rygar est un jeu agréable, qui se laisse vivre, ou plutôt jouer sans ce prendre la tête.
Maintenant delà à dire que c est un des meilleurs jeux d action aventure de la PlayStation 2, c est beaucoup dire erazul.
Je pense comme toi qu il est plus agréable que devil May cry sortie en 2001, qui a certe un meilleur gameplay mais au final le genre de jeu que je déteste c est à dire se forcer ou s obliger a le finir. Car oui devil May cry est une souffrance pour le joueur, il y a dans ce jeu quelques chose qui ne tourne pas rond et moi j'aime pas trop ce genre de détails qui font la différence.
Oui, très bon, le Luigi's Mansion 2. Il y a de bons puzzles (qui peuvent vraiment bloquer le joueur, il faut réfléchir un peu, on n'est pas vraiment pris par la main), de la variété dans les environnements, de l'humour et une bonne durée de vie. La 3D est très bien exploitée en plus. Et même le petit mode en ligne en coopératif est très sympa (je m'y suis amusé un petit moment).
J'ai terminé E.Y.E. Divine Cybermancy... enfin, je l'ai terminé une première fois puisqu'il faut en fait le terminer trois fois en obtenant les trois fins différentes pour obtenir la vraie fin du jeu !
Mais bon, on verra plus tard, pour le moment, c'est déjà pas mal.
Alors, dans l'ensemble j'ai vraiment aimé même s'il y a pas mal de défauts qui peuvent être totalement rédhibitoires pour certains : ça manque de finitions (on dirait plus un mod de Half-Life 2 qu'un "vrai" jeu), c'est largement orienté action, le scénario n'est clairement pas le point fort du jeu (c'est confus, pas très bien écrit et le twist final est assez convenu et, aujourd'hui, assez cliché) et c'est assez mal équilibré en terme de difficulté à certains moments.
Sur ce dernier point, on notera surtout la dernière mission totalement hallucinante de difficulté et ce même dans le mode de jeu le plus facile (la dernière mission d'une des fins, cela dit) ! Je soupçonne que ça soit fait exprès par rapport à un des thèmes du jeu, mais là, c'était juste bête et méchant au point que j'ai fini par avancer bêtement en mourant et en respawnant en boucle jusqu'à atteindre mes objectifs :/
Certaines mécaniques ne marchent pas très bien, en particulier l'infiltration qui ne devient viable que lorsque vous débloquez la possibilité de devenir invisible.
Aussi, je pense que le fait que le jeu trolle allègrement le joueur puisse en énerver plus d'un : par exemple, dans la zone tuto, vous pouvez prendre un chemin alternatif qui vous fera contourner les quelques ennemis rencontrés et, ainsi, vous permettra d'éviter l'affrontement.
Sauf que ce chemin alternatif est le truc le plus long de la Terre :P
Sérieusement, au lieu des 5 / 10 minutes nécessaires pour faire le tuto, vous allez plutôt y passer 15 / 20 minutes pendant lesquelles vous allez juste monter 2 échelles trèèèèèèèèès longues et ramper dans le même foutu conduit d'évacuation sombre pendant 3 plombes. C'est tout, il n'y aura rien d'autre, pas de récompense (au contraire, puisque vous n'aurez pas gagné d'XP !), pas d'objet unique, rien du tout... forcément, si vous êtes du genre à monter vite en pression, ça peut vous chauffer un peu les oreilles :P
Pourtant, malgré ça, je trouve le jeu réussi. Il y a une ambiance, un univers, un charme assez envoûtants. C'est brouillon mais c'est sincère, généreux et plein d'envie. Les mecs qui ont fait ce jeu se sont éclatés et ont tout donné et ça se voit. Alors, certes, c'est un peu le bordel, mais c'est un joyeux bordel, un truc un peu foutraque qui se moque des conventions, des impératifs commerciaux ou, simplement, qui se moque de plaire à tout le monde. Et je dois dire que c'est très rafraîchissant !
Et puis, bon, il y a des choses très réussies également : les gunfigths sont excellents, très vifs et nerveux avec d'excellentes sensations, la DA est originale et très réussie, les musiques sont excellentes, les upgrades disponibles sont nombreuses et variées, les missions et les environnements sont variés (même si pas très nombreux), c'est fun, c'est intriguant et, surtout, c'est unique. Et ça, c'est cool :)
Il y a également pleins d'idées sympa :
- lorsque vous tentez un hack, vous pouvez également vous faire hacker. Le résultat dépendra du virus utilisé par l'adversaire mais vous pouvez tout à fait vous faire one-shot.
- lorsque vous mourrez, vous avez un certain nombres de Resurectors qui vous feront respawn à l'endroit de votre mort. Le truc et que ces Resurectors peuvent être défaillants et vous pouvez respawn avec un malus permanent ! Il faudra développer le bon upgrade pour vous en débarrasser.
- vous pouvez hacker à peu près tout : les ennemis, les portes, les distributeurs de banque, etc...
- les katanas sont très efficaces pour dévier les balles comme un vrai héros de manga ^^
etc...
Concernant la réputation du titre, je ne l'ai pas trouvé si hermétique et opaque que ça. Il y a encore quelques trucs que je n'ai pas vraiment compris au niveau des mécaniques, mais rien d'insurmontable si on prend le temps d'y réfléchir. Par exemple, le hacking, qui aura fait ragequit plus d'un joueur, est en fait vraiment très facile une fois qu'on a compris quels virus étaient les plus efficaces (protip : gonflez votre protection jusque 300 avec Shield et alternez ensuite Attack et Shield. Normalement, vous devriez vous en sortir sans problème ^^).
Si vous avez connu des RPG old-school des années 90 / début 2000, vous ne devriez pas vous sentir trop perdu.
Alors, est-ce que je conseille E.Y.E. ? Mmmh, difficile à dire parce que c'est vraiment un jeu très particulier, un hybride un peu bizarre, mais je dirai que, si vous êtes un fan de cyberpunk et que vous aimez les A-RPG, c'est plutôt une bonne pioche. D'autant qu'il se trouve très souvent en soldes pour moins de 5€ ^^
Critique troublante, elle donne envie et pas du tout, en même temps. ^^
Oui, ça résume bien le jeu ^^
Les deux seules choses qu'on peut dire avec certitude lorsqu'on sort de E.Y.E., c'est :
You gain brouzouf
et
My legs are OK
(faut faire le jeu pour comprendre ; les vrais savent, t'as vu :P)
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
Je ne suis pas un grand amateur de ce genre de jeu, les petites balades vidéoludiques à la première personne m'ont rarement laissé sur une note positive, je pense notamment à Dear Esther, The Vanishing of Ethan Carter ou encore le très acclamé Gone Home qui m'avait complètement laissé de marbre. Si j'ai décidé de franchir à nouveau le pas, c'est surtout à cause du studio de développement qu'il y a derrière, à savoir Giant Sparrow. Leur premier jeu The Unfinished Sawn m'avait beaucoup plu au point d'en devenir l'un de mes rares petits coups de cœur vidéoludiques, leur second jeu : What Remains of Edith Finch pouvait éventuellement réitérer ce petit exploit... mon pari s'est avéré à moitié-réussi,
Scénario
L'ultime descendante de la famille Finch se rend dans le domaine familiale pour y ressasser de nombreux souvenirs.
L'intrigue est bonne, la narration est excellente et la famille Finch ainsi que son background est plutôt intéressant. Le cadre laisserait entendre que c'est un jeu joyeux et tout mignon mais ce n'est clairement pas le cas, on est limite aux antipodes de ce que proposait The Unfinished Sawn à ce niveau là, ce jeu n'est surtout pas destiné aux petits enfants et enfants (Pegi 16).
Il n'y a pas de rejouabilité et le jeu se termine en 3h en prenant son temps. Pour 20 euros, cette "aventure" les vaut largement.
Gameplay
Il y a de la variété au niveau du gameplay, vous n'allez pas passer votre temps à marcher tout en cliquant sur tout et n'importe quoi. Les idées sont très bonnes mais s'avèrent, pour la majeure partie d'entre-elles, très courtes, de quoi frustrer le joueur.
On notera également le grand manque d'interactivité avec notre environnement, vous allez davantage contempler tout en suivant un rail bien défini (vous ne pouvez pas visiter les pièces dans l'ordre que vous voulez).
Le maniement est un peu lourd par moment, le fait qu'on ne puisse pas accélérer un tout petit peu m'a un peu gêné, en particulier au début mais on s'y fait.
Graphismes - DA
Sur le plan technique, le jeu présente quelques petits bugs, ralentissements, pas mal de retard d'affichage de texture et puis, globalement, c'est loin d'être foufou à ce niveau là, il aurait très bien pu sortir sur PS3.
Artistiquement c'est plutôt sympathique, il y a pas mal de détails et d'autres points qui varient tout au long de notre visite de la maison. J'ai pas été bluffé mais il est vrai que ça a son charme, à vous de voir si ça vous parle ou non.
Bande son
Rien de bien intéressant ou de marquant à l'écoute, l'ambiance sonore est correcte mais sans plus.
Ils étaient bien plus inspirés dans The Unfinished Sawn.
What Remains of Edith Finch est un excellent jeu dans son genre qui n'a malheureusement pas réussi à m'émouvoir comme je l'espérais, ceci dit j'ai tout de même passé un agréable moment. J'espère que le jeu se vendra bien et que Giant Sparrow continuera à nous émerveiller avec leurs nombreuses et bonnes idées notamment au niveau du gameplay et de la narration.
Ma note objective : 08/10
Meilleur/Pire Moment du jeu ▼▲
Meilleur Moment du Jeu
La pièce de Milton qui s'avère être le roi de l'univers du jeu The Unfinished Swan, c'est peut-être le seul moment du jeu qui m'a un peu ému.
Pire Moment du Jeu
Quand vous commencez le jeu, vous devez traverser une forêt avant de vous rendre au domicile des Finch, non seulement vous ne pouvez pas courir mais en plus ça rame énormément.
Pour finir, j'ajouterai que ces jeux pourraient faire d'excellentes épopées pour le gros ours.
Premier jeu terminé sur Saturn : Panzer Dragoon : 16/20
Un jeu très souvent encensé par la critique et les joueurs, et je suis plutôt du même avis. La raison principale : son univers. A l'image d'un Shadow of the Colossus, on peut aimer ou non l'univers, pour ma part, la mayo a pris dès le début.
Déjà, à peine le CD lancé, on nous expose l'histoire, d'abord à travers un petit texte façon intro de film, puis à travers une longue (positif) cinématique pour illustrer le texte et aller plus loin dans l'introduction de l'univers et des personnages. On nous parle d'une civilisation disparue dont les quelques rescapés ont trouvé une arme ultime recherchée par tout le monde, y compris les forces du Dragon Noir (le méchant bien évidemment). "Le destin du monde repose sur les ailes d'un dragon bleu cuirassé...", voilà sur quoi se termine l'intro écrite, et bim, on nous envoie la sauce. Alors l'univers créé est génial, il n'y a vraiment rien à dire là-dessus, en revanche, les DEUX SEULES SEQUENCES CINEMATIQUES m'ont presque plus choqué visuellement que le reste du jeu. Elle sont plutôt réussies honnêtement, mais il y a un côté un peu flou qui dérange un peu contrairement aux phases de gameplay qui ont certes vieillies mais qui sont plus nettes.
Donc premier point, le jeu est beau. Oui ça date et on le sent, mais l'univers est vachement recherché, il y a une vraie âme qui s'en dégage, aussi bien dans les décors que pour les différents ennemis, qui sont assez variés d'un niveau à l'autre (moins sur la fin). Le jeu est vivant oui, même si on n'a pas le temps d'en profiter...
Car oui, la durée de vie est très courte, en tout cas sur le papier... Il y a 4 niveaux en mode facile, mais ça ne sert vraiment qu'à apprendre le maniement et découvrir le jeu tranquillement, car vous n'aurez pas le droit au dénouement, et ce serait vraiment dommage (on va même dire aucun intérêt). C'est donc en normal ou en hard que l'on pourra accéder à la totalité du jeu, et le mode normal sera déjà un bon challenge... Le jeu est assez punitif, il faut vraiment être réactif et constamment sur le qui-vive, sous peine de devoir reprendre un niveau dès le début. Etant donné qu'il n'y a qu'un seul continue en mode normal, et qu'il faut détruire suffisamment d'ennemis dans un niveau pour en gagner d'autres, il faudra être bon, sinon, c'est le Game Over, et retour à la case départ... Un niveau dure en moyenne entre 5 et 10 minutes, ce qui fait donc une durée de vie aux alentours d'une heure. Comme dit plus haut, le jeu est donc très court, mais uniquement sur le papier, car vous allez certainement recommencer plus d'une fois...
Niveau gameplay, ça se prend très vite en main, et c'est assez agréable à diriger. Le jeu a vraiment été très bien conçu, il n'y a pas de sentiment de lourdeur dans les déplacements. Idem pour le viseur, c'est réactif, on vise facilement, rien à dire. Il faudra donc savoir jongler entre les déplacements classiques, les esquives, les tirs classiques et les tirs à tête chercheuse, qui seront bien utiles. En effet, on peut viser jusqu'à 8 ennemis en même temps, et ça vous sauvera bien souvent la vie. La caméra elle est assez réactive également (grâce aux gâchettes de la manette), mais quand les ennemis arrivent de partout on peut se perdre un peu dans les commandes et se tromper de côté. Mais cela n'enlève en rien la qualité du gameplay.
Terminons sur l'OST, où il n'y a pas grand chose à dire... Un léger sentiment de répétitivité sur 2 boss (car oui, chaque boss a son propre thème), mais globalement c'est du très bon. Ca va de paire avec l'ambiance dont on a parlé plus haut, on s'en imprègne et on continue d'avancer dans ce vaste monde jusqu'au combat final... Mention spéciale également au générique de fin, qui m'a beaucoup rappelé les films de Miyazaki, aussi bien visuellement que musicalement, et juste pour ça il faut finir ce jeu !
Panzer Dragoon est un jeu à ambiance, et on peut même parlé d'une sacrée expérience. Oui c'est un Rail Shooter, mais si vous arrivez à vous laisser embarquer dans son univers, vous passerez un excellent moment, bien que trop court...
Fonce maintenant sur Panzer Dragoon Zwei, Panzer Dragoon Saga (par contre bon courage pour le trouver à bon prix ! Joues-y quand même après le Zwei, les deux jeux sont un peu liés et c'est un des meilleurs RPG auxquels j'ai joué), pour finir par Panzer Dragoon Orta. Une magnifique série. :-)
En tout cas, le premier Panzer Dragoon pose vraiment les bases de l'univers et du gameplay (même si c'est le gameplay le plus basique de la série). Le jeu comporte à mon goût l'une des plus belles cinématiques d'introduction de l'histoire du jeu vidéo (la musique qui s'emballe, la mise en scène, les événements, l'émotion à la fin). Et puis l'introduction qui a lui aussi un thème de fou. Et aussi le premier niveau culte des ruines aquatiques avec cette musique magique !
Bien joué quand même pour avoir terminé le jeu qui est loin d'être simple (moi j'avais galéré vers la fin en mode Normal et je n'ai jamais fini le mode Hard). Tu verras, le Zwei, s'il est plus facile, est aussi plus riche que le premier, avec des graphismes bien plus propres, une esthétique encore plus marquée et réussie, des musiques plus homogènes et cohérentes, un scénario/background plus poussé (ainsi que le lien entre le héros Jean-Luc Lundi - non, ce n'est pas une blague, son nom ^^ - et son dragon Lagi), l'introduction des chemins annexes et du scoring qui conditionnent les différentes métamorphoses du dragon, et la Pandora' Box pour rejouer au jeu en personnalisant beaucoup de choses (le jeu a une bonne rejouabilité grâce à ça, au scoring et à la motivation d'obtenir la transformation ultime du dragon). En plus il comporte l'un de mes boss finaux préférés parmi tous les jeux vidéo que j'ai terminés.
Pour info, la jaquette japonaise a été faite par le célèbre dessinateur de BD Moebius (alias Jean-Girault). Et l'univers même de la série est à mi-chemin entre celui de Moebius et celui de Dune, tout en préfigurant Skies of Arcadia par certains côtés.
Fonce maintenant sur Panzer Dragoon Zwei, Panzer Dragoon Saga (par contre bon courage pour le trouver à bon prix !
Encore le 2 ça va, moins de 100€ je me dis que bon c'est un gros jeu, parc contre le Saga ça tourne plutôt aux alentours de 300? aïe... C'est un peu comme Samba de Amigo que j'essaie de me procurer sur Dreamcast, ouille ouille ouille les prix...
Citation:
Bien joué quand même pour avoir terminé le jeu qui est loin d'être simple (moi j'avais galéré vers la fin)
Les premiers essais j'ai galéré dès le niveau 4 (je précise que je n'ai même pas essayé en hard, le normal m'a amplement suffit ^^).
Oui j'avais vu pour le design, ça a vraiment été travaillé tout ça.
Putain, moi le Zwei, je l'ai acheté il y a dix ans complet pour une quinzaine d'euros ! Le Saga par contre, il était déjà cher (et ça n'a pas dû s'arranger), moi je l'avais trouvé à cette époque-là au prix de 90 €, je m'étais un peu saigné (c'est rare que ça m'arrive pour un jeu, mais j'avais trop trop envie d'y jouer et je ne l'ai jamais regretté, j'étais trop fasciné par cette série et je voulais vraiment jouer à Azel qui est LE volet qui approfondit vraiment le background de la série). Mais franchement, il faut jouer à Azel Panzer Dragoon RPG (son petit nom de la version japonaise).
Sinon de mémoire, dans le premier Panzer Dragoon, je crois que j'avais vraiment commencé à galérer dans un niveau au-dessus d'une forêt avec plein de bateaux volants (c'est ça, le niveau 4 ? ). Et puis le niveau final aussi.
Adoré luigis mansion ?
Hum pas d accord avec toi.
Et puis pareil que rudolf pour la légende de thor pas beaucoup apprécié.
Je rejoins l avis d erazul concernant rygar sur PlayStation 2, jeu qui n est pas vraiment de 2003 puisqu'il est sortit en novembre 2002 au Japon ou aux usa je ne sais plus.
Oui rygar est un jeu agréable, qui se laisse vivre, ou plutôt jouer sans ce prendre la tête.
Maintenant delà à dire que c est un des meilleurs jeux d action aventure de la PlayStation 2, c est beaucoup dire erazul.
Je pense comme toi qu il est plus agréable que devil May cry sortie en 2001, qui a certe un meilleur gameplay mais au final le genre de jeu que je déteste c est à dire se forcer ou s obliger a le finir. Car oui devil May cry est une souffrance pour le joueur, il y a dans ce jeu quelques chose qui ne tourne pas rond et moi j'aime pas trop ce genre de détails qui font la différence.
Oui, très bon, le Luigi's Mansion 2. Il y a de bons puzzles (qui peuvent vraiment bloquer le joueur, il faut réfléchir un peu, on n'est pas vraiment pris par la main), de la variété dans les environnements, de l'humour et une bonne durée de vie. La 3D est très bien exploitée en plus. Et même le petit mode en ligne en coopératif est très sympa (je m'y suis amusé un petit moment).
Well hello ladies and gentlemen ^^
J'ai terminé E.Y.E. Divine Cybermancy... enfin, je l'ai terminé une première fois puisqu'il faut en fait le terminer trois fois en obtenant les trois fins différentes pour obtenir la vraie fin du jeu !
Mais bon, on verra plus tard, pour le moment, c'est déjà pas mal.
Alors, dans l'ensemble j'ai vraiment aimé même s'il y a pas mal de défauts qui peuvent être totalement rédhibitoires pour certains : ça manque de finitions (on dirait plus un mod de Half-Life 2 qu'un "vrai" jeu), c'est largement orienté action, le scénario n'est clairement pas le point fort du jeu (c'est confus, pas très bien écrit et le twist final est assez convenu et, aujourd'hui, assez cliché) et c'est assez mal équilibré en terme de difficulté à certains moments.
Sur ce dernier point, on notera surtout la dernière mission totalement hallucinante de difficulté et ce même dans le mode de jeu le plus facile (la dernière mission d'une des fins, cela dit) ! Je soupçonne que ça soit fait exprès par rapport à un des thèmes du jeu, mais là, c'était juste bête et méchant au point que j'ai fini par avancer bêtement en mourant et en respawnant en boucle jusqu'à atteindre mes objectifs :/
Certaines mécaniques ne marchent pas très bien, en particulier l'infiltration qui ne devient viable que lorsque vous débloquez la possibilité de devenir invisible.
Aussi, je pense que le fait que le jeu trolle allègrement le joueur puisse en énerver plus d'un : par exemple, dans la zone tuto, vous pouvez prendre un chemin alternatif qui vous fera contourner les quelques ennemis rencontrés et, ainsi, vous permettra d'éviter l'affrontement.
Sauf que ce chemin alternatif est le truc le plus long de la Terre :P
Sérieusement, au lieu des 5 / 10 minutes nécessaires pour faire le tuto, vous allez plutôt y passer 15 / 20 minutes pendant lesquelles vous allez juste monter 2 échelles trèèèèèèèèès longues et ramper dans le même foutu conduit d'évacuation sombre pendant 3 plombes. C'est tout, il n'y aura rien d'autre, pas de récompense (au contraire, puisque vous n'aurez pas gagné d'XP !), pas d'objet unique, rien du tout... forcément, si vous êtes du genre à monter vite en pression, ça peut vous chauffer un peu les oreilles :P
Pourtant, malgré ça, je trouve le jeu réussi. Il y a une ambiance, un univers, un charme assez envoûtants. C'est brouillon mais c'est sincère, généreux et plein d'envie. Les mecs qui ont fait ce jeu se sont éclatés et ont tout donné et ça se voit. Alors, certes, c'est un peu le bordel, mais c'est un joyeux bordel, un truc un peu foutraque qui se moque des conventions, des impératifs commerciaux ou, simplement, qui se moque de plaire à tout le monde. Et je dois dire que c'est très rafraîchissant !
Et puis, bon, il y a des choses très réussies également : les gunfigths sont excellents, très vifs et nerveux avec d'excellentes sensations, la DA est originale et très réussie, les musiques sont excellentes, les upgrades disponibles sont nombreuses et variées, les missions et les environnements sont variés (même si pas très nombreux), c'est fun, c'est intriguant et, surtout, c'est unique. Et ça, c'est cool :)
Il y a également pleins d'idées sympa :
- lorsque vous tentez un hack, vous pouvez également vous faire hacker. Le résultat dépendra du virus utilisé par l'adversaire mais vous pouvez tout à fait vous faire one-shot.
- lorsque vous mourrez, vous avez un certain nombres de Resurectors qui vous feront respawn à l'endroit de votre mort. Le truc et que ces Resurectors peuvent être défaillants et vous pouvez respawn avec un malus permanent ! Il faudra développer le bon upgrade pour vous en débarrasser.
- vous pouvez hacker à peu près tout : les ennemis, les portes, les distributeurs de banque, etc...
- les katanas sont très efficaces pour dévier les balles comme un vrai héros de manga ^^
etc...
Concernant la réputation du titre, je ne l'ai pas trouvé si hermétique et opaque que ça. Il y a encore quelques trucs que je n'ai pas vraiment compris au niveau des mécaniques, mais rien d'insurmontable si on prend le temps d'y réfléchir. Par exemple, le hacking, qui aura fait ragequit plus d'un joueur, est en fait vraiment très facile une fois qu'on a compris quels virus étaient les plus efficaces (protip : gonflez votre protection jusque 300 avec Shield et alternez ensuite Attack et Shield. Normalement, vous devriez vous en sortir sans problème ^^).
Si vous avez connu des RPG old-school des années 90 / début 2000, vous ne devriez pas vous sentir trop perdu.
Alors, est-ce que je conseille E.Y.E. ? Mmmh, difficile à dire parce que c'est vraiment un jeu très particulier, un hybride un peu bizarre, mais je dirai que, si vous êtes un fan de cyberpunk et que vous aimez les A-RPG, c'est plutôt une bonne pioche. D'autant qu'il se trouve très souvent en soldes pour moins de 5€ ^^
https://www.youtube.com/watch?v=ebqsSzmJE9o
EDIT CRESSON :
Il y a même une démo sur Steam, pour ceux qui voudraient tester !
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Critique troublante, elle donne envie et pas du tout, en même temps. ^^
Team Mimic en bois
Genesis : " Je peux demander un vélo rail mais va falloir pédaler jusqu'a Perigueux "
Oui, ça résume bien le jeu ^^
Les deux seules choses qu'on peut dire avec certitude lorsqu'on sort de E.Y.E., c'est :
You gain brouzouf
et
My legs are OK
(faut faire le jeu pour comprendre ; les vrais savent, t'as vu :P)
Team Mimic en ostryer de Vriginie
"All those moments will be lost in time, like tears in rain."
You gain brouzouf
My legs are ok
Ma note subjective : 07/10
Je ne suis pas un grand amateur de ce genre de jeu, les petites balades vidéoludiques à la première personne m'ont rarement laissé sur une note positive, je pense notamment à Dear Esther, The Vanishing of Ethan Carter ou encore le très acclamé Gone Home qui m'avait complètement laissé de marbre. Si j'ai décidé de franchir à nouveau le pas, c'est surtout à cause du studio de développement qu'il y a derrière, à savoir Giant Sparrow. Leur premier jeu The Unfinished Sawn m'avait beaucoup plu au point d'en devenir l'un de mes rares petits coups de cœur vidéoludiques, leur second jeu : What Remains of Edith Finch pouvait éventuellement réitérer ce petit exploit... mon pari s'est avéré à moitié-réussi,
Scénario
L'ultime descendante de la famille Finch se rend dans le domaine familiale pour y ressasser de nombreux souvenirs.
L'intrigue est bonne, la narration est excellente et la famille Finch ainsi que son background est plutôt intéressant. Le cadre laisserait entendre que c'est un jeu joyeux et tout mignon mais ce n'est clairement pas le cas, on est limite aux antipodes de ce que proposait The Unfinished Sawn à ce niveau là, ce jeu n'est surtout pas destiné aux petits enfants et enfants (Pegi 16).
Il n'y a pas de rejouabilité et le jeu se termine en 3h en prenant son temps. Pour 20 euros, cette "aventure" les vaut largement.
Gameplay
Il y a de la variété au niveau du gameplay, vous n'allez pas passer votre temps à marcher tout en cliquant sur tout et n'importe quoi. Les idées sont très bonnes mais s'avèrent, pour la majeure partie d'entre-elles, très courtes, de quoi frustrer le joueur.
On notera également le grand manque d'interactivité avec notre environnement, vous allez davantage contempler tout en suivant un rail bien défini (vous ne pouvez pas visiter les pièces dans l'ordre que vous voulez).
Le maniement est un peu lourd par moment, le fait qu'on ne puisse pas accélérer un tout petit peu m'a un peu gêné, en particulier au début mais on s'y fait.
Graphismes - DA
Sur le plan technique, le jeu présente quelques petits bugs, ralentissements, pas mal de retard d'affichage de texture et puis, globalement, c'est loin d'être foufou à ce niveau là, il aurait très bien pu sortir sur PS3.
Artistiquement c'est plutôt sympathique, il y a pas mal de détails et d'autres points qui varient tout au long de notre visite de la maison. J'ai pas été bluffé mais il est vrai que ça a son charme, à vous de voir si ça vous parle ou non.
Bande son
Rien de bien intéressant ou de marquant à l'écoute, l'ambiance sonore est correcte mais sans plus.
Ils étaient bien plus inspirés dans The Unfinished Sawn.
What Remains of Edith Finch est un excellent jeu dans son genre qui n'a malheureusement pas réussi à m'émouvoir comme je l'espérais, ceci dit j'ai tout de même passé un agréable moment. J'espère que le jeu se vendra bien et que Giant Sparrow continuera à nous émerveiller avec leurs nombreuses et bonnes idées notamment au niveau du gameplay et de la narration.
Ma note objective : 08/10
Pour finir, j'ajouterai que ces jeux pourraient faire d'excellentes épopées pour le gros ours.
Premier jeu terminé sur Saturn : Panzer Dragoon : 16/20
Un jeu très souvent encensé par la critique et les joueurs, et je suis plutôt du même avis. La raison principale : son univers. A l'image d'un Shadow of the Colossus, on peut aimer ou non l'univers, pour ma part, la mayo a pris dès le début.
Déjà, à peine le CD lancé, on nous expose l'histoire, d'abord à travers un petit texte façon intro de film, puis à travers une longue (positif) cinématique pour illustrer le texte et aller plus loin dans l'introduction de l'univers et des personnages. On nous parle d'une civilisation disparue dont les quelques rescapés ont trouvé une arme ultime recherchée par tout le monde, y compris les forces du Dragon Noir (le méchant bien évidemment). "Le destin du monde repose sur les ailes d'un dragon bleu cuirassé...", voilà sur quoi se termine l'intro écrite, et bim, on nous envoie la sauce. Alors l'univers créé est génial, il n'y a vraiment rien à dire là-dessus, en revanche, les DEUX SEULES SEQUENCES CINEMATIQUES m'ont presque plus choqué visuellement que le reste du jeu. Elle sont plutôt réussies honnêtement, mais il y a un côté un peu flou qui dérange un peu contrairement aux phases de gameplay qui ont certes vieillies mais qui sont plus nettes.
Donc premier point, le jeu est beau. Oui ça date et on le sent, mais l'univers est vachement recherché, il y a une vraie âme qui s'en dégage, aussi bien dans les décors que pour les différents ennemis, qui sont assez variés d'un niveau à l'autre (moins sur la fin). Le jeu est vivant oui, même si on n'a pas le temps d'en profiter...
Car oui, la durée de vie est très courte, en tout cas sur le papier... Il y a 4 niveaux en mode facile, mais ça ne sert vraiment qu'à apprendre le maniement et découvrir le jeu tranquillement, car vous n'aurez pas le droit au dénouement, et ce serait vraiment dommage (on va même dire aucun intérêt). C'est donc en normal ou en hard que l'on pourra accéder à la totalité du jeu, et le mode normal sera déjà un bon challenge... Le jeu est assez punitif, il faut vraiment être réactif et constamment sur le qui-vive, sous peine de devoir reprendre un niveau dès le début. Etant donné qu'il n'y a qu'un seul continue en mode normal, et qu'il faut détruire suffisamment d'ennemis dans un niveau pour en gagner d'autres, il faudra être bon, sinon, c'est le Game Over, et retour à la case départ... Un niveau dure en moyenne entre 5 et 10 minutes, ce qui fait donc une durée de vie aux alentours d'une heure. Comme dit plus haut, le jeu est donc très court, mais uniquement sur le papier, car vous allez certainement recommencer plus d'une fois...
Niveau gameplay, ça se prend très vite en main, et c'est assez agréable à diriger. Le jeu a vraiment été très bien conçu, il n'y a pas de sentiment de lourdeur dans les déplacements. Idem pour le viseur, c'est réactif, on vise facilement, rien à dire. Il faudra donc savoir jongler entre les déplacements classiques, les esquives, les tirs classiques et les tirs à tête chercheuse, qui seront bien utiles. En effet, on peut viser jusqu'à 8 ennemis en même temps, et ça vous sauvera bien souvent la vie. La caméra elle est assez réactive également (grâce aux gâchettes de la manette), mais quand les ennemis arrivent de partout on peut se perdre un peu dans les commandes et se tromper de côté. Mais cela n'enlève en rien la qualité du gameplay.
Terminons sur l'OST, où il n'y a pas grand chose à dire... Un léger sentiment de répétitivité sur 2 boss (car oui, chaque boss a son propre thème), mais globalement c'est du très bon. Ca va de paire avec l'ambiance dont on a parlé plus haut, on s'en imprègne et on continue d'avancer dans ce vaste monde jusqu'au combat final... Mention spéciale également au générique de fin, qui m'a beaucoup rappelé les films de Miyazaki, aussi bien visuellement que musicalement, et juste pour ça il faut finir ce jeu !
Panzer Dragoon est un jeu à ambiance, et on peut même parlé d'une sacrée expérience. Oui c'est un Rail Shooter, mais si vous arrivez à vous laisser embarquer dans son univers, vous passerez un excellent moment, bien que trop court...
Si je ne suis pas de retour dans 5 minutes... Attendez plus longtemps !
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Fonce maintenant sur Panzer Dragoon Zwei, Panzer Dragoon Saga (par contre bon courage pour le trouver à bon prix ! Joues-y quand même après le Zwei, les deux jeux sont un peu liés et c'est un des meilleurs RPG auxquels j'ai joué), pour finir par Panzer Dragoon Orta. Une magnifique série. :-)
En tout cas, le premier Panzer Dragoon pose vraiment les bases de l'univers et du gameplay (même si c'est le gameplay le plus basique de la série). Le jeu comporte à mon goût l'une des plus belles cinématiques d'introduction de l'histoire du jeu vidéo (la musique qui s'emballe, la mise en scène, les événements, l'émotion à la fin). Et puis l'introduction qui a lui aussi un thème de fou. Et aussi le premier niveau culte des ruines aquatiques avec cette musique magique !
Bien joué quand même pour avoir terminé le jeu qui est loin d'être simple (moi j'avais galéré vers la fin en mode Normal et je n'ai jamais fini le mode Hard). Tu verras, le Zwei, s'il est plus facile, est aussi plus riche que le premier, avec des graphismes bien plus propres, une esthétique encore plus marquée et réussie, des musiques plus homogènes et cohérentes, un scénario/background plus poussé (ainsi que le lien entre le héros Jean-Luc Lundi - non, ce n'est pas une blague, son nom ^^ - et son dragon Lagi), l'introduction des chemins annexes et du scoring qui conditionnent les différentes métamorphoses du dragon, et la Pandora' Box pour rejouer au jeu en personnalisant beaucoup de choses (le jeu a une bonne rejouabilité grâce à ça, au scoring et à la motivation d'obtenir la transformation ultime du dragon). En plus il comporte l'un de mes boss finaux préférés parmi tous les jeux vidéo que j'ai terminés.
Pour info, la jaquette japonaise a été faite par le célèbre dessinateur de BD Moebius (alias Jean-Girault). Et l'univers même de la série est à mi-chemin entre celui de Moebius et celui de Dune, tout en préfigurant Skies of Arcadia par certains côtés.
Encore le 2 ça va, moins de 100€ je me dis que bon c'est un gros jeu, parc contre le Saga ça tourne plutôt aux alentours de 300? aïe... C'est un peu comme Samba de Amigo que j'essaie de me procurer sur Dreamcast, ouille ouille ouille les prix...
Les premiers essais j'ai galéré dès le niveau 4 (je précise que je n'ai même pas essayé en hard, le normal m'a amplement suffit ^^).
Oui j'avais vu pour le design, ça a vraiment été travaillé tout ça.
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Putain, moi le Zwei, je l'ai acheté il y a dix ans complet pour une quinzaine d'euros ! Le Saga par contre, il était déjà cher (et ça n'a pas dû s'arranger), moi je l'avais trouvé à cette époque-là au prix de 90 €, je m'étais un peu saigné (c'est rare que ça m'arrive pour un jeu, mais j'avais trop trop envie d'y jouer et je ne l'ai jamais regretté, j'étais trop fasciné par cette série et je voulais vraiment jouer à Azel qui est LE volet qui approfondit vraiment le background de la série). Mais franchement, il faut jouer à Azel Panzer Dragoon RPG (son petit nom de la version japonaise).
Sinon de mémoire, dans le premier Panzer Dragoon, je crois que j'avais vraiment commencé à galérer dans un niveau au-dessus d'une forêt avec plein de bateaux volants (c'est ça, le niveau 4 ? ). Et puis le niveau final aussi.